Indépendance algébrique

propriétésattributs ; – une propriété-opération est un couple . Une propriété est l’essence même d’une relation sémantique. Les propriétés de type propriété-attribut décrivent l’état d’une relation sémantique. Nous les classons par catégories : – les attributs algébriques, qui définissent l’état interne d'une relation. Ils concernent des propriétés comme la réflexivité, la symétrie, l'antisymétrie ou la transitivité d'une relation, ainsi que les notions de relation d’ordre et de relation d’équivalence qui peuvent

ses chiffres et si celui-ci est divisible par 3, c'est que le premier l'était. C'est identique avec 9. Exemple : 12351 est-il divisible par 3 ? 1 + 2 + 3 + 5 + 1 = 12 12 est divisible par 3 (1 + 2) donc 12351 est divisible par 3. Sommes algébriques Lorsqu'une parenthèse est précédée du signe +, on peut supprimer le signe + et la parenthèse à condition de conserver tous les signes à l'intérieur des parenthèses. Lorsqu'une parenthèse est précédée du signe -, on peut supprimer le signe - et

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 Exponentielle 5.1 Construction et propriétés élémentaires . . . . 5.2 Propriétés algébriques et notation exponentielle 5.3 Propriétés analytiques . . . . . . . . . . . . . 5.4 Exercices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

28 1. Construction d'un tableau de contingence. 2. Caractéristiques des séries à deux caractères. 2.1. Lois marginales. 2.2. Lois conditionnelles. 2.3. Covariance. II. Etude de la liaison entre deux variables. page 35 1. Indépendance - Khideux - V de Cramer. 2. Liaison fonctionnelle - Rapport de corrélation. 3. Ajustement par la méthode des moindres carrés. CHAPITRE IV. Les séries chronologiques. page 44 I. Présentation et Analyse théorique des séries chronologiques

Situation A et B p.46 Leçon 1. Généralités sur les fonctions polynômes du second degré 1/ Fonction polynôme Définition : Fonction polynôme du second degré Une fonction polynôme de degré 2 est une fonction f définie sur ℝ , dont l'expression algébrique peut être mise sous la forme f (x )=a x2 +b x+c , où a, b et c sont des nombres réels avec a≠0 . Les nombres réels a, b et c déterminent la fonction et sont appelés les coefficients de la fonction polynôme. Remarque : L'expression a x^2+

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 Exponentielle 6.1 Construction et propriétés élémentaires . . . . 6.2 Propriétés algébriques et notation exponentielle 6.3 Propriétés analytiques . . . . . . . . . . . . . 6.4 Construction de l’exponentielle . . . . . . . . 6.5 Exercices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

stationnaires 6.8 Quelques liens entre modélisation et stabilité . . 6.9 Propriétés structurelles . . . . . . . . . . . . . . . 6.10 Compléments bibliographiques . . . . . . . . . . 6.11 Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 Commande algébrique des EDPs 7.1 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7.2 Motivations et méthodologie . . . . . . . . . . . . 7.3 Notion de liberté . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7.4 Notions de commandabilité . . . . . . . . . . . . 7.5 Des systèmes

aux valeurs extrêmes, contrairement à la moyenne : quelques données aberrantes ajoutées à la série (ou retirées de la série) peuvent modifier la moyenne de manière importante, mais laisseront la médiane à peu près inchangée. Les bonnes propriétés algébriques de la moyenne en font un indice plus facile à utiliser que la médiane. 16 Dispersion et distance. On peut utiliser la dispersion de l’échantillon autour d’une valeur comme distance de cette valeur à l’échantillon : une valeur sera d’autant plus

branches issues d’un même nœud est égale à 1. – Lorsqu'une situation est représentée par un arbre pondéré, la probabilité d'un événement correspondant à un chemin est égale au produit des probabilités inscrites sur chaque branche de ce chemin. Indépendance de deux événements Considérons le tirage au hasard d’une carte d’un jeu de 32 cartes. On note A l’événement « tirer un as », B l’événement « tirer un cœur » et C l’événement « tirer un as rouge ». Calculer les probabilités p(A), p(B), p(A

l’écart - type est le nombre σ défini par : σ = V. Exercice n°5 : Un joueur lance un dé : si le numéro est un nombre premier, le joueur gagne une somme égale au nombre considéré (en euros) ; sinon il perd ce même nombre d’euros. 1°) Si X est le gain algébrique réalisé, donner la loi de probabilité de X et calculer son espérance mathématique et son écart-type. 2°) Le jeu est-il favorable au joueur ? II. CONDITIONNEMENT a. Arbres pondérés Règles de construction La somme des probabilités des branches