Injection intramusculaire

transcutanée. On distingue plusieurs voies : -la voie intraveineuse (IV). Elle correspond à l'injection dans la veine (du pli du coude, du dos de la main ou du poignet). Celle-ci est priviligiée pour la plupart des douleurs aigues. -la voie intramusculaire (IM). La préparation entre dans le sang plus lentement contrairement à la voie intraveineuse. L'administration s'effectue dans le tissu musculaire profond (muscle fessier). -la voie sous-cutanée (les implants). L'administration a lieu sous la

Lieu Service d’endocrinologie. La situation se déroule le matin dans une chambre à lit unique. Je dois pratiquer une injection d’insuline au stylo en sous cutanée auprès d’une patiente diabétique insulino dépendante entrée pour déséquilibre du diabète. Elle est âgée de 58 ans et n’est pas autonome pour ses injections d’insuline. Elle présente aussi un surpoids. La patiente doit recevoir sa dose d’insuline avant le repas mais aussi après le résultat de la glycémie capillaire à jeun. Situation

sensibilité. Qu’elle prélève sur une bandelette à usage unique adaptée au lecteur instantané de glycémie. Un bout de coton est donné au patient pour qu’il effectue une pression sur le point de ponction afin d’arrêter le saignement. Lorsqu’une injection d’insuline est nécessaire, elle choisit le site d’injection en fonction de l’insuline, si c’est de la LANTUS c’est dans le ventre et si c’est de l’ACTRAPID c’est dans le bras ou la cuisse. Elle nettoie à l’aide d’un coton avec de l’alcool, puis pique

comporte pas de plagiat » Hachemi HACENE Sommaire 1. La description de la situation  2. L'observation, l'étonnement  3. L'analyse explicative  4. Les difficultés rencontrées, les points à approfondir  Liste des sigles utilisés IM (injection en intra musculaire) 1.La description de la situation : Je suis étudiant en soins infirmiers dans un hôpital de jour. La structure accueille de 9h00 à 16h46 du lundi au vendredi des patients stabilisés, hospitalisés pour un suivi en soins

Deux systèmes cohabitent : Les inhalateurs à doses pré-conditionnées (chargés avec des unités de prise) Les inhalateurs comportant un réservoir de poudre. La voie parentérale (injection) Cette voie s’est développée tardivement (XIXe siècle). Qu’il s’agisse d’injections intraveineuses (les plus courantes), intramusculaires, sous-cutanées ou encore de perfusions, plusieurs formes galéniques sont utilisées. Les préparations injectables : généralement unidoses, ce sont des solutions, des émulsions ou

parentérale Préparations parentérales Formes galéniques parentérales Considérations générales Voies d’administration 1- Voies d’administrations : Voie ophtalmique Voie nasale Voie buccale classique – per os Voie parentérale : sous-cutanée, intramusculaire, intra-veineuse. Voie buccale trans-muqueuse (sub-linguale) Voie topique, trans-dermique Voie pulmonaire , inhalation Voie rectale Voie vaginale Voies d’administration http://www.essentielsante.net/image/bibliodocess/voyage_anatomique/infos_nonanatom/medicament

à 150 000 UI/kg/j par voie intraveineuse lente (quatre à six injections) ou en perfusion continue. La durée du traitement est de 10 jours. Certains proposent de prendre le relais par la procaïne-pénicilline (normalement contre-indiquée chez le nouveau-né) en une injection intramusculaire quotidienne de 200 000 Ul/kg après 24 heures de traitement par pénicilline G SEROTHERAPIE La sérothérapie par voie générale (intramusculaire) doit être précoce. Son but est de neutraliser les toxines circulantes

flacon en jours ? Exercice 2 M. G doit recevoir 0,25 mg d’ATROPINE ® (parasympathicolythique) en intra veineux. Vous disposez d’ampoules d’Atropine à 0,025 %. Quel volume en ml injectez-vous à M. G ? Exercice 3 Le médecin prescrit à Mme X. une injection de 20 mg de VITAMINE K (antihémorragique) en intraveineuse directe. Vous disposez d’ampoules de 1 ml contenant 50 mg de produit actif. Quel volume en ml injectez-vous ? Exercice 4 Vous devez perfuser sur 12h00 : 1 litre de Chlorure de Sodium (NaCl)

du diabète. 43, 58, 68 Une rencontre du comité consultatif formé d’experts en éducation sur le diabète fut tenue afin d’identifier les priorités relatives à la technique d’injection. Les trois priorités identifiées furent: 1 Éviter les injections intramusculaires; 2 S’assurer de l’intégrité des régions d’injection; et 3 Fournir aux professionnels de la santé des recommandations claires et concises en ce qui a trait à la technique d’injection. Se basant sur ces priorités comme cadre de travail, ce

insuffisamment actifs. * Myasthénie : les doses seront adaptées au besoin du malade. *Claforan (cefotaxime) : * Enfant, nourrisson et nouveau-né à terme (toutes formes sauf Claforan 1 g IM) : 50 mg/kg/jour en moyenne, à répartir en 3 injections, par voie IV, posologie pouvant être portée à 200 mg/kg/jour selon la sévérité de l'infection. * Chez le nourrisson de plus de 3 mois et l'enfant (toutes formes sauf Claforan 1 g IM) : Dans la méningite à pneumocoque dans les premières 48-72 heures :