Indice de Shannon

une mesure de la biodiversité de tout ou partie d'un écosystème ; elle désigne le nombre d’espèces  de faune et/ou de flore présentes dans l'espace considéré, et la diversité de chaque quadras notamment grâce à l'indice de Shannon : H' : indice de biodiversité de Shannon i : une espèce du milieu d’étude  : Proportion d’une espèce i par rapport au nombre total d’espèces (S) dans le milieu d’étude (ou richesse spécifique du milieu), qui se calcule de la façon suivante : où  est le nombre

(nombre d'espèces, indices d'hétérogénéité, etc.). Ces méthodes se basent généralement sur la manière dont le nombre d'espèces répertoriées évolue en fonction de l'effort d'échantillonnage. Encore aujourd’hui, les scientifiques ne sont pas tous d’accord sur la méthode à adopter pour exprimer de manière la plus pertinente les dimensions d’abondance et d’équitabilité. Il existe à cet effet un grand nombre d’indices dont les plus utilisés sont les indices de pour n’en citer que deux. Shannon et de Simpson

comme l’exige l’ACC, en leur attribuant des classes de valeurs. Composition et diversité floristique La diversité floristique a été appréciée à travers la richesse spécifique, la diversité en genre et en famille, les indices de Shannon et d’équitabilité de Piélou. L’indice de Shannon (H’) est utilisé pour apprécier l’hétérogénéité et la diversité d’un biotope. Il se calcule par la formule suivante : H’ = -Σ(ni/N) x ln(ni/N) où ni est le nombre d’individus de l’espèce i et N le nombre total d’individus

tiges de blés, pour ainsi déterminer le nombre de tiges contaminées. Pour comptabiliser le nombre de pucerons, nous faisons cela grâce à une échelle, représentée dans le tableau ci-11. Tableau 11 : Indice de la présence des pucerons Nombre de pucerons estimés 0 0-10 11-30 31-50 50-100 >100 Indice I0 I1 I2 I3 I4 I5 Sur ces 30 tiges, nous faisons également le suivi des chrysopes, coccinelles et syrphes. Ceux-là sont comptés précisément. Sur tous ces insectes, on observe la présence de

d'échantillonnage considéré, et qu'elle vaille 0 pour tous les autres instants d'échantillonnage. L'ensemble de ces fonctions est alors sommé pour reconstruire le signal final. Cette formule d'interpolation est connue sous le nom de formule de Whittaker-Shannon: x(t)=∑ x[n] sinc((t-nT)/T) Ici T = 1/f , où f est la fréquence d'échantillonnage. Cette formule n'est pas applicable en pratique car elle demande une sommation sur un très grand nombre de termes. D'autres techniques sont utilisées, par exemple

sablo-limoneux à limono-sableux de 0 à 20 cm de profondeur et de limono-argileux à argilo-limoneux de 20 à 50 cm de profondeur. L’abondance spécifique au sein des synusies composantes est peu équilibrée avec des valeurs relativement moyenne de l’indice de shannon (0,34 – 0,50) et un faible coefficient d’équitabilité de Pielou (1,96 – 2,21). Mots clés : Bénin – Kpomassè – phytocénose – phytosociologie – synusie ABSTRA The phytocenose whith Mallotus oppositifolius and Dichapetalum madagascariense

et fondent ces deux matières. F. de Saussure (Francosuisse) : sémiologie C.S Pierce (années 60-80) : sémiotique S’intéresse à comment se produit la signification, l’interprétation. 1963 : Jakolson transpose le modèle de 1949 de Shannon. Modèle de Shannon à la base : Source ->transmetteur->canal->récepteur->destination Bruit Modèle de Jakolson : Contexte Destinateur ou émetteur -> message -> destinataire ou récepteur Contact

message en fonction des éléments pris en compte. Plusieurs spécialistes se sont intéressés à ce processus de communication, proposant ainsi de nombreuses théories concernant le schéma de communication. Le plus célèbre étant le modèle proposé par Shannon. Message Signal reçu Signal émis Message Ce modèle, basique, a servi de point de départ à d’autres propositions de processus communicationnels. Nous parlons ici d’une communication particulière selon l’angle par lequel elle est envisagée

plus poussés n’existent pas dans certains pays dû à la pauvreté. Les industries s’implantent le long des rivières et des mers, notamment pour pouvoir mieux communiquer. La théorie d’Adam Smith est partiale. Théories des marchés du monde entier : indice de croissance, marchand citoyen du monde. La coopération et la division du travail Cette nouvelle réflexion d’Adam Smith provient de deux auteurs : E.Wakelfield et Babbage. => correctif sur le concept de base > la coopération (il va

l'information... mais c'est quoi?... Ce qui se transmet, ce sont des signaux ou, selon l'acceptation, des signes. signes, signaux, indices, symboles Des signes (Saussure), ce sont des signaux associés à un sens (une interprétation) ces signaux peuvent être intentionnels ou non. Càd que celui qui les transmet, le fait volontairemenet et consciemment ou non. (signes vs. indices, ex : nuages gris => pluie, cernes => fatigue vs. ). c'est parce qu'il y a signal, que celui à qui est adressé le message perçoit