Industrie Pharmaceutique Pestel

permet pas de développer des actions commerciales très coûteuses. La production est sous-traitée à un autre laboratoire. Le marché britannique se révèle être extrêmement concurrentiel avec une place de 3 e exportateur mondial de produits pharmaceutiques. Deux grands laboratoires dominent le secteur : GlaxoSmithkline (anglo-américain) et AstraZeneca (anglo-suédois). Cette contrainte majeure doit orienter EG Labo vers la commercialisa-tion de génériques précis qui ne sont pas encore présents

particuliers, les entreprises et les administrations à lutter contre le réchauffement climatique. En clair, plus on émet de CO2, plus on est pénalisé. La France s’est engagée à diviser par quatre ses émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2050. Les industries les plus consommatrices d’énergie (sidérurgie, ciment, verre, chimie…) — responsables de 30 % des émissions en France — ne sont pas concernées par le projet, car elles sont déjà soumises à un système de quotas. Rejetant l’idée d’un impôt supplémentaire

équivalentes 1 : « Macro/Micro » (Shimell, 2001), endogène/exogène, au cœur / non au cœur (« core/non-core ») (Culp, 2001)… Une vision large de la notion de risques externes à la chaîne est donnée par F. Gillet et al. (2007) qui propose une démarche nommée PESTEL dont l’acronyme provient des sources analysées : Politiques, Economiques, Sociologiques, Technologiques, Ecologiques, Légales Figure 2.9. Figure 2.9 : Risques externes à la chaîne logistique (Gillet et al., 2007)  Si cette opposition reste la base