Inflation Phénomène Monétaire

Politique La politique monétaire s'entend de nombre de mesures gouvernementales conçues pour avoir une incidence sur les marchés financiers et les conditions de crédit, dans le but final d'influencer l'économie nationale. Au Canada, la politique monétaire relève de la BANQUE DU CANADA, une société de la Couronne qui met en oeuvre des décisions stratégiques, en grande partie grâce à son pouvoir de modifier la masse monétaire canadienne. La masse monétaire correspond à la partie du patrimoine financier

période : la parité des taux d’intérêt. III) Les déterminants conjoncturels du taux de change A) la bulle spéculatrice. B) la théorie de la sur-réaction (overshooting). Les canaux de transmission de la politique monétaire 1) But de la politique monétaire. 2) Le canal du taux d’intérêt. 3) Le canal du taux de change. 4) Le canal du crédit Conclusion Introduction L’importante volatilité observée des taux de change réels pose de manière récurrente le problème

monnaie va créer du lien social. 2. Les qualités de la monnaie. La monnaie doit être stable La stabilité garantie le pouvoir d’achat en évitant une inflation. Quand il y aune inflation, le pouvoir d’achat va diminuer. Une forte inflation va gêner les exportations. Pour que l’économie fonctionne, il ne faut pas d’inflation ou une légère inflation jusqu'à 2%. La désinflation est un ralentissement de la hausse des prix. La monnaie doit être stable par rapport à l’extérieur, elle doit être stable

15ème siècle : apparition du billet à ordre. - la monnaie scripturale Il n’y a pas de création monétaire sans contreparties. Il y a 5 familles de théories : - les conceptions classiques : loi de Gresham, 1870 : Walras – Pareto => la monnaie est un voile, on n’a pas un comportement d’épargne. => la monnaie est une marchandise comme une autre. Théorie quantitative : M.V=P.Q M : masse monétaire V : vitesse de circulation de la monnaie P : prix Q : quantités échangées Une équation est

révolution industrielle Mais irrégularités plus ou moins marquées (crise de 1929 et des fluctuations significatives tout au long du trend de croissance) Phénomènes structurels irréversibles (ou difficilement réversibles) doivent être distingués des situations conjoncturelles: ◦ garder à l'esprit que la croissance à long terme représente le phénomène structurel et les crises apparaissent conjoncturelles ◦ mais cette position sera à nuancer, car les crises comprennent des dimensions structurelles et

termine alors grâce à la « reprise ». La récession survient lorsque la croissance économique est négative pendant au moins six mois consécutifs. Lorsque la baisse de la production se prolonge, par exemple sur plusieurs années, on assiste à un phénomène de dépression économique. On appelle fluctuations économiques l’ensemble des mouvements de ralentissement ou d’accélération du rythme de la croissance économique. Le repérage des fluctuations s’opère grâce à des séries statistiques (annuelles

Fourastié) qui s’accompagne d’un faible taux de chômage, d’une inflation « rampante » qui n’empêche pas le commerce extérieur d’être à l’équilibre.  Dans les années 1970, à la suite des deux chocs pétroliers, la croissance ralentit et le taux de chômage débute sa longue ascension parallèlement à l’inflation. Cette « stagflation » contredit temporairement la courbe de Phillips qui établissait une corrélation inverse entre inflation et chômage.  Dans les années 1980, dans un contexte de libéralisation

abordables. Une telle idée repose bien évidemment sur l'hypothèse que la déflation ne va pas se généraliser à l'ensemble de la zone euro, sans quoi la compétitivité de la Grèce ne s'en trouverait pas améliorée. Auparavant, les pays qui avaient une inflation plus élevée, pouvaient dévaluer leurs monnaies pour retrouver une compétitivité par les prix. Historiquement, les pays du sud de l'Europe avaient un comportement plus inflationniste que les pays du nord. Avec la constitution de la zone euro, les

Relations Économiques Internationales économie : grec : oikos nomos = lois domestiques ≈ Aristote définition : les lois de la production de l'échange et de la répartition sphère financière : prêt – emprunt – placement sphère monétaire : change Les différentes sphères forment l'économie Aujourd'hui accélération des processus de mondialisation, ….. Aujourd'hui accélération difficilement cernable → chose qu'on ne maitrise pas, d'aut nt plus qu'avant nos économies fonctionnaient sur la base

pas toucher les allocations chômage donc on se tourner du côté du fiscal : augmentation Des impôts. Prime à la casse : très cher Politique de rigueur : diminuer les dépenses et augmenter les recettes (taxation) Politique monétaire : on ne maîtrise pas la politique monétaire, géré par la bce, le marché Seule autonomie : politique budgétaire Recette : impôts directs et indirects Dépenses : les charges de la dette (1er poste), grands travaux Politique de relance ou rigueur  politiques conjoncturelles