Incendies Vengeance

justice et de la vengeance ? I. Justice et vengeance se distinguent 1) Justice et vengeance : différentes par nature a. Justice = loi universelle / Vengeance = désir personnel Nous rencontrons d’emblée une opposition entre Justice et vengeance : en effet, la justice se présente comme une puissance impartiale, universelle et juridique, alors que la vengeance est une puissance personnelle, subjective et qui relève de la passion. Tandis que la justice est loi, la vengeance est désir. D’un

cette maxime, nous nous concentrerons sur le livre « Le comte de Monte-Cristo » d’Alexandre Dumas. En effet, cet auteur français du XIXème siècle a su créer dans son livre une intrigue autour d’un personnage assoiffé de justice et aveuglé par la vengeance qui, pour assouvir ses désirs, modifiera son identité afin d’arriver à ses fins. De manière à comprendre la citation de Yaël Azoulay dans sa totalité, il est important de déceler les sous-entendus. « La place de l’Homme » est à considérer, surtout

ultime ? En effet, chaque homme né libre et égaux en droit (déclaration des droits de l’homme de 1789). Le droit à la vie est inhérent à la personne humaine. Aucunes autorités ne sauraient décider de la mort d’un être humain. La PDM relève de la vengeance et pas de la justice  elle légitime la violence qu’elle prétend combattre. Un criminel motivé par ses pulsions, passions et autres fantasmes n’est pas dissuadé par la mort. Par rapport à la loi du talion, on ne peut pas punir un crime par un

coupable. Lors de cette époque primitive, la justice est synonyme de vengeance : c'est l'époque de la vengeance privée. Ce système est tout de même réglementé : la règle générale est que l'étendu de la vengeance doit correspondre à l'étendu du crime. Cette règle est connue de tout le monde : « Œil pour œil, dent pour dent. » (Il n'est pas possible de tuer la personne qui a blessé la victime) Cette réglementation de la vengeance privée va se développer et s'épanouir, et le système va se civiliser

caractère de la vengeance, sans se présenter ouvertement comme telle.Lorsqu'une « justice » sans procès ou sans parole donnée à la défense s'exerce, comme par exemple dans un État tyrannique, n'a-t-on pas affaire à une vengeance qui se fait passer pour une punition ?Hegel nous montre que de telles situations existent et qu'une telle justice n'est alors qu'une vengeance déguisée, car elle ne délibère pas et applique un équilibre aveugle et injuste qu'on retrouve souvent dans les vengeances privées. Elle

vie d’un autre. Mais fait-on vraiment la justice à une victime en exécutant son assassin? Non, la seule façon de faire justice à cette victime serait de lui redonner sa vie, qui n’est pas possible. Cette conception relevée beaucoup plus sur la vengeance que sur la justice. De plus, une société éprise de justice ne devrait-elle pas donner l’exemple en respectent elle-même ce qu’elle veut que tous ses membres considèrent comme sacré, la vie? Droit à la vie Toutefois, je suis bien conscient

George dévoile l'inégalité entre la puntion et la vengeance oau lecteur de maniere explicite : "La vengeance [...]est une réparation obtenu par un acte de la partie lésée, tandis que l'autre [la punition] est l'oeuvre d'un juge" (l8-9). Encore une fois, l'auteur met en relief le rôle dominant que la passion joue dans la vengeance, et que "le droit se trouve ainsi troublé" (l11). Il continue cette différenciation en indiquant que la vengeance est fondée par "le sentiment" ou "un mobile subjectif"

spectateurs. La scène d’exposition décrit le rôle et établi les liens entre les personnages principaux de la pièce. Emilie, personnage énonçant ce monologue, nous fait découvrir son profond désir de se venger d’Auguste (« impatient désirs d’une illustre vengeance », » pour une mort, lui [Auguste] devoir mille morts. »), ainsi que son état psychologique, allant de la haine profonde à la crainte de perdre son amour. Malgré cette peur, elle est déterminée. Auguste s’est hissé au pouvoir par l’intermédiaire de

meurtres se multiplient, on a pas toujours le choix; il n'existe pas trente-six solutions . Un criminel ne mérite pas de revoir la lumière du jour, car il ne se calmera jamais. Un voleur continuera de voler, un tueur ou un violeur sera pris de vengeance et aura d'énormes risques de récidiver. Exécuter un Meurtrier est beaucoup plus sûr que de le laisser derrière les barreaux, avec l'espoir de s'en tirer. De plus, les familles des victimes se sentiront beaucoup plus rassuré de savoir que l'assassin

Rodrigue – Chimène – Elvire Rodrigue apparaît et lui propose de le tuer, mais Chimène lui dit de s’en aller et qu’elle ne le hait point. Rodrigue s’en va. Scène 5 Don Diègue Don Diègue craint la vengeance des amis du comte. Scène 6 Don Diègue – Don Rodrigue Don Diègue félicite son fils, mais Rodrigue lui confie tous ses malheurs. Don Diègue demande à son fils de prouver au roi qu’il est un bon chevalier. Acte IV Scène 1 Chimène