Immortalité

à accéder aux plus hautes fonctions de la raison humaine (ce que nous appelons la pensée conceptuelle); l'enjeu de cette question étant de savoir si la supériorité de la nature humaine l'égale aux dieux, en lui assurant royauté sur le monde et immortalité; en 1580 encore, l'«Apologie de Raymond Sebond» de Montaigne (Essais II, 12) reprend ces questions: l'homme est-il le chef-d'œuvre de la nature, le maître du monde et l'égal des dieux? N'y a-t-il pas vanité à rabaisser la nature animale pour mieux

raisins. De plus, les mouvements artistiques étudiés ne sont pas présents dans mon dossier. Mais le principe d’installation peut être utilisé dans certains de mes travaux. Le thème de l’arbre des voyelles prisonnier de son intemporalité et de son immortalité s’accorde également bien à mon dossier dont un des mots d’ordre est enfermement. De plus, La Parabole du bon samaritain raconte une histoire. Mon thème étant l’Enfermement dans une Histoire, il me serra possible de les rapprocher.

poèmes, les poètes effacent cet oublis. Les souvenirs écrits traversent les années, les siècles même après la mort de l'auteur. Ainsi, je pense que la poésie joue un rôle important. La poésie peut être un moyen pour le poète de s'assurer une semie immortalité à travers la relecture de ses souvenirs, de son histoire dans le futur. En écrivant, ils éspèrent que leurs oeuvres traverseront les temps ainsi une part d'eux même, de leur histoire restera ancrée dans chaqun d'entre nous qui lisons leurs poèmes

de « erreurs » mot lié à l’errance de l’Homme face au sens de la vie : quête d’un sens intrinsèque à l’Homme, l5 « attachés à notre nature » * problématique de la finitude liée à notre caractère mortel : opposition avec la nature divine immortalité « décrets : immuables comme éternels » * V revient sur la création de l’homme : rappel que l’homme a été fait à l’image de Dieu : l6 « cœur », « mains » : pour le Bien et pas pour le Mal * V dénonce l’intolérance religieuse l12 à 18

rendre immortelle et précise que c’est à elle de décider. Une incitation à réfléchir : impératif « pensez-y » Le verbe « dit » au vers 28 renvoie à l’écriture du poète qui propose d’immortaliser la beauté de Marquise tout en faisant dépendre cette immortalité de la décision de la jeune femme : vers 27/28 : restriction « vous ne passerez pour belle/Qu’autant que je l’aurai dit ». Ce thème de l’immortalité passe aussi par une projection dans le futur vers25/26 « Chez cette race nouvelle/où j’aurai quelque

l’enseignement que je ne cesse de te prodiguer et comprends qu’il y va des principes de la vie heureuse. [4] Et d’abord songe qu’un dieu est un être immortel et bienheureux, conformément à l’idée que nous en avons. Ne lui attribue rien qui contredise cette immortalité et cette béatitude, par contre accorde-lui tout ce qui convient à l’immortalité et à la béatitude, car l’évidente connaissance que nous avons des dieux montre bien qu’ils existent. [5] Seulement ils ne sont pas comme le croit la multitude. Et nier

reconnaissons bien que le fidèle peut consentir à l’existence de Dieu sans être en mesure de la justifier en ayant recours à un raisonnement. Car la vérité en religion tient lieu de mystère : existence de Dieu, promesse d’un Au-delà, résurrection, immortalité… ces phénomènes qui sont l’objet de croyance ne sont pas pour autant objet de connaissance au sens où on l’entend d’un point de vue rationnel, puisqu’elles dépassent l’entendement. S’il est fâcheux de ne pas faire acte d’intelligence dans l’acte

également. Le lecteur peut s’identifier facilement, il peut superposer sa propre douleur sur celle évoquée dans le poème. En ne nommant pas sa douleur, en n’y mettant pas de mot précis, elle parle de la douleur propre à tous les hommes.     Immortalité / mort : ambiguïté car elle ne parle que de mort mais son poème tend à la rendre immortelle, car il restera dans les mémoires.   Comme nous l’avons vu, ce poème lyrique exprime, avec retenue et brio, une souffrance immense et quasiment indicible

admirable, cet immortel instinct du Beau qui nous fait considérer la Terre et ses spectacles comme un aperçu, comme une correspondance du Ciel. La Soif insatiable de tout ce qui est au-delà, et que révèle la vie, est la preuve la plus vivante de notre immortalité. C’est à la fois par la poésie et à travers la poésie, par et à travers la musique, que l’âme entrevoit les splendeurs situées derrière le tombeau… » (L’Art romantique) III. L’Art n’est-il que choix ? Si l’art n’est le plus souvent qu’une recomposition

vitaux) • D’autres désirs naturels (ex : conversation naturelle) • Les désirs vains/artificiels dont il faut se méfier et fuir car se ne sont que des désirs trompeurs qui ne nous permettrons pas d’être heureux (ex : gloire, richesse, immortalité…) Il faut connaître la nature des choses pour cultiver les bons désirs nous permettant d’être heureux, ce qui est un point capital de l’hédonisme. Texte 4 : Dans ce texte Épicure nous dit qu’il faut entretenir un rapport mesuré avec nos plaisirs