Immortalité

L'éloge de la connaissance. ● L'éloge des voyages: le voyage exerce la curiosité. ● La curiosité linguistique: les humanismes analysent les langues et leur rapport historique. (en particulier l'hébreu langue de la Bible) ● La question religieuse: immortalité de l'âme, éternel combat de l'esprit et de la chair conciliation de la science et de la foi) Les œuvres phares _ La naissance de Vénus, Botticelli (peinture) – Etienne jodelle, première comédie Eugène 1552 (théâtre) – L’éxtraction

L'ordinateur ou le robot, donc objets connectés vont se substituer à l’Homme et prendre sa place. En effet, cette idée est devenue une philosophie qui s'insinue peu à peu dans la Silicon Valley. L’autre nouveauté, c’est la promesse ahurissante d’une immortalité de la conscience... À l'avenir, si l'on en croit certains, la conscience humaine se baladera entre des corps clonés et des mémoires d’ordinateurs surpuissants qui accueilleront nos esprits à l’heure de la mort pour une régénération cybernétique

donc des sciences théorico-expérimentales. Dès lors, que fait-on de Dieu, puisqu’on ne le connaît pas, puisqu’on ne sait pas s’il existe ou pas ? Que faire de Dieu ? Pourquoi y penser ? Parce que Dieu est une des trois idées régulatrices (Dieu, immortalité de l’âme, caractère infini de l’univers). L’idée de Dieu permet d’orienter notre existence. On peut aussi évoquer l’idée d’avenir (= ce qui n’est pas encore), qui est porteuse de sens et permet également de s’orienter. C’est une idée dont je n’ai

mémoires : - automatique : faite d’habitude assimilées en perceptions - souple : créatrice et libre La mémoire peut devenir condition d’accomplissement spirituel. II- Les tentations de l’immortalité L’origine du mot immortalité vient du mot demeurer qui est une tendance originaire de tout être vivant. L’immortalité à toujours été tentée par les hommes, soit par l’action héroïque fixée par la mémoire d’une civilisation, soit par la contemplation philosophique des vérités

sorte de morale de Carpe Diem (« Pensez-y ») 2) Sa structure : - 1ère partie = 3 premiers quatrains : Le poète effraie Marquise (le temps attaque la beauté physique) - 2ème partie= quatrains n°4 à 7 : Le poète célèbre sa propre gloire ; immortalité du poète contre beauté éphémère - 3ème partie = 2 derniers quatrains : Conseil de Carpe Diem 3) Représentation du temps qui passe : - la rose qui se fane v. 7 + front ridé v. 8 = ravages du temps sur les vivants - le cours des planètes +

(l. 11-13-31) = ANTITHESE avec le mot « horreur » (l.15), l.20 « sur le témoignage d’autrui », l.21-24 « que dans l’opinion des autres ». Il est en porte-à-faux avec lui-même, il est empli de paradoxes l.8-9 « il travaille jusqu’à la mort […] immortalité », l.32 « honneur sans vertu, […] bonheur ». Un être pris dans le jeu des apparences et qui en arrive à renoncer à son identité propre : l.10 « il fait sa cour aux grands qu’il hait … », « factice, joué », « extérieur trompeur et frivole ». Dénaturation

infatigable et invisible peut en effet rester éveillé pendant le sommeil. Il voyage où il veut dans l'espace et le temps et délivre au cerveau les images oniriques de son périple pendant que le corps fatigué est écrasé par le sommeil. Esprit, donc immortalité, donc sépulture! Ainsi l'aspect fantastique du rêve aurait été selon J. Lublock, H. Spencer et Malinovski à la base de la croyance dans l'Ame et l'Esprit que l'on retrouve sous de nombreux avatars à la naissance de toutes les civilisations et de

Coyote se détachent de son corps [6'37''] tout comme les yeux d'un mort vivant pourraient le faire. Ainsi le Coyote est, au même titre que le Bip Bip un immortel, dont le corps se remet de tous les déboires qu'il a pu subir. Mais pour lui cette immortalité passe par le prix de la souffrance du corps, continuellement torturé et déformé. Le Coyote est donc un mort vivant maudit par son créateur. On retrouve dans la série toutes sortes détails laissant penser que Chuck Jones s'est inspiré du cinéma

matière et le critère du bien et du mal c'est la sensation ( fie a la multi sensorialité = vrais ) 2 ) ne plus craindre la mort--> vivre joyeux ( vs ) désir d'immortalité craindre la mort c'est se gâcher la vie et vouloir quelle dure ( immortalité) si je ne craint pas la mort ma vie est agréable ( Épicure préfère la qualité que la quantité ) vivre peut bien que longtemps et mal 3 ) craindre c'est souffrir au present d'une douleur a venir craindre la mort → cette douleur n'existe pas

de Kant jusque vers les années 1880, la littérature secondaire a figé le souverain bien en son image moyenne, telle qu’elle se développe dans la Dialectique de la Critique de la raison pratique avec la solution des postulats (existence de Dieu, immortalité de l’âme) et le passage de la morale à la religion. Les uns, parmi les commentateurs, ont reconnu le sérieux des postulats comme réponse au problème de la conciliation entre moralité et bonheur auquel tout homme aspire ; tandis que d’autres critiquèrent