Indigènes

nous venons de le dire, à se couper de la société des Blancs et à rester le plus possible en contact étroit avec les indigènes, ce qui ne peut se faire que si l’on parvient à camper dans leurs villages. Il est très agréable, pour les provisions, de disposer d’un pied-à-terre chez un résident blanc et de savoir qu’on y trouvera refuge en cas de maladie ou de lassitude de la vie indigène. Mais il doit se trouver suffisamment éloigné pour ne pas devenir un milieu où l’on vit en permanence et dont on ne

naviguer les mers de l’Amérique de nord et comment traiter les indigènes. Champlain avait hâte de voir toues les places que Jaques Quartier avait vu de 60 années passées. Champlain avait aussi établi de nombreuses relations positives avec les Montagnais et les Algonquins. Pendant cette expédition Champlain a appris que les Indigènes sont des personnes très amicales et raisonnables. Il avait aussi appris que les Français et les Indigènes pouvaient vivre ensemble sans violence.’’5 Établissement

reçoivent des produit manufacturés. Chaque territoire se spécialise dans un type de production : par exemple, l’Indochine fournit le caoutchouc et le Maroc les phosphates. S’il enrichit parfois des intermédiaires ou des planteurs indigènes, ce système fragilise les sociétés indigènes, les cultures vivrières étant sacrifiées au profit des denrées tropicales et des cultures industrielles. Enfin les échangent culturelle sont limité entre la métropole et les colonies hors ville coloniale. Des structures visant

le sujet de la conquête du nouveau monde est toujours très présent dans la littérature : les écrivains s'interrogent sur le statut de " l'Autre" et sur la légitimité de ces conquêtes. Dans Des Coches, M. présente une rencontre entre espagnols et Indigènes. Il met en place un dialogue fictif afin d'exposer son point de vue. Nous allons suivre le plan suivant: I- Le discours des Espagnols. 1) Des Conquistadors supérieurs et imbus d'eux mêmes 2) Un discours qui montre la cupidité des Espagnols

récit, Jean de LERY nous conte sa première expérience avec les indigènes tout en mêlant des élément de ses rencontres quisuivirent. Il écrira Histoire d'un voyage fait en la terre de Brésil après son retour forcé en France en 1558 et son œuvre ne sera publiée qu'en 1978, soit 20 ans après son expulsion du Brésil. Nous nousintéressons à un passage du chapitre XVIII dans lequel Jean de LERY récit de sa première rencontre avec les indigènes (à laquelle il mêlera ses autres récits) dans son raisonnement

en 1949, se déroulait de l’autre côté de la méditerrané, La Guerre d’Algérie, une guerre d’indépendance qui opposait ce que l’on appelait l’Algérie française face à sa métropole de l’époque, la France. Une révolte mis en place par ‘’l’autre’’ cet indigène musulman, qui dans la colonie, c’est vue discriminé et victime de grande injustice. Pour mieux comprendre cette injustice, il sera question, dans ce texte, de la condition de l’indigène musulman de par la Juridiction coloniale française de l’époque

en Europe qui prétend apporter une mission civilisatrice au monde. Ce clivage colonialisme/anticolonialisme dépasse complètement le clivage structurant droite/gauche. L’abbé de Las Casas a eu le courage en 1552 de prendre la défense des peuples indigènes d’Amérique, massacrés par le colonisateur espagnol, dans une lettre au Roi. MAIS une bonne conscience coloniale domine. Jules Ferry, père du colonialisme en France dit à la Chambre : « rayonner sans agir, sans se mêler des affaires du monde pour

de Cadix, le 25 septembre 1493. En 1502, il part pour le nouveau monde avec le nouveau gouverneur. Il a alors 18 ans. En 1503, il y devient propriétaire d’une encomienda, c’est-à-dire un titre de propriété attribué à un Espagnol sur des terres indigènes avec les habitants qui y sont rattachés pour exploiter ces terres. Elle se situe à Concepción de La Vega sur l'île d'Hispaniola(une île des caraïbes aujourd'hui appelée Saint Domingue ou Haïti), et rapporte 100 000 castellanos1 par an. Mais cette

C’est aussi la troisième plus grande puissance après le Brésil et le Mexique. De nombreuses hypothèses suggèrent que les premières populations indigènes d’Argentine sont arrivées par le détroit de Béring, qui sépare la Sibérie orientale de l’Alaska, il y a environ 13'000 ans de cela. Avant 1492, ce pays est divisé en plusieurs groupes de populations indigènes : Araucano-Mapuches, Chiriguans, Chorotis, Collas, Diaguitas, Guaranis, Mocovís, Onas, Tehuelches, Tobas, Wichís et Yamanas.On estime à environ

les Pumé, une ville moderne où ils sont intégré et mis au centre de la dynamique. La modernisation des mythes Pumé est concomitante à l’évolution des relations entre les indigènes et l’Etat Vénézuélien. Cet Etat représente le monde des « Blancs », le monde des colons ; ces colons qui ont chassé, cherché à exterminer les indigènes. Ces derniers ce sont réfugier dans leur rêves, ces rêves leur permettent de s’échapper de ce monde qui les persécutes, les traques. Lorsque l’Etat Vénézuélien entreprend