Insecte ravageur

en mosaïque permet de répartir la coupe et de conserver l’habitat des animaux. Autre solution : les arbres transgéniques. Génétiquement modifiés, leurs gènes améliorent leur qualité (croissance rapide, tronc droit et sans branches, résistance aux insectes). Les différentes menaces sur les forêts du monde: -La croissance de la population mondiale : entraîne une hausse de la cosommation du bois de chauffage et une urbanisation accélérée. -La mondialisation : les concurrents à faible coûts d’exploitation

végétales. L’agriculture contribue également au maintien et à l’entretien de la diversité des paysages et des terroirs. • Dépendante de nombreuses fonctions liées à la biodiversité (pollinisation, recyclage de la matière, régulation des ravageurs par les insectes auxiliaires…), l’agriculture est la première concernée par sa préservation. • Néanmoins, certaines pratiques agricoles poussées à l’extrême, peuvent avoir un effet négatif sur la biodiversité : remembrement, destruction des talus et des

lieu de nidification et d’autre part à leurs plantes nourrissières. La pénurie de logement et de nourriture est légion. Or, avec très peu d’efforts, vous pouvez y remédier: d’autres espèces d’hyménoptères (guêpes), des prédateurs de nombreux insectes ravageurs, de coléoptères et de mouches en profiteront également. Situation: Les endroits bien ensoleillés et protégés des intempéries, d’exposition sud-ouest ou sud-est et situés dans la zone urbaine ou dans le paysage cultivé conviennent idéalement

notre cas, nous devons choisir une agriculture durable mais quels sont les avantages de l'agriculture raisonné et biologique par rapport à l'agriculture intensive? L'agriculture raisonnée, au Kenya par exemple (doc 2) consiste à "attirer" la pyrale (insecte qui détruit les cultures), en semant une herbe qu'il adore autour du champ (la Napier Grass) et le "repousser" avec une autre herbe qu'il déteste entre les plants de maïs (la Desmodium), cette stratégie employée s'appelle à l'origine "push and pull"

résistantes à cet herbicide. Dans le cas d'un OGM qui produit son propre insecticide (comme le MON 810 autorisé en Europe mais provisoirement interdit en France), c'est le même schéma. Les insectes peuvent développer une résistance à l'insecticide à force d'y être exposé. En plus, cet insecticide menace des insectes « non-ciblés » comme les papillons ou les coccinelles." Ensuite ces organismes transgèniques (toujours selon greenpeace) sont : "une pollution vivante, incontrôlable et irréversible si

consiste à modifier artificiellement une espèce végétale dans le but de l'adapter à un usage agricole. Les critères recherchés sont divers : productivité, goût, qualités nutritionnelles, apparence, résistance aux maladies et aux mammifères ou insectes ravageurs... Les entreprises ou organismes publics dont l'activité est l'amélioration des plantes élaborent ainsi différentes variétés afin de mieux répondre aux besoins des agriculteurs et des consommateurs. Les expériences scientifiques ont montré

(disparition de nevelles espèces) Il est également nécessaire de protéger les cultures contre leur ennemis : mauvaises herbes (plantes adventices) qui étouffent les cultures et utilisent leurs ressources -> herbicides ravageurs (rongeurs, insectes) qui mangent les cultures parasites (bactéries) responsables de maladies et baissent le rendement Pour cela, les agriculteurs disposent de divers moyens de lutte hytosanitaire : chimiques : pesticides, insecticides

minéraux que les plantes cultivées, et peuvent donc entrer en concurrence avec elles. Les ravageurs (insectes, rongeurs, etc.) consomment la plante cultivée et peuvent causer des dégâts aux cultures. Généralement, les agriculteurs cherchent à éliminer les espèces indésirables. Ils utilisent pour cela des produits chimiques : les herbicides contre les plantes adventices et les pesticides contre les ravageurs. La biodiversité d'un champ est donc très faible par rapport à celle qui serait présente sur

dès avant la récolte. La présence de Sitophilus, mais aussi de Prostephanus truncatus, a été remarquée dans la plupart des greniers observés. L'infestation par ce dernier ravageur très redouté proviendrait du Togo, tout proche, où sa présence a été signalée depuis près de deux ans. Selon les paysans, les pertes dues aux insectes dans un Bliva au bout de six mois de stockage, seraient de l'ordre de 2 à 3%, celles dues aux rongeurs, de 3%. A cela s'ajoutent des pertes que les agriculteurs considèrent

temps d’une technique Dans un premier temps, on repère un caractère intéressant dans un autre organisme vivant (plante, champignon, bactérie …), puis on identifie la protéine responsable de ce caractère (exemple :un composé toxique pour un insecte ravageur) [pic] Puis, on identifie et le gène codant cette protéine. [pic] On réalise une « construction génique » qui contient le gène d'intérêt et des séquences d'ADN indispensables à son fonctionnement dans le génome d'une cellule