Influence De Vautrin

ce roman et écrit en mars 1862, à son éditeur Lacroix : « Ma conviction est que ce livre sera un des principaux sommets, sinon le principal, de mon œuvre »[1]. Sommaire[masquer] * 1 Le roman * 1.1 Genèse * 1.2 Motivation * 1.3 Influences * 1.4 Réception * 2 Résumé * 2.1 Tome I : Fantine * 2.2 Tome II : Cosette * 2.3 Tome III : Marius * 2.4 Tome IV : L'idylle rue Plumet et l'épopée rue Saint-Denis * 2.5 Tome V : Jean Valjean * 3 Personnages *

importance à ce roman et écrit en mars 1862, à son éditeur Lacroix : « Ma conviction est que ce livre sera un des principaux sommets, sinon le principal, de mon œuvre »1. Sommaire [masquer] 1 Le roman 1.1 Genèse 1.2 Motivation 1.3 Influences 1.4 Réception 1.5 Utilisation du langage populaire dans Les Misérables 2 Résumé 2.1 Tome I : Fantine 2.2 Tome II : Cosette 2.3 Tome III : Marius 2.4 Tome IV : L'idylle rue Plumet et l'épopée rue Saint-Denis 2.5 Tome V : Jean Valjean

père, Jean-Joachim Goriot, ce « Christ de la paternité16 », ou du bagnard reconverti en policier, Vautrin. Il a influencé des auteurs comme Gustave Flaubert dont le roman L'Éducation sentimentale est directement inspiré du Lys dans la vallée, et Madame Bovary de La Femme de trente ans17. Le cycle romanesque de La Comédie humaine et le principe des personnages reparaissant ont également influencé de nombreux auteurs de son siècle et du siècle suivant, notamment Émile Zola pour le cycle des Rougon-Macquart

bourgeoisie (Barbéris, 1971 : 154 pp). Comme Balzac utilise les mêmes personnages cela donne à ses romans une illusion de réalité. Il y a environ 670 des personnages de La Comédie Humaine qui apparaissent dans plusieurs romans, comme par exemple Vautrin et Rastignac du Père Goriot, ou Charles Grandet d’Eugénie Grandet. Ces personnages font partie d’autres romans où le lecteur les voit vieillir. Par exemple Charles Grandet, marquis d’Aubrion, est retrouvé dans le roman La Maison Nucingen. On pourrait

premières pages, George Duroy sait qu’il plait aux femmes et qu’il peut en profiter. Le lecteur devine alors qu’il va se servir de cet atout. Dans le père Goriot, Balzac peint un décors et des personnages conformes à la réalité, néanmoins, certains comme Vautrin ou le père Goriot sont symbolisés par le crime et le mal pour le premier, c’est un bandit qui fascine, il possede une intelligence diabolique ; une grandeur d’ame pour le second par son sacrifice, il symbolise la paternité. Ce thème de sacrifice se

personnage au conflit, souvent fatal avec cette société. Balzac a l’idée d’une technique, mise en œuvre dès 1834 dans le Père Goriot : le retour des personnages. Ainsi, on peut suivre l’évolution des personnages sur plusieurs romans (par exemple Vautrin ou Rastignac) avec leurs moments de lumières et leurs zones d’ombres. Les personnages des Rougon-Macquart   Les Rougon-Macquart, sous titré Histoire naturelle et sociale d’une famille sous le second Empire, est l’œuvre de la vie d’Emile Zola

l’insatisfaction, aura des amants, elle essayera de trouver refuge dans la religion, mais marche pas, croit en son mari mais échoue, se suicide au cyanure et souffre horriblement. Plu de passion dans la 2ème moitié du siècle. 09/04/15 Père Goriot : Vautrin, a certain pouvoir occulte, fasciné par jeunes hommes qu’il veut guider dans la vie mondaine et vivre par procuration cette vie. 1ères scènes : exposition. Description chez Balzac a valeur d’exposition d’un milieu et fonction dramatique parce que

n’est pas capable d’évolution susceptible de la transformer. * Une idéologie moralisante et pessimiste : chaque roman picaresque en viendrait à être un grand cas exemplaire de conduite aberrante systématiquement punie. Le picaresque est très influencé par la rhétorique sacrée de l’époque, fondée dans beaucoup de cas, l’individu finit soit par être puni soit par se repentir. * Une intention satirique et structure itinérante : la structure itinérante du roman picaresque meut le protagoniste

serment des Horaces » et en 1795 « L’enlèvement des Sabines ». Certains sont plus novateurs, le baron Gros, qui se soucie de la couleur locale, avec son œuvre « Napoléon Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa » en 1804). Le romantisme trouve son influence : Allemagne (Goethe, Faust traduit par Gérard de Nerval) et du côté britannique (Shelley Marie, Frankenstein ; Mac Pherson, Ossian). Plusieurs principes romantiques : * Le refus des règles établis : ont se dégage de la règle des trois unités

personnages, implique le lecteur en employant « on » dans les formules comme « On juge de sa colère soudaine » et l’interpelle enfin : « mais sommeil ? » De cette manière l’auteur est sûr de toucher son lecteur d’encourager sa réflexion, et même influencer son attitude. Ces procédés issus de la rhétorique ne peuvent laisser indifférent car ils répondent au but premier de l’écriture : convaincre et persuader l’auditoire. De cette façon l’auteur se constitue un allié qui est le lecteur. L’exemple