Inflation Et Anticipation

calculent la production qu'ils doivent réaliser afin d'offrir la quantité optimale de biens et de services demandée par les agents économiques. Le sous-emploi des facteurs de production est selon Keynes dû au fait que les entrepreneurs ont des anticipations pessimistes et sous-estiment la demande effective. Keynes à la différence de Jean-Baptiste Say et des néo-classiques ne raisonne pas dans le cadre d'une « parfaite rationalité des agents et... d'une information parfaite sur la situation présente

calculent la production qu'ils doivent réaliser afin d'offrir la quantité optimale de biens et de services demandée par les agents économiques. Le sous-emploi des facteurs de production est selon Keynes dû au fait que les entrepreneurs ont des anticipations pessimistes et sous-estiment la demande effective. Keynes à la différence de Jean-Baptiste Say et des néo-classiques ne raisonne pas dans le cadre d'une « parfaite rationalité des agents et... d'une information parfaite sur la situation présente

certaines de pouvoir obtenir les crédits nécessaires à leurs investissements, soutenus par des projets nationaux de développement et sécurisé par un environnement international réglementé ont pu s'engager dans des projets durables. Chapitre 2: Inflation et chômage Nous avons tenté d'expliquer l'existence d'une croissance équilibrée de la fin de la reconstruction à la fin des années 60. A la fin des années 60, cette situation harmonieuse va prendre fin. La première manifestation de cette fin est

simultanément inflation et chômage durable : - rôle important de la monnaie et conteste les politiques keynésiennes de soutien à la demande, - il faut procéder à un contrôle stricte de l’inflation car à court terme la monnaie à un rôle. Nouvelle économique classique (R. Lucas, R. Barro), nouveau keynésien (J. Stiglitz) : débats entre les tenants de l’intervention de l’Etat dans l’économie et les partisans d’une économie plus libérale : - pour les premiers : point de départ les anticipations rationnelles

La relation inflation – chômage et l’élaboration d’une théorie de l’offre globale 1. LA COURBE DE PHILLIPS ET LA SYNTHESE NEOCLASSIQUE Le paradigme keynésien qui prévaut jusqu'à la seconde moitié des année 60 et qui est connu sous le vocable de “ synthèse néoclassique ” reprend les éléments d'analyse suivants: a) Le modèle IS-LM conduit à construire une fonction de demande agrégée qui lie P et le revenu réel y. b)Les prix et les salaires rigides et les imperfections de marché un changement de

100 – APE 651 A – Siège social : 5 rue Roland Barthes 75598 Paris cedex 12 – Tél. : 33+1 53 44 41 41 – Fax : 33+1 44 87 99 62 Croissance de la masse monétaire et inflation en Polynésie française PARIS Décembre 2007 Directeur de la publication : A. VIENNEY Rédacteur : J. BAUDE Croissance de la masse monétaire et inflation en Polynésie française INTRODUCTION Depuis le milieu de l’année 2005 en Polynésie française, la croissance de l’agrégat monétaire M3, mesurée en glissement annuel

grandes disciplines de la science économique : L'économie descriptive : on analyse le système économique tel qu'il est. On mesure les phénomènes économiques avec des outils spécifiques, des indicateurs (=PIB,…), on produit des chiffres (croissance, inflation, chômage, …) L'économie politique / l'analyse économique : interpréter les phénomènes économiques grâce à des théories. La politique économique : l'analyse de l'action publique dans le domaine économique. Macroéconomie : le niveau d'analyse

des monnaies associées aux économies les plus puissantes, qui servent de monnaie d’échange pour les transactions commerciales internationales. Élément Déterminant pour la crédibilité d’une monnaie= stabilité des prix : une inflation trop importante perturbe les anticipations des agents économiques. En cas d’hyperinflation, on peut assister à des phénomènes de fuite devant la monnaie, qui accélèrent sa dépréciation. Face à ces phénomènes, les monnaies les plus crédibles sont parfois utilisées comme

La hausse initiale entraîne des anticipations de hausses futures qui elle-même attire de nouveaux investisseurs sur les marchés. La hausse des prix se nourrit alors d’elle-même. Cette hausse «irraisonnée» est ainsi progressivement déconnectée de l’état de l’économie réelle. Les rendements attendus des actifs sont basés alors essentiellement sur la plus-value de revente espérée. La bulle financière est suivie le plus souvent d’un retournement des anticipations et d’une chute brutale des prix

financière : - Richesse négatives sur les ménages - Destruction capitaux propres des entreprises et des banques - Climat pessimiste = Baisse demande/offre/crédit →Dette : boom économique = retournement des anticipations et contraction des offres de crédit de la banque Crise : croissance en récession/dépression Krach boursier et crise bancaire = cycle du crédit → « Déflation par la dette » (L.Fisher) = baisse des prix actifs (richesse de ceux qui la détienne)