Imagination Pascal Montaigne

partiel, a des degrés et est éphémère. Les plaisirs sont des promesses du bonheur. Il est le plaisir total et parfait, il est la sérénité, durable...II/ Imagination et bonheur. Le bonheur serait un état stable et permanent. Or «  Rien n’est plusinsupportable pour l’homme que d’être en plein repos  » PASCAL, donc l’homme n’est pas fait pour le bonheur. Nous avons conscience du bonheur dans l’après coup, trop tard. Selon Rousseau l’imagination

spectateurs. Dans la sculpture, les rapports mathématiques permettent de s’approcher de l’idéal. (Une manière de remonter aux idées, de réhabiliter la mimésis qui ne désavouât pas Plotin) Léonard de Vinci : - Abstraction de la peinture et imagination. - Il instaure une tension entre ceux qui font la mimesis et une conception plus moderne (qui annonce le romantisme) de l’œuvre comme produit du hasard et de l’imagination.  Une peinture bien composée

et vie 3 A. La pensée est un phénomène de la vie 3 1. La vérité comme propriété d’un être vivant 3 2. Dispositions d’un organisme et relations à son milieu 3 B. Projection et perspective 3 1. Toute vérité est perspective (Pascal, Nietzsche) 3 2. Toute ouverture au monde est affectée (Heidegger) 4 3. La vérité se fonde sur l’action et la projection 5 4. Être et temps 5 C. La valeur de la vérité 6 1. Remettre en question la valeur de la vérité 6

questionnement, de remise en cause des préjugés, de la doxa (δoξα : opinions, idées reçues) → on prend conscience de son ignorance : – Socrate (399 avt JC) : «Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien.» → dialogues aporétiques (sans conclusion). – Montaigne : «Que sais-je ?» ⇒ nécessité de définir des concepts. Le language doit être l’instrument du vrai. Maïeutique (faire accoucher) socratique : par la remise en cause, on acouche d’une pensée vraie. But : la ´ ´ .   sophistes : fait un usage persuasif

Difficulté 2 II. Vérité et vie 3 A. La pensée est un phénomène de la vie 3 1. La vérité comme propriété d’un être vivant 3 2. Dispositions d’un organisme et relations à son milieu 3 B. Projection et perspective 3 1. Toute vérité est perspective (Pascal, Nietzsche) 3 2. Toute ouverture au monde est affectée (Heidegger) 4 3. La vérité se fonde sur l’action et la projection 5 4. Être et temps 5 C. La valeur de la vérité 6 1. Remettre en question la valeur de la vérité 6 2. L’erreur est souvent utile

autres documentaires animaliers sur les moeurs de nos amis les bêtes (cf. Micro cosmos, documentaire sur les insectes). ( Polyvalence Il faut ajouter à cela que le vivant est capable d’autres opérations : locomotion, sensibilité, désir, mémoire, imagination, intelligence, passion, volonté, … Ainsi chaque vivant est capable de certaines opérations en nombre plus ou moins grand et dans un style propre à son espèce selon une expression qui pourra être individuelle et singulière : un chien aboie (style

des idées (entité d’origine divine qui préexiste à la naissance et d’où procède l’âme). Fureur divine = imagination. Inspiré = envol de l’âme vers cette connaissance antérieure d’où elle provient et d’où elle aspire à revenir. Mémoire comme origine de la création. Platon rapport fureur, génie et folie, Aristote l’envoie dans le domaine de la rationalité scientifique. Rufus d’Ephèse. Imagination séduisante mais dangereuse, perçue du côté du funèbre = méditation sur la mort. La période du christianisme

intérêts de l'homme à toute cause politique ou religieuse. Le pacifisme est illustré par des œuvres comme L'Utopie (1516) de Thomas Morse, L’Éloge de la folie (1511) d’Érasme, les romans de François Rabelais ou les Essais (1580-1595) de Michel de Montaigne. Un monde de culture:l'harmonie entre les hommes ne peut s'effectuer qu'à partir du moment où ils peuvent communiquer et se comprendre. Aussi tous les humanistes s'intéressent-ils à l'éducation qui doit développer « un esprit sain dans un corps sain

Nous allons nous référer ici à un texte de Blaise Pascal : De l’art de persuader. Dans ce texte, Pascal distingue les deux « entrées par où les opinions sont reçues dans l’âme qui sont ses deux principales puissances : l’entendement et la volonté ». Il ajoute en parlant des vérités que « peu entrent par l’esprit, alors qu’elles y sont introduites par foule par les caprices téméraires de la volonté, sans le conseil du raisonnement ». Sur ce point, Pascal n’est pas loin de la position platonicienne, bien

transformer les difficultés techniques en problèmes théoriques. ex. Au XVIIe siècle, la ville de Florence avait besoin d’un meilleur approvisionnement en eau. Or les pompes ne parvenaient pas à faire monter l’eau au-delà des 10,33m. Torricelli et Pascal ont donc aider les fontainiers et ont réussis à établir le fait que l’eau ne montait pas plus à cause de la pression atmosphérique. BACHELARD: La science repose aussi sur la technique car elle permet de vérifier les hypothèses scientifiques avec