Importance De La Représentation Scénique

montre Dom Juan, Sganarelle et la statue du Commandeur venu pour le « festin de pierre ». Auteur Molière Genre Comédie Nb. d'actes 5 actes en prose Lieu de parution Paris Date de parution 1682 Date de la 1re représentation en français 15 février 1665 Lieu de la 1re représentation en français Paris Compagnie théâtrale Théâtre du Palais-Royal Metteur en scène Molière modifier Consultez la documentation du modèle Dom Juan1 ou le Festin de pierre est une comédie2 de Molière en cinq actes (comportant

origine en Espagne dans une pièce de Tirso de Molina, El Burlador de Sevilla. La pièce passée en Italie a inspiré Cicognini, Giliberto et la commedia dell'arte sous le titre de Il Convitato di Pietra. Elle devient célèbre en France à partir de la représentation des Italiens de 16588. Il semble cependant que Molière n’ait eu connaissance que des versions italiennes et françaises9. Cette pièce s’inscrit dans un projet de Molière de « dénoncer les vices du siècle »10, en particulier l’hypocrisie. Elle

que le chauffeur conduit. Le personnage en gris (Knock) semble étonné de ce qui est en train de se passer tandis que son voisin (M. Parpalaid) se réjouit de ce qu’il voit. Les couleurs et la composition donnent à voir une certaine artificialité scénique et inscrivent plutôt la scène dans le genre comique. 2 Observez les personnages : corpulence, costumes, attitudes. Comment pourriez-vous les © Éditions Belin/Éditions Gallimard, 2008. caractériser ? Mme et M. Parpalaid, qui encadrent Knock

malgré lui), les auteurs espagnols et italiens (Dom Juan) et des thèmes traitées par d'autres à son époque. Mais son œuvre écrite sur 15 ans montre à la fois une grande variété et une grande vérité humaine en même temps qu'une maîtrise efficace du jeu scénique et du texte de théâtre qui révèle l'homme de scène qu'il était avant tout puisqu'il a continué à jouer malgré la maladie jusqu'à son dernier jour survenu à 51 ans, le 17 février 1673. Molière demeure depuis le XVIIe siècle l'un des tous premiers

syntaxe, de son lexique [...] n'a d'autre raison d'être que de rappeler l'autorité de son auteur et la confiance qu'il exige : le style est en ce cas un élément de l'appareil [...] par lequel le langage vise à produire et à imposer la représentation de sa propre importance».17 Alors, se passe ce qui était prévu : au bout d'un certain temps Fauchelevent, tout à fait déconcerté, et qui «sous cette douche, n'[est] pas fort à son aise», capitule. Il ne pose plus de questions, il applaudit sa supérieure

dans le cadre de l’objet d’étude « lire - écrire - publier ». La première interrogation suscitée par ce choix est le genre de l’œuvre : une pièce de théâtre. Cela redouble la question de la réception : s’agit-il de la lecture du texte ou de sa représentation sur scène ? La question est d’autant plus pertinente pour cette œuvre, que Musset lui donne une forme théâtrale mais n’envisage pas que la pièce soit représentée. Il l’a publiée dans un recueil i ntitulé Un spectacle dans un fauteuil (le lecteur

tandis que le chauffeur conduit. Le personnage en gris (Knock) semble étonné de ce qui est en train de se passer tandis que son voisin (M. Parpalaid) se réjouit de ce qu’il voit. Les couleurs et la composition donnent à voir une certaine artificialité scénique et inscrivent plutôt la scène dans le genre comique. 2 Observez les personnages : corpulence, costumes, attitudes. Comment pourriez-vous les caractériser ? Mme et M. Parpalaid, qui encadrent Knock, sont d’une corpulence assez forte ; leur sourire

SEQUENCE 8 : LE MONSTRE AU THEÂTRE Lecture analytique n°16 RACINE, Phèdre, 1677, acte II, scène 5. !!! La flèche  introduit des remarques portant sur la représentation (perspective importante puisque le texte théâtral est un texte à représenter et que votre objet d'étude insiste sur ce point : « Le théâtre, texte et représentation) Quelques éléments pour une introduction : Présentation de l'auteur et de l'oeuvre : Racine, célèbre dramaturge de la fin du XVIIe siècle. Auteur de Phèdre

de Peter Szondi, le drame pur obéit à certaines règles :  il n’y a pas de dialogues ou d’interventions entre le spectateur et le spectacle - contre-exemple : le dada où les spectateurs sont provoqués par les comédiens  la forme de la pièce est scénique, frontale  l’acteur doit s’identifier au personnage qu’il représente  il est successif, le spectacle se déroule dans le présent, il n’y a pas de sauts dans le temps  toutes les autres formes, qui ne correspondent pas à ces règles, menacent le

spectacle. La scène est rectangulaire ou trapézoïdale, les risques d’incendie sont élevés, la scène étant éclairée par des bougies. Les spectateurs sont debout sur le parterre, on trouve des places sur la scène même, et ce, jusqu’en 1759. Les représentations se font à 17 heures avec deux œuvres : une longue et une plus courte. Le public est constitué d’habitués et de versatiles (surtout les provinciaux et les étrangers). La « claque » impose toujours sa loi. Il n’y a pas de metteur en scène