Individualisme Contractuel

DISSERTATION DE PHYLOSOPHIE n °2 Amener le sujet Chacun d'entre nous, cherche à parvenir au bonheur tant désiré depuis notre enfance. Parfois basé sur le fondement d'une famille, ou encore l'obtention de quelque chose qui nous est cher comme une maison de rêve. Néanmoins, à un moment donné, un choix devra ce faire, parfois au détriment d'un autre désir nourrissant notre bonheur. Donner le sujet On peut alors se poser la question: La recherche du bonheur, est elle un idéal égoïste ? Clarifier

liens sociaux et prend une place non négligeable dans notre quotidien. Mais au delà de ça que nous apporte t’il vraiment ? Est il vital aujourd’hui d’avoir un emploi pour se sentir exister dans notre société ou au contraire renforce t’il notre individualisme pour être le mieux placé ? Le travail est un moyen de satisfaire et de subvenir à nos besoins : de pouvoir se loger, se nourrir, se soigner et de se faire plaisir de temps a autres. C’est aussi un moyen de ne pas se sentir exclu dans notre

clandestine » (GAUCHET, 2002,p 133-137). L'individualisme n'est pas un fait isolé, elle doit se saisir au sein d'une société et non en dehors et définir le contexte social qui le fait naître. Autrement dit, l'individualisme moderne n'est pas un individualisme isolé de tout contexte social, c'est une société (GAUCHET, 2002,p 133-137) individualiste qui forme des individus individualistes. Pour Calame( CALAME,2008, p 116) « l'individualisme occidental s'est développé aux côtés du capitalisme

la société et le bonheur privé qui touche l’individu. L’auteur prône le fait que le bonheur privé passe avant tout par le bonheur « collectif » et devient indispensable à la progression de l’Homme vers son individualisation. Mais cet individualisme aborde aussi des conséquences. L’Homme doit tout à la société passée et présente : son savoir faire, son intelligence, sa culture etc. C’est ce que Comte pose comme problème. L’homme est un individu mais l’individu réduit à lui même n’est plus

------------------------------------------------- Identités et diversités en Europe L’IDENTITE SOCIOLOGIQUE Le sociologue Henri Mendras définit l’Europe occidentale à partir de 4 traits : individualisme, nation, capitalisme, démocratie qui sont les fondements de ce modèle de civilisation. I L’individualisme A Religieux Les Evangiles fondent l’individualisme occidental en établissant un rapport direct entre la créature et son Créateur, chacun attend son salut personnel de son Créateur et de

lesquelles il ne peut plus se voir, ni se sentir sans éprouver un profond dégoût. Roquentin n'a plus d'affection pour personne, malgré la « rencontre » de l'Autodidacte à la bibliothèque, avec qui il entamera un dialogue opposant l’humanisme à son individualisme désengagé. Roquentin sent un profond éloignement avec tout ce qui l'entoure. Il ne supporte plus la bourgeoisie de Bouville, ni M. de Rollebon qui lui semble vite bien terne et sans intérêt, car « l’histoire parle de ce qui a existé, [et] jamais

protéger l’ensemble de la communauté d’une violence généralisée. Chaque individu ne se soucie que de lui-même, la solidarité est morte. En ce sens les hommes deviennent égoïstes et en viennent nécessairement au rapport conflictuel. Or cet égoïsme ou individualisme est réellement présent dans la majorité de la population française (plus que dans de nombreux pays) et devient alors un facteur d’insécurité. Quelles solutions le gouvernement doit-il trouver contre ce fléau qu’est l’insécurité ? L’éducation

à cette question, l’auteur met en évidence un procédé qui s’articule en quatre étapes : tout d’abord le repli de l’individu sur ses propres préoccupations personnelles, puis l’instauration d’une tutelle destinée à conforter les hommes dans cet individualisme ; enfin, il décrit comment ce pouvoir tutélaire se transforme en pouvoir despotique, et la finalité qui se traduit par un peuple réduit à l’état de « troupeau d’animaux timides et industrieux », comme le dit lui-même Tocqueville. Nous analyserons

libéralisme économique. Commence en 1870. La critique des socialistes et celle de Marx n’a pas convaincu grand monde. * Economie Keynésienne : Keynes (1936). 2ème : le marché : que peut on dire sur le(s) marché(s) ? Introduction : Individualisme et holisme. Exemple : comment peut on constituer un tout, une totalité, un ensemble ?? Cela amène à nous demander comment la France assure une certaine cohérence ? Comment est ce que ce « tout » tient ensemble ? Lorsque l’on parle de la

(regles externes comme les lois, les syndicats…) Le rôle de l’Etat est important car il répond à un critère de transparence, de concurrence, de sécurité, de qualité. Pas de libre marché sans régulation de la répartition (Impôts). * Individualisme méthodologique : L’idée fondatrice de l’économie résulte de multiple actions individuelles (Smith, Weber, Schumpetter). Egoïsme ( Main invisible d’Adam Smith (En visant un interêt particulier nous aboutissons à un interêt général).