Imagination Et Littérature

certaine vérité. L’histoire doit être perçue comme un gage de la véracité de l’œuvre qui la représente. La représentation du réel ne peut être qu’une reconstruction ou une transposition. En effet l’artiste utilise des équivalences : mots pour la littérature, gestes pour la danse, notes pour la musique. Il doit les façonner par une technique. Comme disait Kant : « Une beauté naturelle est une chose belle, la beauté artistique est une belle représentation d’une chose ». L’art ne saurait être qu’une transposition

Toute chose à un début, une vie et une fin. L’Homme, pour construire les choses, commence par poser des bases solides et peut ensuite laisser libre court à son imagination. Comme pour un bâtiment qui sans ce schéma ne pourrait pas tenir debout. Il semble que pour l’individu lui-même le schéma soit identique : la base étant son passé, savoir d’où l’on vient pour savoir où l’on va. Le corpus nous montre, à l’aide de trois textes d’idées et un document iconographique, qu’il est important de connaitre

systématiquement pratiqué : il agrandit l’espace en créant une impression de profondeur infinie (ex : plafond de l’église de Gésu, Rome). L’abondance de la décoration doit impressionner le spectateur, l’éblouir et l’étonner à chaque regard pour enrichir son imagination et le séduire. 2. La peinture La peinture baroque s’est manifestée dans la décoration des murs et dans le tableau. La fresque a systématiquement employé le trompe-l’œil qui donne de la profondeur et donc une illusion que le support réel n’existe

l’auteur II/ L’objet de l’éloge (le véritable objet…) Son universalité Son réalisme Proposition de commentaire : Lorsqu’Honoré de Balzac meurt en 1850 c’est un des grands piliers de la littérature française qui s’éteint. Une autre figure de cette littérature du XIX siècle, Victor Hugo, prononce à l’occasion de ses funérailles un discours dont nous étudions un extrait. Comment Hugo rend-il hommage à/ fait-il l’éloge de cet illustre auteur ? C’est d’abord un éloge

cette présence, il entrevoit sa propre mort comme ultime délivrance. Ce roman se déroule sur 4 mois : mai-juin-juillet et septembre Critique de la nouvelle : Le domaine général : Maupassant a renouvelé le thème du double, présent dans la littérature fantastique depuis Hoffmann. Cette nouvelle est en fait un cas clinique, psychiatrique, de dédoublement de la personnalité, phénomène qui passionne de public de l’époque. Le narrateur en effet, est hanté par son double invisible, par un autre lui-même

l’héroïne est initiée à la lecture des romans par la lingère du couvent et elle y découvre avec passion toute une imagerie sentimentale qui nourrit sa rêverie et modèle son imagination. Par ailleurs, Flaubert exprime son ironie à travers l’engouement pour les livres, ce qui laisse deviner sa propre méfiance envers la littérature romanesque. 1-Le portrait de la lingère Roman d’une éducation, Madame Bovary décrit avec précision les influences subies par Emma dans le cadre quotidien du couvent ; ainsi

L’Alchimie poétique Alchimie -Pratique de recherche en vogue notamment au Moyen-Âge, ayant pour objet principal la composition d'élixir de longue vie et de la panacée universelle (Remède de caractère universel, censé posséder la propriété de guérir à lui seul toutes les maladies) et la découverte de la pierre philosophale en vue de la transmutation des métaux vils en métaux précieux.Alchimie poétique : - création poétique ou du langage, transformation

Jean Giono (Manosque, 30 mars 1895 - Manosque, 8 octobre 1970) est un écrivain et scénariste français, d'une famille d'origine piémontaise. Un grand nombre de ses ouvrages a pour cadre le monde paysan provençal. Inspirée par son imagination et ses visions de la Grèce antique, son œuvre romanesque dépeint la condition de l'homme dans le monde, face aux questions morales et métaphysiques et possède une portée universelle. Il fut accusé à tort de soutenir le Régime de Vichy et d'être collaborateur

Le rôle de la littérature est-il de faire rêver ? Depuis la tradition orale, aux origines de la littérature, jusqu’à nos jours, les auteurs ont toujours créé des univers merveilleux échappant à la réalité. Cette projection dans l’imaginaire était-elle un moyen pour eux d’échapper au dur quotidien auquel ils étaient confrontés, ou un moyen d’offrir à leurs lecteurs un petit moment d’évasion ? Quelle qu’en soit la réponse, l’écriture s’est mise au service du rêve et la littérature a acquis cette

qu’il y a certains points communs entre les vies des deux héros. En effet, ils sont marginaux et vivent dans l’univers de la fiction. Christine, de nature contemplative, aime se livrer à des jeux auxquels elle se laisse totalement entraîner par son imagination. Elle peut « apercevoir dans le ciel un château blanc, y voir arriver un cavalier monté sur un cheval blanc […] [3] » [1]Bruno Hébert., C’est pas moi, je le jure !, Montréal, Les éditions du Boréal, p.18 [1] Ibidem p.145 [3] Gabrielle Roy., Rue