Ingénu Critique Justice

1)      Cécile Volanges.   ü      Cécile  est le produit d’une éducation normative.               A travers son personnage, l’auteur nous fait une critique indirecte de l’éducation des jeunes filles. Cécile sort du couvent et est le résultat de l’éducation qu’elle y a reçue, « éducation cloîtrée » qui ne prépare pas les jeunes filles à décrypter les signes du monde. Elle ne sait pas avec qui on veut la marier et, ignorante parfaite, incarne une proie de choix pour les libertins.   Dans

l’enfance, « étincelle divine », sur terre, fait écho au drame de Villequier (c.-à-d. à la noyade de Léopoldine, le 4 septembre 1843) et annonce le combat social du député Hugo contre la misère, l’abandon (social) des enfants (pour une plus grande justice sociale et humaine). Gavroche s’inscrit dans la lignée des êtres défigurés par une société très peu charitable, il prend place parmi les Gwynplaine (L’Homme qui rit) et autres Quasimodo (Notre-Dame de Paris). Son combat le rapproche des enfants de

nos (lointaines) études… Mon intention n’est donc pas d’être originale mais de réveiller des souvenirs enfuis, enfouis …. D’abord, il faut remettre l’ensemble homme et œuvre dans le contexte historique : la monarchie absolue, l’arbitraire de la justice. Louis XIV est décédé depuis 6 ans seulement quand paraissent « Les Lettres persanes » dans les conditions que nous verrons. "Mes lettres persanes apprirent à faire des romans en lettres " souligne Montesquieu , non sans fierté, dans ses pensées

nos (lointaines) études… Mon intention n’est donc pas d’être originale mais de réveiller des souvenirs enfuis, enfouis …. D’abord, il faut remettre l’ensemble homme et œuvre dans le contexte historique : la monarchie absolue, l’arbitraire de la justice. Louis XIV est décédé depuis 6 ans seulement quand paraissent « Les Lettres persanes » dans les conditions que nous verrons. "Mes lettres persanes apprirent à faire des romans en lettres " souligne Montesquieu , non sans fierté, dans ses pensées

collectivité. Le vocabulaire juridique est donc le vocabulaire propre au monde du droit. La langue commune méconnait le sens du jargon juridique et donne lieu à des confusions. La justice au sens moral et la justice institutionnelle sont deux choses différentes, on considère la première à la base de la seconde. La justice institutionnelle peut prendre des décisions inéquitables. * Historique car être juriste ce n’est pas connaitre la loi par cœur. Ce serait impossible car le droit change constamment

s’enrichit de nouvelles institutions. Cette discipline fournit aux juristes une faculté de raisonnement, d’appréciation, des continuités dans le temps et dans l’espace du système juridique. Observer la vie du droit dans le temps, un organisme vivant. CRITIQUE : 1) il s’agit d’une démarche d’historicisme qui est une doctrine qui cherche à rendre compte de tout : des idées, des valeurs par la seule considération de l’histoire. 2) ce type de raisonnement historique et historiciste est celui qui étudie l’histoire

vue méthodologique, épistémologique et ontologique. Il y a donc un triple enjeu. Enjeu ontologique : la théorie des sources du droit propose une définition de ce qu’est le droit. On exclue donc les autres définitions possibles du droit, comme la justice. Enjeu épistémologique : la théorie des sources du droit détermine l’objet de la connaissance. Si on définit le droit comme un ensemble de règles, la connaissance du droit sera la connaissance de ces règles produites par les sources identifiées par

fille qui meurt après s’ donnée à la danse comme une être possédée. En tout cas, un auteur à suivre. Habib Ayoub, C’ était la guerre, nouvelles. Alger : Barzakh, 2002, 165 p. visé certains milieux “ mais je ne suis pas inquiet car ceux que je critique ne lisent jamais ”… , cette déclaration est à rappeler aussi pour ce recueil. On est frappé, dès la première lecture, par une langue sûre de ses moyens et de ses effets, d’ humour ou plus souvent un encore d’ une causticité qui pousse jusqu’ l’ à

est également le défenseur de certaines idées et des positions morales, sociales et religieuses bafouées par Don Juan. Dans la première scène, Sganarelle dresse un portrait très péjoratif de son maître, un blâme, à Gusman, valet d’Elvire. Il le critique vivement en le qualifiant de « pourceau d’Epicure », « vrai Sardanapale », « hérétique »… Il présente son maître comme un libertin sans aucune morale : « rien n’est trop chaud ni trop froid pour lui ». Il a tenté de raisonner son maître à propos

père. Mais sa mère lui impose un conseil judiciaire pour qu'il perçoit un revenu modéré. En 1857, il publie les Fleurs du Mal qui est un recueil poétique. Mais la justice condamne six pièces pour immoralité. CB est alors accablé par les dettes et la maladie. Il mourir quelques année plus tard. Il faut aussi savoir que CB a été critique d'art et s'est donc intéressé à la notion de beau dans des domaines esthétiques autres que celui de la poésie. L'hymne à la beauté vient de la section Spleen et Idéal