Imitation

a un son), concordance progressive – Préhension et succion (coordonnement) – Vision et préhension saisit les objets qu'il voit si il voit sa main en même temps b) La construction du réel il perçoit mieux le système proche/lointain c) L'imitation imitation sporadique (irrégulière) Le stade 3 (+ ou – 4 mois) a) L'intelligence sensorimotrice Les spectacles intéressants il reproduit des mouvements dans l'attente d'un résultat et n'arrive pas à trouver de nouveau moyen d'utilisation b) La construction

Chercher une confusion dans l’esprit du consommateur avec le concurrent. On va utiliser la réputaion du concurrent en imitant ces produits pour obtenir de la clientèle. 1. Imitation des signes de l’entreprise concurrente : 2. Imitation de l’organisation ou des installations du concurrant 3. Imitation des produits concurrents C. La désorganisation D. Le paratisisme III. L’action en concurrence déloyale A. L’existence d’une faute B. Préjudice C. Lien de causalité

été tirée de récits religieux et sacrés, mais avec le temps les contes sont devenu de plus proches de la vie quotidienne. Les contes sont à l’origine transmit oralement de personnes en personnes et de pays à pays. Ils sont souvent transformé (imitation de texte, parodie d’œuvre à l’origine sérieuse) mais les fondements de l’histoire reste reconnaissable qu’importe le contexte. En France, c’est CHARLES PERRAULT qui écrit les contes les plus populaires, alors qu’en Allemagne on retrouvera les

Développement Les aspects classiques de la fable Continuité Période classique : exaltation des passions (catharsis), philosophie dans les textes Genre en essor : tragédies, comédies, épopées Imitation, reprise du modèle antique Fabulistes antiques Modèles antiques : Esope (surtout imitation dans les premiers livres. Prose, style court, concis, concentré cers la morale de l’histoire,) Phèdre (il reprend Esope, mais versifie ses fables. De plus, était vu comme un amuseur, un humoriste

la réalité.  · Artistes = imitateurs A. Poésie et tragédie : l’art comme imitation du monde in La Poétique d’Aristote  · Imitation : naturelle et procure du plaisir à la reconnaissance de l’objet imité. · La poésie imitative est un produit de la nature humaine.  · Imitation n’est pas une simple copie de la réalité  · Pour Aristote, la tragédie est une poésie qui se joue => action qui constitue une imitation. Cette imitation permet la purgation des passions (catharsis). En s’identifiant au personnage

l’on ne trouve pas dans la nature. Le sens commun postmoderne a plutôt tendance à voir dans l’art une sorte de décoration originale. Seulement, même ainsi, on ne se débarrasse pas si aisément de l’idée de l’imitation. Elle subsiste encore comme imitation de l’art par l’art. Après tout, à y regarder de plus près, les artistes se copient très souvent les uns les autres et tous commencent par le plagiat. Il semble difficile d’évacuer entièrement la notion d’imitation de la création artistique

réplique alors que Lisette a un rôle modérateur lorsqu’elle dit à la ligne 23 : « Allons arretez vous ; vous etes bien trop avide ! » II) Aspect parodique ( imitation moqueuse ) de cette scène Les valets imitent les maîtres mais de manières exagérées : - Imitation vêtements - Imitation des gestes : le baisemain - Imitation de langage : Arlequin croit imiter son maitre en utilisant le langage mais il est riddicule ( reference a la prciosité, courant litteraire du 17 siecle caracterisé

exte: Hegel, L'art n'imite pas la nature « Il y a des portraits dont on a dit assez spirituellement qu'ils sont ressemblants jusqu'à la nausée. D'une façon générale, la joie que procure une imitation réussie ne peut être qu'une joie toute relative, car dans l'imitation de la nature, le contenu, la matière sont des données qu'on n'a que la peine d'utiliser. L'homme devrait éprouver une joie plus grande en produisant quelque chose qui soit bien de lui, quelque chose qui lui soit particulier et dont

conscience amoindrie du réel du fait qu’il est à la fois imitation du réel et imagination. Cependant, nous observerons que l’art dépasse cette imitation apparente pour nous offrir la conscience d’un monde d’une infinie richesse. Nous pouvons même aller au-delà d’un art qui transforme notre conscience du monde, vers un art qui transcende notre vision et notre appréhension de la réalité L’art nous apparait souvent comme un bien pâle imitation du réel, ou alors comme une production dont nous ne comprenons

L’IMITATION Alternative entre l’éloge et le blâme. Æ de définition univoque de l’imitation. PB : est-il possible de trouver un sens univoque au terme « imitation », qui permette de trancher entre l’éloge et le blâme ? * l’imitation = une sorte de singerie; * l’imitation = un mode de comportement humain qui est en même temps un moyen d’apprentissage. I- CRITIQUE PLATONICIENNE DE LA MIMÊSIS : Mimêsis => simulation de la conduite d’un autre. Ex : l’art du comédien. => représentation