Inflation Phénomène Monétaire

Damégo-Mandeu-Yann-Aubry . Thèmes: Chômage et inflation Plan du travail Introduction I. Definition II. Développement III. Causes et consequences IV. Solution V. Conclusion VI. INTRODUCTION Le chômage est un phénomène social qui à un effet néfaste sur la société. Ainsi que l’inflation. Elle également à effet non négligeable sur notre

modèle monétariste conduit à une difficulté des politiques économiques et monétaires à appréhender un retour de l’inflation et à en comprendre les conséquences sur l’épargne et la consommation.-Dans un monde avec de l’inflation il y aurait une préférence pour la consommation immédiate afin d’éviter de garder une épargne dont la valeur baisserait: c’est le phénomène de la fuite devant la monnaieB. En pratique-Les politiques monétaires menées depuis 2008 ont eu pour but de soutenir l’économie en général

taux de variation des salaires nominaux, la hausse des prix se substitue dans un second temps à la hausse des salaires, et ainsi se poserait donc le problème de l’existence d’un arbitrage entre inflation et chômage. Dès lors, on a pris l’habitude d’assimiler la courbe de PHILLIPS à une relation inflation/chômage et de résumer ainsi le dilemme auquel se trouvent confrontées les politiques keynésiennes : pour réduire le chômage, il faut tolérer plus d’inflation ; la lutte contre l’inflation se paie

Traité de Maastricht : la Communauté européenne devient une véritable union économique et monétaire. Le traité marque le début du processus d'introduction de la monnaie unique. 1er juin 1998 : naissance officielle de la Banque Centrale Européenne Jusqu’au début 1998 : les Etats de l’Union européenne préparent activement le passage à l’euro. Ils essaient de répondre aux "critères de convergence" : • inflation inférieure à 3%. • déficit budgétaire inférieur à 3% du PIB. • dette de l’Etat

l’abondance monétaire se révèle fonction croissante de l’activité économique, au moins sur le court terme. Ainsi les données empiriques supportent les théories keynésiennes, dont l’influence est grandissante à l’époque, et qui stipulent la possibilité d’une relance de l’activité par une augmentation de la masse monétaire. En réaction à ces théories keynésiennes va se développer un courant monétariste, composé essentiellement d’économistes libéraux, avec une visée explicative des phénomènes de crises

croissance économique désigne la variation positive de la production de biens et de services dans une économie sur une période donnée. Le chômage représente l'ensemble des personnes de 15 ans et plus, privées d'emploi et en recherchant un.Le terme inflation désigne une augmentation durable, générale, et auto-entretenue des prix des biens et des services. . A l’inverse la désinflation désigne une réduction de l'inflation, dans le cas où celle-ci reste néanmoins positive. Par exemple, un pays a connu

d’une crise financière. Dernie exemple en date, en 2001avec la planète Internet qui a connu sa bulle spéculative aux répercussions majeures. Comment expliquer ces épisodes de bulles ? Une bulle est due souvent à la combinaison de deux grands phénomènes. Le premier est une expansion des crédits à faible taux d’intérêt ; le second est une confiance généralisée dans les fondamentaux économiques (croissance potentielle soutenue par le plein emploi, une grosse productivité…) considérés, à tort ou

prix sont poursuivies par des diminutions des prix et ceux depuis la révolution industrielle ➢ Cycle moyen : cycle de Juglar : il rejoint Kondratieff pour expliquer les crises par l’évolution et la baise des prix. Pour lui la crise est un phénomène naturel cyclique puisque l’économie pour lui est toujours en déséquilibre ➢ Cycle court : cycle de Kitchin : pur lui le cycle n’est ni de vrais crise ni de vrais expansion, il s’observe dans les variations des stocks des entreprises : période

période d’augmentation fulgurant de la croissance économique. Les Trente piteuses (Nicolas Beverez) (1973- à nos jours) représentent la retombée économique après les Trente Glorieuses. 1975, 1993, 2008, 2009 PIB négatif. La croissance est un phénomène qui est ni irrégulier ni constant, en effet depuis 2 siècles de révolution industrielle, beaucoup de crises se sont succédées. Les crises de l’ancien régime étaient la famine, le manque de ressource après il y a eu des crises au 19ème siècle qui

croissance soutenue. Cependant, ce bel optimisme sera balayé à partir des années 1970, notamment suite à l’apparition de la stagflation. De façon relativement inédite, on voit coexister très faible croissance économique, et donc une quasi-stagnation, et inflation. La crise des années 1970 sera mutatis mutandis aux politiques keynésiennes ce qu’a été la crise de 1929 à la loi des débouchés : la mise en évidence apparente de l’échec d’un modèle. Parallèlement à ces évolutions, la théorie économique évolue et