Inné

ou innés, s’ils dépendent de notre patrimoine génétique. Il est cependant difficile de définir la nature innée ou acquise d’un comportement, en effet tout comportement acquis nécessite une capacité innée de pouvoir se développer et tout comportement inné a besoin, le plus souvent, d'une courte période d'apprentissage pour pouvoir s'exprimer. (On pourra noter aussi que se différencient les comportements acquis au fil des générations et les comportements acquis par l'individu.) Enfin, sera étudié

phrase « chaque personne doit préserver sa vie » est à bannir car elle met l'accent sur une différence avec « chaque personne cherche naturellement à préserver sa vie ». Pour lui, l'instinct ne doit pas être faussé par une obligation, l'instinct est inné tandis que le devoir est réfléchi, ce qui pousse à croire que l'auteur défend le naturel dans le comportement instinctif de ses semblables. Une affirmation qui ne contient pas d'obligation n'est que l'observation d'un fait psychologique, un constat

Quantités consommées. II. Le comportement du consommateur. A ) Le processus d’achat 1) L’identification du besoin La recherche de satisfaction des besoins est ce qui explique l’act éco. En matière de besoin, il peut être : * inné ( on nait avec ) Il est donc lié à la nature humaine * acquis ( le consommateur est sollicité par son environnement. ) Il est influencer par les offres nouvellement proposée par les entr. Le conso a souvent envi d’imiter le

qui ne parle pas, qui ne  « pense » pas, montrent l'homme dans son état naturel et sauvage:l'homme ne naît pas homme , il le devient. La culture est donc essentielle à notre devenir. Le naturel , c'est l'universalité et la constance,ce qui est inné et qui ne change pas d'un individu à un autre:les réflexes ou l'instinct de survie qui nous empêche de tomber dans le vide par exemple. Le culturel, ce sont nos acquis, ce que nous avons appris, nos manières de penser et d'agir propres à une collectivité

de la notion de civilisation. La culture est par définition à l’opposition de la nature, comme la civilisation est à l’opposition de l’état sauvage. La culture est ce qui nous différencie des animaux, c’est la différence entre ce qui est naturel et inné et ce qui est acquis. L’homme est-il devenu meilleur grâce à la culture au fil des siècles qui passent ? Oui grâce aux différents moyens d’apprentissage de la culture et à l’importance qu’ils prennent au fil des années : éducation, échanges, progrès

plus, il n'est pas forcément nécessaire d'avoir de la culture pour pouvoir effectuer certaines tâches ou activités. La culture est une sorte d'enrichissement personnel de l'esprit que l'on acquiert au fil du temps durant notre vie. Tout ce qui est inné n'a donc pas besoin de culture pour être exercé, étant donné que ce sont des choses que l'on possède dès la naissance. Prenez par exemple le fait de manger ou dormir, on n'a pas besoin d'apprendre à le faire, et pourtant c'est indispensable à notre

conduire une voiture ou à faire du vélo. En d'autres mots, apprendre à être persuasif et réussir à influencer les autres n'est pas quelque chose dont on peut dire "qu'on l'a ou on l'a pas". Tout le monde peut le faire. Vous n'avez besoin ni d'un talent inné, ni d'aptitudes spéciales pour réussir parfaitement à influencer les autres. Apprendre l'art subtil de la persuasion et de l'influence demande néanmoins un certain effort. C'est une aptitude qu'on acquiert, tout comme le fait de conduire une voiture

et en augmentant ses connaissances. Dans ce texte, Pascal entreprend de nous convaincre qu’il existe une différence de nature entre connaissance humaine et connaissance animale. Les animaux naissent avec la connaissance pour survivre, c’est inné c’est la nature qui leurs a donné cette connaissance. Contrairement aux animaux les hommes naissent ignorant et acquièrent des connaissances au fur et à mesure de leur vie. L’homme pourra alors transmettre ses connaissances à ses enfants par l’intermédiaire

s'attendent à de meilleurs résultats que les filles de même niveau. (page 76) Non seulement les filles doutent plus de leurs capacités en mathématiques, mais elles sont aussi plus nombreuses à croire à la "bosse des math", c'est-à-dire au caractère inné et donc irrémédiable, de cette incapacité. Page 77 Si une femme réussi à une tâche considérée comme masculine (les mathématiques par exemple) cette réussite est en général mise en relation à la chance, la facilité de la tâche ou les efforts considérables

influences sociales.(GUTHRIE les habitudes sont déterminantes de cette personnalité) Ses points de vus sont opposés et excessifs. On peut donc considérer que la personnalité n’est ni uniquement sociale, ni uniquement biologique. C’est un ensemble structuré inné et acquise comme le milieu ou l’éducation qui détermine et structure la personnalité. De plus cette personnalité évolue, elle se transforme dans le temps en fonction des différentes influences qu’elle subie. On peut rajouter que la personnalité est