Immortalité

peut pas en être convaincu puisqu’il n’en a pas la preuve par ses yeux. Comment pourrait-il croire en l’existence de Dieu alors qu’il ne peut contempler le spectacle de la nature ? Comment pourrait-il croire en l’existence de l’âme et de son immortalité alors qu’il s’agit d’une substance qu’on ne peut toucher et qu’on ne peut voir ? Pour que l’âme puisse exister pour un non-voyant, il faudrait que celui-ci puisse la palper du bout de ses doigts. L’œuvre montre que Diderot commence à délaisser

sont là des principes nécessaires pour vivre comme il faut. En premier lieu, regarde la divinité comme un être immortel et bienheureux, ce qu’implique déjà la façon ordinaire de la concevoir. Ne lui attribue rien qui soit en opposition avec son immortalité ou incompatible avec sa béatitude. Il faut que l’idée que tu te fais d’elle contienne tout ce qui est capable de lui conserver l’immortalité et la félicité. Car les dieux existent et la connaissance qu’on en a est évidente, mais ils n’existent

intellectuels ne sont pas athées8 mais déistes9, c'est-à- dire des partisans d'une religion naturelle. Pour eux DIEU existe (c'est le GRAND HORLOGER DE L'UNIVER DE Voltaire ,<< L' ÊTRE SUPRÊME >> qui inspire Robespierre ), ils croient à l' immortalité de l'âme. Pour eux la morale peut se baser sur des règles naturelles et non sur des cultes divin et condamnent l'existence du clergé distinct , création humaines, qui à leur yeux sont des facteurs de discorde et de guerre 3.Le combat des Philosophes

et à la religion : l.9 " martyre " [le fait d'avoir été tué pour sa foi] et " salut ", l.10 " immortalité ". Il y a ici une ambiguïté (encore une !) puisque ces 3 mots qui font référence à la foi chrétienne peuvent avoir une autre signification : Le " martyre " est peut-être une allusion à son statut d'écrivain maudit. Le " salut ", c'est peut-être le fait d'écrire, d'être lu, reconnu. L' " immortalité ", ce peut être celle que donne l'Académie, la gloire littéraire. On s'aperçoit donc que même

sujet ( burlesque )  Conclusion : - Scène d’exposition = ton burlesque qui place la pièce sous le signe de la comédie mais le thème de la Religion controversé donne aussi un caractère polémique. - DJ est condamné pour son empiété et son immortalité mais Sg avec sa crédulité superstitieux est-il un bon défenseur de la foi ?  Ouverture : DJ s’explique dans la scène suivante, ce sera la « tirade du Donjuanisme » Le classicisme, qui est le courant majeur à partir des années 1660,

les trois exemples du corpus, personne ne croit les mensonges proférés. Bien plus, les contradictions sont évidentes. Le soldat fanfaron, Pyrgopolinices, se vante de sa bonne fortune avec les femmes, puis de sa richesse, enfin de la quasi-immortalité de ses enfants (et de lui-même). Or la servante Milphidippe sait que Palestrio trompe allégrement son maître ; quant aux vantardises sur la richesse, elles sont si démesurées qu’elles échappent à toute réalité ; et le dernier mensonge du fanfaron

défense contre celle-ci peut rendre aussi malheureux que l'agression elle-même !" (Sigmund Freud / 1856-1939/ Le malaise dans la culture / 1930) "Au fond, personne ne croit à sa propre mort, et dans son inconscient, chacun est persuadé de son immortalité." (Sigmund Freud / 1856-1939) "Le diable est encore le meilleur subterfuge pour disculper Dieu." (Sigmund Freud / 1856-1939)

désirs. Il fait une hiérarchie : - désirs naturels et nécessaires à limiter en quantité = besoins vitaux - désirs naturels mais non nécessaires à régler = amour et jeu (amitié) - désirs vains à supprimer = reconnaissance, ambition, pouvoir, immortalité CRITIQUE D’EPICURE Côté positif : Il nous rappelle ce qui est essentiel dans la vie (besoins fondamentaux), qu’on ne peut pas être heureux si on ne satisfait pas ces besoins. Côté négatif : Il prend la nature comme objet de référence

nomme « la multitude » ce qui revient à dire qu’il ne faut pas les craindre puisqu’ils ne vivent pas dans notre monde et ne conduisent pas notre vie bien que l’opinion commune pense cela. Il faut les mettre sur un piédestal et leur concéder « leur immortalité et leur béatitude » sans pour autant penser qu’ils sont maîtres de tout. Si l’Homme pense que le bonheur n’est atteint que dans les cieux, il ne parviendra jamais à l’atteindre ici-bas. Nous pouvons envisager l’origine des croyances religieuses

la notion commune qui en est tracée en nous. N'attribue jamais à un dieu rien qui soit en opposition avec l'immortalité ni en désaccord avec la béatitude ; mais regarde-le toujours comme possédant tout ce que tu trouveras capable d'assurer son immortalité et sa béatitude. Car les dieux existent, attendu que la connaissance qu'on en a est évidente. Mais quant à leur nature, ils ne sont pas tels que la foule le croit. Et l'impie n'est pas celui qui rejette les dieux de la foule : c'est celui qui attribue