Immortalité

vie mérite d’être vécue pour ce qu’elle est et la mort n’est que la fin de la vie soit on consacre cette même vie à sa propre postérité, à se rendre immortel dans la mémoire des hommes. Est-il donc impossible pour l’homme de vivre sa propre immortalité ? Pour toucher à l’immortalité, l’homme doit dépasser son statut de simple animal, de simple mortel et il doit se dégager des sensations et des plaisirs sensibles. La mort ne doit être que la mort du corps biologique. Après avoir

à la notion commune qui en est tracée en nous. N’attribue jamais à un dieu rien qui soit en opposition avec I’immortalité ni en désaccord avec la béatitude mais regarde-le toujours comme possédant tout ce que tu trouveras capable d’assurer son immortalité et sa béatitude. Car les dieux existent, attendu que la connaissance qu’on en a est évidente. Mais, quant à leur nature, ils ne sont pas tels que la foule le croit. Et l’impie n’est pas celui qui rejette les dieux de la foule c’est celui

enthousiaste au sens étymologique (inspiré par la divinité qui est entrée en lui), tout comme la pythie de Delphes ; il devient ainsi comme un prophète ; par l'inspiration, il insufflera l'immortalité à son oeuvre et cherchera à faire partager cette immortalité aux autres ; mais l'inspiration ne suffit pas : il faut aussi travailler ! Deux grands noms Du Bellay 1522-1580 ------------------------------------------------- Né près de Liré, en Anjou, il est orphelin de très bonne heure et vivra une enfance

Elle est parfaite divine et donne beaucoup de souffrance et de tristesse a Ronsard, bien sûr ça ne l’empêche pas de continuer à l’aimer. Grace à une feuille et une plume Ronsard a déjà atteint l’immortalité, il propose donc aussi cette immortalité au nom d’Hélène. Cette volonté de rendre immortelle une femme comme Hélène ne nous étonne pas car nous savons que Ronsard prenait pour exemple les poète antique, un d’entre eux était Homère, qui a rendu lui-même Hélène de Troie immortelle, donc

Contrairement au préjugé commun, il n'est pas raisonnable de vouloir être immortel. Certes, il est toujours possible de le désirer mais ce désir est irrationnel et n'existe que chez ceux qui n'ont pas compris le prix qu'il faudrait payer cette immortalité. On peut penser au contraire que c'est la conscience de la mort et de son néant qui nous ouvre la vie heureuse et peut-être même un accès à l'éternité. Épicure disait du sage qu'il vit comme un Dieu parmi les hommes car les biens qu'ils possèdent

il faut distinguer quatre espèces de folie d’origine divine : la folie divinatoire, la folie initiatique, la folie poétique et enfin la folie amoureuse. Toutefois, pour comprendre ces folies, il faut connaître la nature de l’âme et établir son immortalité. Tout comme ce qui possède en soi-même le principe de son mouvement, l’âme est immortelle. Au contraire, ce qui est mû de l’extérieur périra dès que la source extérieure de vie sera tarie. Si l’âme est le «siège des passions », elle n’en est pas

naturels artificiels impossibles pour le bonheur recherche de l’agréable gloire ou richesse immortalité pour la tranquillité du corps pour la vie Le bonheur est assimilé au plaisir qui est notre plus grand bien. Tout plaisir est donc à priori bon mais cela n’implique pas que nous devions tous les choisir car chaque plaisir a une valeur et un coût

religieuse assez présente dans le roman. Le Christ est celui qui donne son sang pour sauver les hommes, il se sacrifie, alors que Dracula prend le sang des autres et les damne, il les condamne à une immortalité terrestre, au mal. Vampire= être charnel. L’immortalité du Christ est céleste, auprès de Dieu. Immortalité terrestre, condamné à cette vie de « chair », le vampire est une sorte de blessure supplémentaire faite au Christ. Mal qui se défini par rapport à Dieu. Le Christ a crée sa communauté par l’amour

une certaine forme de permanence que son créateur et les spectateurs n’ont pas. Contrairement à leurs auteurs qui sont soumis au temps et qui donc, ne vivent que pour une durée limitée, les œuvres d’arts échappent à l’effet du temps et ont une immortalité potentielle : elles survivent à leurs créateurs. Ainsi, la Joconde a survécu à son auteur, Léonard de Vinci. C’est la raison pour laquelle Hannah Arendt, dans La Crise de la culture, souligne qu’il est nécessaire de distinguer les œuvres d’arts

une définition bien personnelle à l’âme et considère que celle-ci est "un mouvement qui se meut soi-même". Elle est divisée en trois parties : l’appétit, la colère et le raisonnable. Le raisonnable étant en soi la pensée de l’Homme et donc son immortalité. Pour lui, l’âme est immortelle et de nature divine. Ce dernier cherche d’ailleurs à le prouver dans son œuvre, le Phédon : «Ce qui est divin, immortel, intelligible, ce qui est indissoluble et possède toujours en même façon son identité à soi-même