Inhibiteur de protéase

rôle de la glycosylation est donc encore mal connu. On pense toutefois que les sucres peuvent limiter l'approche d'autres macromolécules, parmi lesquelles se trouvent des protéases, à la surface des glycoprotéines. De cette façon, la présence d'oligosaccharides rend les glycoprotéines résistantes à la digestion par les protéases. On peut imaginer aussi que le remplacement jadis de la paroi bactérienne par le "cell coat" ou glycocalyx protecteur a permis une certaine liberté aux cellules pour modifier

gustatives des graisses, avec apparition du goût de rance, et favorise le phénomène d’oxydation des acides gras insaturés en méthylcétones. Si de nombreuses bactéries psychrotrophes sont très facilement détruites lors d’un traitement par la chaleur, les protéases sont pour la plupart beaucoup plus thermorésistantes. Certaines résistent quelques dizaines de secondes à des températures de 140 à 150°C et ne seront donc pas détruites, par exemple, lors de la stérilisation du lait. Autres types

d’huile et le solvant est éliminé par deux évaporations sous vide et une colonne. Les flocons sont traités dans un grilleur-extracteur de solvant par contact direct avec de la vapeur pour éliminer l’hexane et chauffer les flocons afin de détruire les inhibiteurs de trypsine. Ensuite, les flocons sont refroidis et agglomérés en tourteaux. - Huile obtenue L’huile brute contient environ 96 % de triglycérides. La composition en acides gras est approximativement de 11 % d’acide palmitique (C16), de 4 % d’acide

4,2- les invasions de la matière organique Enzymes « digestives » Enzymes non spécifiques produites par les bactéries dans l’environnement pour dégrader la matière organique. Pas de rôle spécifique mais elles peuvent faciliter l’invasion. Ex : Protéases, lipases, glycohydrolases, nucléases. 5- Production des toxines par les bactéries Toxines  responsable d’intoxication Intoxication : maladie qui résulte de l’entrée d’une toxine spécifique dans l’hôte. Il existe 2 grandes catégories de toxines

thiamine, panthoténate, niancine, riboflavine), des acides organiques (acide formique, acétique, propionique, butyrique, valérique, oxalique, succinique, malique, cotrique, pyruvique, oxalo – acétique), des enzymes (phosphotase, saccharase, amylase, protéase, polygalactoronase,…). 4.3. Les mycorhizes Comme des associations entre des CHA et des végétaux supérieurs ; les plus connus étant les conifères et les orchidées. Il s’agit d’une centaine de symbiose, les deux partenaires tirant profit de

cell receptor BDNF Brain derivated nerve growth factor BER Réparation par excision de bases BP Binding protein CAM Molécule d’adhésion cellulaire CAM Crassulacean acid metabolism CAP Catabolism activating protein CASPASE Cysteine aspartate specific protease Cdk Cyclin dependant kinase CK Cytokinine CMH Complexe majeur d’histocompatibilité Coat protein COP CPE Séquence cytoplasmique de polyadénylation CPEB CPE binding protein CR Récepteur du complement CRH Corticolibérine XIV DAG DAMP DBD DBO DC

............. 19 1.3.4.2 La cryopréservation..... . 1.3.5 La capacitation ........................................................... 20 1.3.5.1 Définition ...................................................... 20 1.3.5.2 Les inducteurs et les inhibiteurs de la capacitation ...................................................21 . . 1A 5 . 2 L'hyperactivation ............................................ 21 1.3.6 La réaction de l'acrosome ...,............ . ..........*............ 22 1.4. LES INTERACTIONS

dispositifs médicaux - fixation des pièces anatomiques dans les laboratoires Ils sont utilisés - seuls pour des indications spécifiques ex : désinfection par voie aérienne - en association à d'autres principes actifs : - tensio-actifs, solvant, colorant, inhibiteur de corrosion, modificateur de pH, parfum, pour pallier les inconvénients (inactivation en de nombreuses circonstances, instabilité en solution alcaline, absence de pouvoir détergent) Mécanisme d'action Les aldéhydes provoquent une dénaturation des

traitements envisageables. On mentionnera leurs effets iatrogènes éventuels. Il conviendra de préciser que les traitements sont adaptés à la localisation et au stade d’évolution de la tumeur. L’existence d’autres traitements (immunothérapie, inhibiteur de la néoangiogenèse, hormonothérapie, greffe de moelle osseuse....) sera évoquée. 8 – Transmission de la vie Comment sont produits les gamètes mâles et femelles ? Comment les cycles sexuels sont-ils régulés ? Comment est assurée la transmission

de traitements envisageables. On mentionnera leurs effets iatrogènes éventuels. Il conviendra de préciser que les traitements sont adaptés à la localisation et au stade d’évolution de la tumeur. L’existence d’autres traitements (immunothérapie, inhibiteur de la néoangiogenèse, hormonothérapie, greffe de moelle osseuse....) sera évoquée. Racines 8 – Transmission de la vie Comment sont produits les gamètes mâles et femelles ? Comment les cycles sexuels sont-ils régulés ? Comment est assurée