Inflation Désinflation

monétaire (dernière mise à jour : février 2009) 5.2 Le débat des instruments 5.3 La crédibilité des politiques monétaires 5.4 La communication des banques centrales 5.5 La règle de Taylor 5.6 La trappe à liquidité 5.7 Le ciblage de l'inflation (inflation targeting) 5.8 Politique monétaire et prix des actifs financiers 6. La politique monétaire depuis l’été 2007 6.1 Les outils traditionnels de la Fed 6.2 Les nouveaux outils de la Fed depuis l'été 2007 Introduction L'économie monétaire a connu

IS : Investissement = Épargne L'épargne va servir à la dépense d'investissement. Épargne ; historique français 1960-70 : Stabilité à 20 % ( inflation et revenus élevés) s'explique avec une période de croissance et des revenus qui sont hauts. L'épargne, dans les 70ies, trouvera des investissements rentables. 1978-87 : Chute ( désinflation et croissance plus faible, croissance du chômage) 1990-2007 : Reprise (faible consommation, chômage) Épargne ; écart entre les pays

économique sont sans cesse perfectionnés pour réaliser des objectifs qui dépassent largement les querelles idéologiques : croissance, plein-emploi, justice sociale, et pour corriger les déséquilibres qui compromettent la réalisation de ces objectifs : inflation, récession, chômage, déficit des finances publiques, création monétaire excessive, dépréciation de la monnaie, etc. En ce qui concerne notre sujet, c’est la politique de relance qui nous intéresse. Elle a pour but de dynamiser l’économie en produisant

l’équilibre économique globale Il y a équilibre si le marché IS et le marché LM s’équilibre IS :y=-kbr+k(L0+I0) LM :Y=f/l*r +(M-L0/l) IS C=0,6Y+200 I=-50r+700 LM L1=0,4Y L2=-100r+800 M0=800 IS=-125r+2250 IS=LM -125r+2250=250r Y=1500 r=6 Chapitre 2 inflations et chômage Section 1 l’inflation L’inflation est une hausse cumulative et auto-entretenue (c’est un mécanisme) du niveau général des prix, c’est une hausse des prix qui se traduit toujours en hausse des prix, elle s’articule autour d’un système

économiques  | | | | | |Chapitre 8 : Inflation et chômage | | |I – L’Inflation |

fléau, car elle dévalorise toute sorte d’actifs immobiliers, monétaires, liés à des valeurs boursières (mobilières), et les dettes.  Tout actif valorisé à un moment donné et qui en T+1 est revalorisé ne pourra que perdre de sa valeur si en T+1 il ya inflation.  L’inflation se manifeste par une hausse généralisée des prix. Quand les prix augmentent, l’offre est supérieure à la demande.  La demande est si importante par rapport aux produits alors que l’offre est moins importante. Si le pouvoir d’achat

2 Principe n°8: Le niveau de vie d’un pays dépend de sa capacité à produire des biens et services 2 Principe n°9: Les prix montent quand le gouvernement imprime de la monnaie 2 Principe n°10: À court terme, la société doit choisir entre inflation et chômage 2 Conclusion 2 1.4 Concepts clés - définitions Chapitre 2: Penser comme un économiste 2.1 L’économiste en tant que scientifique 3 3 3 La méthode scientifique: Un aller et retour entre observation et théorie 3 Le rôle des

12 496 milliards d’euros, 496 Millions Pib/Hab 36 993 UE 15 11 520 Milliards, 395 Millions Pib/ Hab 43 068 Peco, diversifier l’économie ce que d’autres pays ne pouvaient plus faire. 2. L’euro Inflation relativement faible. Problème de l’euro face au dollar, barrière au niveau mondiale pour favoriser les ets européennes pour l’export. D’autres disent que c’est un cout économique. L’euro portugais est il le même que l’euro Français ? ==>Croissance

1982, au lieu de 5% entre 1967 et 1973 ).  L'inflation était liée à l'augmentation du prix de l'énergie importée (facture pétrolière multipliée par 10 entre 1973 et 1982), et à l'indexation de l'évolution des salaires sur les prix.   • Désinflation et reprise fragile après 1983   La hausse des prix est tombée en dessous de 5 % en moyenne annuelle dès 1983, date à laquelle elle était inférieure à celle de l'Allemagne. L'économie française a profité de la baisse des cours du pétrole

(c’est-à-dire l’un des principaux « fondamentaux » des TCER) fait ressortir, selon nos hypothèses, que l’appréciation des TCER en CEMAC depuis 2001 n’aurait pas induit de dépassement de leur valeur d’équilibre, supposée être en 1996 (post-dévaluation et inflation maîtrisée). Ce n’est pas le cas en UEMOA, où le TCER serait en voie de désalignement. Cette appréciation persistante du TCER depuis 2001 handicape, à productivité supposée constante, la compétitivité globale des pays de la zone franc. En effet, alors