Imaginez Le Dialogue Entre Deux Spectateurs Ayant Assisté à Une De Ces Scènes

Enregistrée à la Comédie-Française, cette version, Vuillermoz (le comte Almaviva), orchestrée par le jeune metteur en scène Christophe Elsa Lepoivre (la comtesse), Rauck, renoue avec la modernité du texte de Benjamin Jungers (Chérubin). Captation réalisée par Don Kent, Beaumarchais, où le pouvoir repose sur des faux- coproduite par Arte France, Agat semblants, où la gaîté le dispute à l’insolence et où la Films & Cie. sensualité troublante de Chérubin répond à la volonté

/ Gustave Flaubert SOMMAIRE Séance 1 › Un conte à part p. 2 Dominante : lecture-découverte de l'objet livre Séance 2 › Entrer dans un récit réaliste p. 3 Dominante : lecture analytique Séance 3 › Une héroïne toute simple p. 4 Dominante : lecture analytique Séance 4 › L’écriture du récit court p. 6 Dominante : langue Séance 5 › Les expansions du nom p. 7 Dominante : langue Fiche élève 1 p. 8 Séance 6 › Un personnage mis à l’épreuve p. 9 Dominante : lecture analytique Séance

Séance 1  : les spécificités du genre théâtral. 1- Dans un texte théâtral, il n’y a pas de narrateur  ! Le texte théâtral repose exclusivement sur l’échanges des répliques , qui doivent à elles seules contenir toutes les informations nécessaires au spectateur pour comprendre les liens entre les personnages, la narration, le récit. Comme seules les répliques font avancer l’action, on dit qu’au théâtre, la

aux différents types de scènes que l’on trouve au théâtre : dialogue, monologue, tirade… (voir sujet n° 6 p. 178). • Quand vous l’aurez identifiée, caractérisez cette forme (ici le monologue), ses marques communes dans les trois textes. • Indiquez pour chaque scène les marques caractéristiques de cette forme théâtrale – qui est une convention – avec des références précises. • Puis, en travail préliminaire (la réponse finale doit être rédigée), répertoriez sur un tableau à trois colonnes (une par

dramatique. Molière 99 du meilleur auteur, Molière 99 du meilleur metteur en scène, Molière 99 de la meilleure pièce du répertoire, Molière 99 de la révélation théâtrale féminine Mise en scène : Gildas Bourdet Assisté de : Valérie Nègre et Ladislas Chollat Production du Théâtre Hébertot Créée à La Criée Théâtre National de Marseille Filmée au Théâtre Hébertot en juillet 1999 Avec : Wojtek Pszoniak, Marianne Epin, Marie-Christine Orry (Molière 99 de la révélation théâtrale féminine), Emmanuelle Lepoutre

partie) Sujet 111 Enoncé du devoir ________________________________________________ Corpus Document A : Molière, Tartuffe, Acte II, scène 3. Document B : Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, Acte II, scène 2. Document C : Corneille, L’Illusion comique, Acte IV, scène 2. Question (4 points) Analysez les divers moyens d’écriture qui permettent de soutenir et d’accélérer le rythme des scènes. Écriture Vous traiterez au choix l’un de ces trois sujets. • Commentaire (16 points) Vous

dès son arrivée à Paris. Constamment il s’invente des personnages, se prête des sentiments, s’arroge des passés glorieux et joue avec la même sincérité tous les rôles que lui dicte son imagination féconde. La plus rocambolesque des comédies de Corneille. Trois scènes utilisables en classe : 1. (9’04 à 12’06) Acte I, scène II : séduisant menteur. 2. (16’10 à 19’14) Acte I, scènes V et VI : Dorante fabule. 3. (52’20 à 55’07) Acte III, scène V : méprise au balcon. 4. (94’20 à 97’23) Acte V, scène

aborder sont, je le répète, des exemples. Et il est important de comprendre dès à présent que l'enchaînement des étapes de travail qui va être établi n'est en rien rigoureux, et que le travail d'écriture est très souvent un processus souple de va-et-vient continuel entre ces différentes étapes. On commence par un résumé, puis on écrit un séquencier, puis on fait un synopsis, puis on revient au résumé, puis on commence à écrire le scénario, puis on fait ses fiches personnages, puis on revient au

Grumberg, né à Paris en 1939, à la veille de la Seconde Guerre mondiale, de parents juifs, est l’auteur d’une trentaine de pièces de théâtre. L’Atelier (1979), pour laquelle il a reçu le Molière du meilleur auteur dramatique, est sans doute sa pièce la plus jouée et la plus connue. Dans un atelier de confection, de 1945 à 1952, des employés travaillent et, entre rires et larmes, racontent leur vie pendant l’Occupation et dans l’immédiat après-guerre : un Juif qui a été déporté, un autre qui a vécu caché

la colère qui anime les phrases. C’est le cas pour Martin Gray qui assimile l’écriture à un combat : « Je n’ai plus d’arme à la main, comme autrefois dans les maquis de Pologne, mais par moments, je sens en moi la même force qu’alors » (Au nom de tous les miens, 1971). QUELS MOTS POUR DIRE L’HORREUR ? Une autre question se pose : comment parler des camps ? Les mots de tous les jours se révèlent impuissants à dire l’inconcevable. Tous les auteurs en font le constat. Martin Gray commence son évocation