Indulgents

est offensée, si la limite est franchie. Le juge est une sentinelle qui ne doit pas laisser passer la frontière. Voilà sa mission. [...] Je lis [...] la pièce intitulée «Les Bijoux», et j’y signale trois strophes qui, pour le critique le plus indulgent, constituent la peinture lascive, offensant la morale publique: «Et ses bras et sa jambe, et sa cuisse et ses reins [...]». Dans la pièce intitulée «Le Léthé», je vous signale la strophe finale: «Je sucerai pour noyer ma rancœur [...]». Dans la pièce

Manon s'enfuit. Ce sont les laquais de son père qui viennent « enlever » des Grieux. Dans le carrosse qui le ramène au logis familial, le jeune homme essaie de comprendre qui a pu les trahir Manon et lui.À la maison paternelle, l'accueil est plutôt indulgent. Le jeune homme se fait cependant railler par son père qui dénonce sa crédulité : « tu as tant de disposition à faire un mari patient et commode. » Il avoue alors à son fils que c'est M. de B… qui a séduit Manon : « Tu sais vaincre assez rapidement

ans, il vint s'établir avec sa mère, séparée à cette époque du général, à Paris, dans le quartier, presque désert alors, du Val-de-Grâce. C'est là qu'il grandit dans une liberté d'esprit et de lectures absolue, sous les yeux d'une mère extrêmement indulgente et assez insoucieuse à l'endroit de l'éducation. Il s'éleva tout seul, lut beaucoup, au hasard, s'éprit, dès quinze ans, à la fois de vers et de mathématiques, se préparant à l'École polytechnique et concourant aux Jeux Floraux. | Couronné deux

le « maximum », droits féodaux divisés en petites parcelles -religieuse : fêtes religieuses supprimées, culte de l’être suprême •la division s’installe dès que s’éloigne le danger contre-révolutionnaire : élimination successive Hébertistes, des Indulgents, → « La grande terreur » et impossibilité d’arrêter la paranoïa de Robespierre -la convention thermidorienne (juillet 1794-octobre 1795) -rétablissement de l’ordre libéral : églises rendues au culte, abolition de la loi du maximum,sortir de

s’inversent les vertus du héros de théâtre. C’est un antihéros. -Dans cette scène de théâtre dans le théâtre, trois personnages jouent les spectateurs : deux d’entre eux croient à l’illusion du spectacle. Valori, qui joue le rôle du spectateur indulgent. Il représente la bonne conscience, il rappelle les interdits : « devant le duc, l’épée nue ». Il interprète, commente les choses. « votre altesse ne peut avoir eu d’autre dessein…. ». Il est humain, crédule : « pauvre jeune homme ». Sire

livres devaient être soumis à l'examen d'un censeur; cependant, ceux-ci ne recevaient pas de véritables instructions ou limites à respecter. Cela restait à leurs propres appréciations, et dépendait donc totalement de la personne, certains étant plus indulgents que d'autres. Malheureusement, ce pouvoir arbitraire, le plus souvent, amenait les censeurs, responsables de la publication des livres qu'ils approuvaient, à ne pas prendre de risques et, dans le doute, à censure. Les auteurs sont tout de même

que ses parents lui imposent. Il n'est donc pas libre de faire ses propres choix et de dire son opinion. L'enfant est donc en quelque sorte soumis à ses parents. Dans un second temps nous avons retenu l'éducation laxiste avec des parents très indulgent,que l'on pourrait qualifier comme l'opposé de la sévérité. L'enfant est, avec ce modèle là, éduquer dans la liberté totale, aucunes règles ne lui sont imposées, il n'a donc aucunes limites ni contraintes et se permet tout, allant même parfois dans

de logement et vestimentaires pour s’occuper des prisonniers. 6. De Gaulle s’oppose à la majorité et en particulier à la Haute-Cour toujours en vue d’une France encore plus forte et parfaite. 7. Envers Philippe Pétain, de Gaule est assez indulgent. Pétain s’est retiré « dans le silence » et est déjà âgé. De Gaulle l’estime donc finalement comme « sage » et « digne », de plus « ce qu’il avait couvert était indéfendable ». Il laisse donc transparaitre de la pitié pour cet homme. De Gaulle montre

peau de mon bobo. - Je la gronde, elle pleure, et, la voyant en larmes, Je deviens plat. - Faisons la paix, je rends les armes, Jeanne, à condition que tu me souriras. - Alors la douce enfant s'est jetée en mes bras, Et m'a dit, de son air indulgent et suprême : - Je ne me ferai plus de mal, puisque je t'aime, - Et nous voilà contents, en ce tendre abandon, Elle de ma clémence et moi de son pardon. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Durant plusieurs décennies, la citoyenneté a eu mauvaise presse. Elle était, pour les plus indulgents, désuète, surannée, insuffisante en tout cas pour organiser la « vraie » démocratie. La « citoyenneté bourgeoise », liée, pour les Français, à la grande Révolution, était soumise à une critique radicale, elle n’était que « formelle » et non « réelle », pour reprendre les termes classiques d’une tradition qui a longtemps imprégné le monde intellectuel. Mais, depuis l’échec politique, des grandes idéologies