Inflation Et Anticipation

C'est la que peuvent se produire des problèmes de coordination : fuites dans les circuits : épargne, thésaurisation donc toute l'épargne n'est pas investie contrairement a la loi des débouchés. Existence d'incertitudes qui perturbent les anticipation des agents, donc leurs décisions → Ex : si les chefs d'entreprise craignent une récession donc retardent leurs décisions d'investissement ou d'embauche, que cette crainte soit vérifiée ou non → insuffisance de la demande et sous emploi

Les au donnent lieu à un au les ; / pour m dérivé les et de (cash) et livraison des actifs. de Les dérivés, par contre, désignent les pour lesquels les opérations de et de livraison sont (ex : achat aujourd'hui, livraison du titre dans 3 mois) Anticipation d'une du cours de Faction de la d'une vente ou d'un achat Le au ne et des'baisses. de que des hausses. Le de des t - de I c) Marché Typologie Les te de * * H^ excédents ~ . %>> trésorerie iife» Banque A ^ * '

ceux que cela intéressent, on peut renvoyer à un article d’Alan Kirman, intitulé « Whom or what does the representative individual represent ? », Journal of Economic Perspectives, 1992. Voir un bref aperçu de la question ici. - les questions d’anticipations sont également ouvertes. Leur forme est a priori libre, même si le choix retenu n’est pas neutre finalement ; - last but not least, on est bien dans le paradigme de l’homo oeconomicus, individu dont on étudie les décisions économiques, séparées

l'inflation conduit a la baisse de la valeur réelle des créances détenues par les agents qui pertent leurs capitaux a d'autre agents Et ceux qui prêtent perdent alors une valeur de leur créance L'inflation a tendance a s'auto-entretenir a travers les anticipation des agents Ce phénomène s'entretient au cours des boucles prix-salaires RT = P x Q to Rtn = 100 t1 Rtn = 100 to Rtn = 10 x10 Px Q t1 Rtn = 20 x 5 réel : volume ,constant nominal : je travail avec les valeurs , a prix courant PIB r = PIBn / P x

exemple entre 1 % et 3 %) ou encore une cible entourée d'une certaine marge de fluctuation (par exemple 2 % à ±1 %). D'après les défenseurs de cette stratégie, le ciblage d'inflation a plusieurs avantages : ❖ Il permet de fixer les anticipations des agents à un niveau relativement bas (proche de la cible), ce qui contribue à assurer la stabilité des prix à moyen long terme et à limiter la variabilité de l'inflation ; ❖ Il accroît la transparence de la banque centrale ;

désinflation correspond à la diminution du taux d’inflation. Avec la déflation, le niveau général des prix baisse. On observe également, lorsqu’une croissance réduite s’accompagne d’inflation, une stagflation (contraction des termes « stagnation » et « inflation »). B. LA MESURE DES PRIX EN FRANCE : L’INDICE DES PRIX A LA CONSOMMATION (IPC) La mesure de la hausse du niveau général des prix des biens et des services qui figurent dans la consommation des ménages s’effectue à l’aide de l’indice des

calculent la production qu'ils doivent réaliser afin d'offrir la quantité optimale de biens et de services demandée par les agents économiques. Le sous-emploi des facteurs de production est selon Keynes dû au fait que les entrepreneurs ont des anticipations pessimistes et sous-estiment la demande effective. Keynes à la différence de Jean-Baptiste Say et des néo-classiques ne raisonne pas dans le cadre d'une « parfaite rationalité des agents et... d'une information parfaite sur la situation présente

12% et le taux d’inflation est de 9%. d. Le taux d’intérêt nominal est de 5% et le taux d’inflation est de 1%. 6) Les travailleurs de l’entreprise « GauClou » s’entendent avec leur employeurs sur une indexation des salaires basée sur leurs anticipations du taux d’inflation de l’économie. Or, l’inflation réelle observée est plus forte que leur prévision. On peut donc conclure que : a. l’entreprise y gagnera, aux dépens des travailleurs. b. les travailleurs y gagneront, aux dépens de l’entreprise

travers des variables d’économie réelle et des variables d’économie financière. I - Variables d’économie réelle A/Le carrée Magique : De l’économiste Nicholas Kaldor, 4 variables : Croissance du PIB (%) – Chômage (% population active) - Inflation (%) – solde courant de la balance des paiements (%) Permet de mettre en relation 4 éléments fondamentaux de la « bonne santé » économique d’un pays et de voir ainsi leur évolution. B/ Le « Radar » de l’économie : Met en évidence d’autres

Politique conjoncturelle de relance : * Keynes * Objectifs : Relancer la croissance et lutter contre le chômage * Comment : Distribution de revenus en augmentant la consommation publique ou/et abaissant le taux d’intérêt * Risques : Inflation, augmentation des importations donc déséquilibre extérieur Politique conjoncturelle de rigueur : * Objectif : maitrise de l’inflation et amélioration du solde extérieur (compétitivité de la nation) * Rigueur salariale (freinage de la