Impulsion Budgétaire

Chapitre 6 : Les limites à l’efficacité des politiques économiques |   I-              Les limites de la politique budgétaire   A/ Quels sont les coûts liés au financement de la politique budgétaire ?   Pour financer une politique budgétaire de relance, l’État peut recourir soit à l’emprunt – ce qui conduit à une augmentation de la dette publique –, soit à la hausse des impôts. Ces deux sources de financement comportent des limites.   1. L’emprunt, source d’effet d’éviction   Le recours

général des prix. Politique monétaire: Volet de la politique économique visant à influer sur l'évolution de la masse monétaire et les taux d'intérêt et, par ce biais, sur l'inflation, la croissance, l'emploi et le taux de change. Politique budgétaire: Compartiment de la politique économique qui se définit par son moyen, le budget de l'État. L'effet principal du budget se situe au niveau de la demande, qu'il s'agisse de l'importance et de la nature des dépenses, des recettes et du déficit ou

production (capital et travail) et donc chômage minimum ; La stabilité des prix ; L’équilibre extérieur. Réalisés à l’aide de deux principaux instruments La politique budgétaire La politique monétaire La politique de relance et la politique de rigueur La politique de relance pour lutter contre le chômage Mesures de politique budgétaire : des dépenses et/ou recettes => de la demande ( de la production) => embauches => du chômage Mesures de politique monétaire : des taux d’intérêt directeurs de la

multiples, on peut citer :  politique monétaire : consiste à réguler la masse monétaire : fixation du taux d’escompte, encadrement des crédits, libéralisation des taux d’intérêt…  politique budgétaire : agir sur l’économie par le budget de l’Etat : choix du volume des dépenses de l’Etat, du déficit budgétaire…  politique des revenus : liberté de négociation ou réglementation, contrôle des prix et des salaires, fixation du SMIG…  politique fiscale : consiste à un dosage des prélèvements directs

Les objectifs de la politique monétaire 2. Les techniques d'intervention pour les banques centrales : du réescompte aux procédures d'open market C. La politique budgétaire 1. L'action sur la conjoncture 2. L'efficacité de la politique budgétaire en débat

poussent les états à moins intervenir. 1) La contrainte budgétaire et l’endettement public. Depuis les années 1970 l’état français à accumuler les déficits budgétaires. Les plans de relances économiques lui coutent très chère. Les recettes fiscales ne suffisent plus à couvrir les dépenses de l’état. C’est pour cela que l’état français en ce moment essaye de faire des économies et de minimiser les dépenses pour orienter sa politique budgétaire différemment. La dette de l’état s’élève à 882 milliard

politique monétaire grâce aux taux directeurs, il n'en reste pas moins que chaque état reste libre de mener sa propre politique fiscale et budgétaire. Depuis 2010, on peut se demander s'il ne faut pas contraindre les états à plus de vigilance quant à leur politique qui sont une cause de la crise de la dette souveraine. En effet la Grèce abusé d'une politique budgétaire autorisant de large déficit et l'Irlande d'une politique fiscale très avantageuse pour les entreprises ne permettant pas suffisamment

(monétaires et budgétaires) mais les économistes ne sont pas tous d'accord sur leurs bien-faits. Dans la zone euro,les contraintes des institutions rendent difficile la mise en œuvre de la politique monétaire unique de la banque centrale européenne (BCE) et des politiques budgétaires des 17membres de l'union économique et monétaire (UEM) mais ces institutions sont obligatoire pour lutter contre les crises économiques et éviter la récession. Comment les politiques monétaires et budgétaires de la zone

243-278.qxp 21/11/2005 11:38 Page 243 POLITIQUE BUDGÉTAIRE ET TAUX D’INTÉRÊT Bruno Ducoudré * Doctorant au Département économie de la mondialisation de l’OFCE Depuis les années 1970, la montée des déficits et des stocks de dette publique a conduit les économistes à soulever la question de leurs effets sur les taux d’intérêt. La dette croissante et les déficits récurrents auraient engendré des pressions inflationnistes, ce qui aurait contraint les banques centrales à augmenter le

du fédéralisme. • Vingt ans après le principe de l'Union monétaire, les architectes de l'Europe sont toujours divisés en trois camps : les partisans d'une Union minimale, qui s'en tiennent à l'indépendance de la Banque centrale, à la discipline budgétaire et au bon fonctionnement de la concurrence ; ceux qui veulent plus de coordination entre les gouvernements des pays membres ; et ceux qui plaident toujours pour une union politique fédérale. 2 - Les nouveaux cadres de l'action publique. Cette