Impact Taux De Change Sur L Inflation

La neutralité de la monnaie affirmée Introduction Le retour de l’inflation au début des années 1970 a exhumé une théorie que Keynes avait contribué à discréditer suite à la crise des années 1930 : la théorie quantitative. Avec une inflation à deux chiffres, la monnaie était de nouveau regardée sous l’angle de la quantité. Il reviendra à Milton Friedman et au courant monétariste de réhabiliter cette théorie vieille de plus de deux siècles, une théorie qui met la monnaie en quarantaine de l’économie

1°)Préparation relative aux textes suivants : !1-1-1 ) -Etude de cas 1) Relation entre le coefficient Q/Q et le chômage aux Etats- unis. !1-1-2) Le taux de chômage potentiel aux Etats-unis. !1-2) -Le chômage structurel et son coût humain dans R.J.Gordon, macroéconomique,Gaetan Ed,1986. !1-3) -Blanchard et cohen , Pearson 2002. !1-4) -Epaulard et Pommeret repère 2002. !1-5-1) -Denis Clerc, Alternatives Economiques, Janvier 2001. !1-5-2) -Denis Clerc, Alternatives Economiques juin 1999. !1-6)

institutions : -le GATT favorise le libre échange -le FMI Le parallèle avec la crise de 2008 : en 1929 crise qui laisse l’éco intern chaotique, après la crise il n’y a plus de leader, plus de système monétaire. La monnaie de référence est le dollar qui a un impact sur l’Europe, la chine et les EU I)ORGANISATION MONDIALE DU COMMERCE A)LE GATT Crée en 1947 Il fonctionne à travers des cycles de négociation -En 1947 à Genève= 23 pays décident de réduire le droit de douanes de 40% -En 1949 à Annecy= 33 pays décident

l’inflation pour en écarter l’idée. Ces problèmes sont réels, mais ne sont pas forcément insolubles. Dans le même temps, on reconnaît de plus en plus les défauts de l’Euro (absence de fédéralisme réel au niveau budgétaire, impossibilité d’harmoniser des taux d’inflations très différents d’un pays à l’autre, voire accroissement de l’hétérogénéité des pays de la zone), voire ses conséquences très négatives pour l’économie française comme pour d’autres économies. Il semble donc que le refus d’envisager l’hypothèse

économique? Inflation: hausse durable du niveau général des prix. Politique conjoncturelle: politique qui agit sur l'activité économique à court terme et dont l'objectif est de lutter contre les déséquilibres macroéconomiques. (au niveau de l'inflation, la croissance du PIB, la croissance extérieur et l'emploie [=carré magique]. Politique monétaire: élément/instrument de la politique conjoncturelle qui agit sur l'activité économique en utilisant la masse monétaire et le niveau de taux d'intérêt. Politique

Les taux d’intérêt Une Banque centrale devait faire face à l'inflation, aux variables finales (croissance, emploi), problème de formation de bulles spéculatives. Greenspan a été coincé. Si on ajoute un autre objectif, la charge d'intérêt sur la dette. C'est une des justifications qui apporté par Greenspan, Bernanke, Yellen : nous ne pouvons pas faire ce que l'on veut avec les taux d'intérêt car cela impacts avec la dette sur les Etats. Si j'élève les taux d'intérêt, mon gouvernement risque d'être

1200 milliards Déficit budgétaire : 63,2 milliards Nombre de demandeurs d’emploi en plus : 45 000 Taux de chômage : entre 8 et 8,5 % Indice de référence des taux longs : OAT 10 ans Niveau : 3,82% Indice de référence des taux courts : Euribor 3 mois Niveau : 2,06% Tx de change euros/dollars : 1,29 Prix du baril de pétrole : 60 dollars Taux de la BCE : 2% FED : entre 0 et 0,25 % Niveau du CAC : 3085 FT : 18,15 Crédit agricole : 9,20 Montant

croissante par rapport au salaire réel. Page 2 Débat sur le comportement des ménages à court terme : - Keynésiens : les ménages se base uniquement sur leur salaire nominal puisque c’est le seul qu’ils connaissent. Lorsque l’économie évolue (inflation ou récession), les individus se basent uniquement sur leur salaire nominal, ils ne prennent pas en compte l’évolution du pouvoir d’achat. Et leur offre de travail n’est donc pas proportionnelle à leur travail fourni. - Monétaristes : à court terme

Tunisie s'est trouvé confronté à une situation économique difficile et à des pressions financières aiguës. Durant la période 1981-1983, le taux de croissance du PIB en termes réels n'a pas dépassé 2%, le déficit du compte courant s’élève à 7,8 % du PIB et la dette extérieure s’élève à 56 % du PIB. Dans la même période le niveau de l’inflation atteint en moyenne le taux de 9,4 % l’an. Cette situation est imputable à des facteurs à la fois endogènes et exogènes. 1. Sur le plan interne  Les pouvoirs

les capacités de financement se sont révélées insuffisantes par rapport aux besoins. Les agents économique ont eu de plus en plus recours au crédit, d'ailleurs favorisés par les taux d'intérêts peu élevés. Les entreprises ont été confrontées à l'effet levier de l'endettement: le taux d'intérêt étant inférieur au taux de profit, l'investissement financé par l'emprunt rapporte plus qu'il ne coute et les entreprise ont intérêt à s'endetter pour financer leurs investissements. Le crédit, permettant