Inflation Désinflation

de 20%). Par ailleurs, la BCE a des réserves de change bien plus importantes que ne pouvaient l'espérer les banques centrales nationales. Ainsi, la politique de change peut beaucoup moins tenir compte d'éventuels chocs externes (inflation importée, politique de désinflation des pays hors de la zone) à tel point qu'avant même sa création, la résistance des marchés européens à faire face à la crise financière de 98 a été attribuée à l'Euro. Celui-ci jouerait un rôle de bouclier (la capitalisation boursière

à la persistance de l’inflation et du chômage. La nécessité de lutter contre une inflation sans cesse plus forte renforce les thèses classiques et monétaristes. Pendant les années 80, les banques centrales apparaissent de plus en plus comme les gardiennes du temple, capables par la rigueur de leurs objectifs quantitatifs d’imposer la désinflation aux économies industrialisées, après des années de forte inflation. L’attention se porte sur la crédibilité de la politique monétaire. L’objectif de stabilité

pouvoir d’achat est constant sur le long terme , ils reviennent à leur plan de consommation initial , la production revient alors à son niveau antérieur . FRIEDMAN reprend donc la théorie quantitative de la monnaie d’I.FISCHER pour expliquer la forte inflation des années 70 : l’augmentation de la masse monétaire n’a aucune influence sur la production , elle n’a d’effets que sur l’augmentation des prix , car la sphère réelle et monétaire sont déconnectées . Or , l’inflation peut empêcher la croissance

parfois diminué. Globalement toutefois, la France connaît une inflation moyenne positive puisque sur un siècle les prix ont été multipliés par 20. Doc 7 Les périodes de forte inflation sont les périodes de guerre et d'après-guerre, les années 20 et les années 70. Si nous nous intéressons à l'histoire récente, nous constatons l'alternance d'une inflation forte dans les années 70 suivie d'une désinflation dans les années 80 puis d'une inflation maintenue à un faible niveau depuis: Doc 27 Alexis Direr

politiques : précarité, création d'asso. humanitaires (Restos du cœur...), lois de protection des + pauvres (RMI, CMU) ● Le 2nd choc pétrolier met fin aux illusions : Prix du pétrole : x2 (1979 guerre en Iran) et hausse du $. Inflation = 14% en Fr. (Tjrs <10% jusqu'en 83 [RFA inflation >5%]) les produits fr se vendent mal (trop cher) et la Fr se relance par l'armement (retard dans les hautes techno.) 2) La crise sape les piliers de la croissance 3 piliers des 30 glorieuses remises en cause (mode

vont engendrer un "effet de déplacement" dans les pratiques des BC. La monnaie sera utilisée comme un instrument majeur d'ajustement. Les dépenses de guerre et d'après-guerre ne pourront être financées que par une forte création monétaire. L'hyper-inflation qui en résultera aura la vertu de solder l'endettement public interne, et externe semble-t'il dans le cas allemand... Dans les années 1920, sauf au RU, dans le contexte de la reconstruction et surtout de la nouvelle croissance promise par les innovations

Libéralisation des services publiques se caractérise donc par l’ouverture à la concurrence plus ou moins grande selon le degrés de libéralisation. Cette strat est celle aujourd’hui mise en avant par autorité européenne pour principaux service publique Désinflation : Cela représente un ralentissement de l’inflation. Le taux d’inflation diminue, sans devenir nul ou négatif. La hausse des prix continue, mais à un moindre rythme. Question 2 : définir la politique économique. Quels sont ces objectifs ? Le

direction de Dr. O. J. Nnanna, Directeur Général. L’équipe chargée de l’étude comprenait MM. Facinet SYLLA (Chef d’équipe), Mohamed CONTE, Emmanuel. A. ONWIODUOKIT et Isitua K. OBIORA. Traduit de l’anglais par Dr. Tanou D. BAH Titre original: ‘’ Inflation Dynamic in Guinea’’ 2 Modélisation de la Dynamique de l’Inflation en Guinée Table des Matières Liste des Graphiques .......................................................................................................................

essayer d’atteindre le plein emploi. La politique monétaire doit jouer un rôle d’accompagnement. Il n’y aura pas de relance si la politique monétaire n’engendre pas une hausse de la demande. Limites : endettement cumulatif : effet boule de neige inflation dégradation de la balance commerciale (1982 : hausse des importations) fuite des capitaux flottants 2 – Les libéraux Position des libéraux en général : partisans d’une relance par l’offre Etat-gendarme importance du marché auto-régulateur qui

moyen et long terme, c’est-à-dire celui qui s’accompagne d’une inflation raisonnablement stable. On mesure l’utilisation des capacités de différentes façons. Si l’on s’en tient à l’indicateur peut-être le plus commun – le chômage – la notion d’utilisation soutenable des ressources devient opérationnelle avec le concept de NAIRU ou taux de chômage n’accélérant pas l’inflation, autrement dit celui qui est compatible avec une inflation stable1. L’intérêt du concept de NAIRU ne fait pas l’unanimité.