Inegalites Rio De Janeiro

comme Vidas Secas (sécheresse) de Graciliano Ramos , qui a été retenue par Nelson Pereira dos Santos un des cinéastes du cinéma novo pour être portée à l'écran. La question de la sécheresse et ses corollaires (la faim , la réforme agraire et les inégalités sociale ) symbolisait à ce moment-là la préoccupations politiques majeure du pays . La représentation du Nordeste a connu son apogée avec la production du cinéma novo. Dans le cadre de la représentation de la réalité brésilienne, le cinéma, surtout

prix du maïs par exemple, aliment de base de la plupart des pays sud-américains.[25] 3. Economie actuelle du Brésil Le Brésil fait partie des pays dits «émergents » et possède de ce fait toutes les caractéristiques qui s’y rapportent : des inégalités sociales et économiques gigantesques entre les différentes couches de population, ainsi qu’une très forte progression économique de l’ensemble du pays. Malgré le fait que le PIB[26] par habitant soit inférieur que ceux présents au Chili ou en

fixer une règle d’imputation du coût des mesures en faveur de l’environnement. Protocole de Kyoto : Le protocole de Kyoto est un accord international qui vise à approfondir et à mettre en œuvre la Convention Climat. La Convention a été adoptée à Rio de Janeiro en 1992. Elle constitue le socle de la coopération internationale sur le climat. A ce jour, 194 pays l’ont ratifiée. Elle reconnaît la responsabilité des pays industrialisés dans l’augmentation des émissions de GES, à l’origine du changement climatique

le développement de Rio de Janeiro - juin 1992): guide pour la mise en œuvre des engagements du Sommet planète Terre Serge Antoine – Martine Barrère – Geneviève Verbrugge Paris – La documentation française – 1994 - 442 p. Ce guide présente en français tous les textes de la déclaration de Rio, des engagements de l'agenda 21, des deux conventions (climat et biodiversité) et des deux textes adoptés sur les forêts et la désertification à l'occasion de la conférence mondiale de Rio (juin 1992). Ce guide

Part dans la production mondiale en % 14 1960 2003 28 3,3 45 5,5 33 370 one Belém São Luis Manaus NORDESTE sco nci São F ra Recife Salvador BRASÍLIA apricorne tropique du C Pa ra ná Victoria São Paulo Paranagua Rio de Janeiro Santos océan Pôrto Alegre Rio Grande Atlantique 1 000 km Les espaces agricoles plantations tropicales (cacao, coton...) canne à sucre Problèmes et dynamiques agricoles limites du polygone de la sécheresse front pionnier café cultures commerciales (dont

mai 2004 – 108 pages Depuis le Sommet de Johannesburg, l’ancrage du développement durable dans les territoires français est devenu significatif. Impulsé et animé par le Comité 21, le site portail des Agenda 21 (déclinaison locale de l’Agenda 21 de Rio) en France recense en avril 2004 près d’une centaine de démarches. Ce chiffre devrait doubler d’ici fin 2004. Si la majorité de ces plans d’action pour le 21ème siècle sont impulsés par des communes et des intercommunalités, quelques régions et départements

Matouk BELATTAF & Baya ARHAB Faculté de Droit et des Sciences Economiques Université A.Mira de Béjaïa ,QWURGXFWLRQ Depuis la Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement1 (« 6RPPHW GH OD 7HUUH »), qui s’est tenue à Rio de Janéiro en 1992, la question de la viabilité environnementale du développement se place désormais au premier plan des préoccupations mondiales, permettant ainsi la promotion du développement durable. En effet, pour assurer la pérennité du développement

réchauffement climatique. Dans le même temps, on constate que les politiques économiques de la seconde moitié du XXe siècle n’ont guère amélioré la situation des plus pauvres. Les inégalités se sont même creusées, ce qui pose la question de la croissance et du développement. Popularisé par le Sommet de la Terre de Rio de Janeiro en 1992, le développement durable s’est affirmé au fil des ans. En France, il a acquis une place importante, dont témoigne l’instauration d’un ministère de l’Ecologie et du Développement

produit dans un même mouvement de l’homogénéisation (modes de consommation et de production, circulation de l’information et production culturelle et scientifique…) et de la différenciation. Est-elle pour autant à l’origine de l’accroissement des inégalités dans le monde ? La question du développement inégal demeure une donnée essentielle de l’organisation géographique du monde soulignée par la montée en puissance des mouvements altermondialistes. De la même façon, la thématique du développement

cherche à couvrir les besoins humains et assurer l’emploi tout en réduisant les inégalités sociales, et en développant les solidaritées. Désormais, on pense également à limiter les polutions, préserver de manière raisonable les ressources naturelles, et préserver la biodiversité. Cela ajouté à la couverture des besoins humains et l’assurance de l’emploi, crée un espace qualifiable de viable. Lié à la réduction des inégalités sociales et le développement des solidarités, on parlera alors d’un espace vivable