Incantation

que les sentiments seront généraux à toutes les personnes survivantes à la guerre. « On » est un pronom personnel indéfini de troisième personne. La répétition du groupe verbal « on oubliera » est un effet poétique d’insistance c’est presque une incantation pour ne pas oublier les morts de la guerre. Les survivants oublieront le souvenir des soldats morts et les atrocités et horreurs de la guerre. Ils recommenceront à vivre et auront des nouvelles vies. Le narrateur avoue même qu’il « y aura de la

défend une approche « scientifique » des problèmes organisationnels. On imagine que les « solutions collaboratives » suffisent à instaurer des groupes, des équipes, des communautés et autres réseaux sociaux. Entre promesses technologiques et incantations managériales, les salariés-collaborateurs sombrent bel et bien dans un marécage qu’on baptisera Collaboration 2.0 ou Entreprise 2.0 ou Organisation 2.0 ou Management 2.0 ou N’importe-quoi-2.0. Quand les (bons) outils ont été choisis et installés

corps. Le poème se termine par un distique qui calme le lecteur mis en accusation par la strophe précédente, ce qui est également le cas des trois poèmes. Dans les trois poèmes du corpus, les poètes s’adressent directement au lecteur par des incantations suivies d’impératifs: « Ô mortels avertis et voyez et croyez » dans l’Epitaphe de Du Baïf qui renforce encore l’ordre par la répétition du « et ». Dans l’Epitaphe de Drelincourt, celui-ci adresse des ordres à son lecteur, un passant dans ce cas-ci :

informaticien. On n'arrête pas le progrès. • N'allez surtout pas croire que je veux garder pour moi les clés du savoir et en tenir éloigné le vulgum. Que je regrette le temps où les ingénieurs système détenaient le pouvoir, abrités derrière leurs incantations absconses. Nenni. Bien au contraire, étant d'un naturel |N° |NOM |PRENOM | | |

piqûre, / Oh ! plaignez le mal ! » (vers 18 et 19) Usage de la deuxième personne du pluriel implique également directement le lecteur. La répétition du verbe « plaindre », qui est une invitation à la compassion, prend presque les allures d’une incantation. + « Ô » lyrique v.10 : « O sort ! » Victor HUGO compte sur l’alchimie des mots, leur magie pour agir sur le lecteur. Au registre tragique évoqué précédemment s’adjoint le registre pathétique : appel à la compassion. Ceci n’empêche pas HUGO de

selon un mouvement de correspondances symboliques. Mais la matière sonore du pantoum créée une vibration suggestive qui dépasse le cadre strict de la réalité visible et sensible. Quelques éléments permettent d’interpréter ce poème comme une incantation. Déjà, la formulation du vers liminaire «  Voici venir les temps » sonne ainsi. De plus , les répétitions des vers (douze vers repris sur seize) valident cette hypothèse. En outre, on remarque que chaque vers semble relativement indépendant de

en une sorte d’avertissement, à moins qu’il ne se parle à lui-même. Pourtant, la Rome antique est bien là au cœur de ses ruines, par contraste ; on vient de le voir, mais son nom, réitéré à dix reprises dans le poème, comme à la rime, en une incantation, est bien là pour rappeler sa gloire passée . C’est ce prestige, entretenu par les livres, que recherchait le poète et qu’il entend réveiller ici : Rome, ce sont bien entendu, comme on l’a vu, des bâtiments jadis luxueux et imposants, ces « palais

pour faire revenir le cavalier. Elle l'appelle en utilisant la magie noire pour tuer toutes les personnes en rapport avec l’héritage. Le procédé consiste à reccueillir un cheveu de le victime puis à l'aide de la tête du cavalier, elle fait une incantation. La sorcière qui est la sœur jumelle de la belle-mère se fait posséder par le cavalier afin d'aider Ichabod dans sa quête. Ichabod utilise le jeu d'optique qui représente de la magie aux yeux des autres. Il est très porté sur la science et sur

suspecter, de peur de passer pour un maniaque de la persécution. Immense, elle semble dominer le monde et paralyse toutes les énergies. Pourtant, dès qu’on l’affronte, ou la traverse, on peut alors se rendre compte qu’elle n’est qu’une ombre. 1) Incantations la précaution élémentaire est de ne tenir pour homme que ce qui est fait de chair et d’os et qui a la forme humaine. Bien sûr cela va de soi! Mais attention, l’apparence est trompeuse. Il y a de nombreuses figures humaines qui ne sont pas des

dana Refrain: Dans la vallée HaanhanHan De DANA Daalidada Dans la vallée HaanhanHan J'ai pu entendre les échos Dans la vallée HaanhanHan De DANA Daalidada Dans la vallée HaanhanHan Des chants de guerre près des tombeaux Après quelques incantations de druides et de magie Toutes la tribu le glaive en main couraient vers l'ennemi La lutte était terrible et je ne voyais que les ombres Tranchant l'ennemi qui revenait toujours en surnombre Mes frères tombait l'un après l'autre devant mon regard