Inspection Générale Des Finances Maroc

…………………………………............... 6 Chapitre IV : Prise en charge ……………………………………….…………….….………. 7 Chapitre V : Contrôle …………………………………………………..………………..……. 7 Annexes : ………………………………………………………………………………………8 Entités / Fonctions concernées Inspection Générale du CPM BPR : - Directoire - Audit Interne - Fonction chargée du Développement - Fonction chargée des Risques Engagements - Fonction chargée de l’Organisation et de l’Informatique - Succursales, Agences. BCP : - Audit Interne BCP -

Administration Marocaine : Diagnostic général INTRODUCTION I- Les Carences de l’Administration 1) 2) L’absence d’une vision commune et partagée d’un programme De réforme administrative La concentration excessive des services, des pouvoirs de décision et des moyens au niveau central de la faiblesse des moyens et du Rendement au niveau des services extérieurs La multiplication excessive des structures administratives Situation de l’Administration dans le monde rural La problématique de l’éthique dans

Newsletter Maroc  Juillet 2007 - n°22 Sommaire Edito 2 Lutte contre le blanchiment de capitaux 3 Champ d’application Les obligations des personnes assujetties et le rôle de l’organe habilité Les sanctions en cas de violation des dispositions de la loi Infraction à la réglementation des changes Définition des infractions Procédure Sanctions 3 4 4 5 5 5 6 La protection des brevets d’invention en droit interne marocain Le brevet d’invention Le système marocain des brevets 7 7 7     Newsletter

[pic] Effectué au sein de: La direction régionale de poste Maroc Réalisé par: Omayma ESSAYEH Suivi par : Mme.rachida EL BARNOSSI Technique de secrétariat de direction Année de formation 2010/2011 [pic]

Comment implanter l'audit dans le secteur public champ leurs compétences L'Economiste : 24 - 03 - 1994 Par Mustapha Asmoun, Expert-comptable DPLE La Loi de Finances consacre l'audit dans le secteur public en prévoyant une enveloppe budgétaire. La nécessité d'implanter cette fonction est ressentie tant au niveau des entreprises privatisables que de celles que l'Etat va garder. Dans ce cas, il faudra gérer ce patrimoine collectif avec efficacité et transparence. Mustapha Asmoun définit la mission

de Fcfa en 2000, importe environ 5.000 hl/an de vins de cépage ou de table en vrac de gamme moyenne. Cela représente environ 40% du volume total de vin embouteillé au Sénégal. Les pays fournisseurs sont principalement la France, l'Espagne et le Maroc. Cette activité représente 70% de son chiffre d'affaires. La Société Française des Vins (SOFRAVIN), pour 95 % de son activité, importe également du vin en vrac mais de qualité inférieure, en provenance d'Espagne. Elle embouteille environ 60 %

effectué du 10 juin au 9 juillet 2009 | | Entreprise d’accueil  AXA ASSURANCE MAROC Encadré par : Mr EL KASSMI HICHAM Réalisé par : TOUHAMI YOUSSEF Année Universitaire: 2008/2009

Plan : Introduction I- L’accord de libre echange Maroc-Etats Unis 1. Un accord qui s'inscrit dans une politique globale d'ouverture et d'internationalisation 2. Les objectifs et les bénéfices attendus de cet accord 3. Attirer au Maroc les investissements étrangers II- Les caractéristiques du marché américain 1. Généralités 2. Le consommateur américain 3. Les circuits de distribution 4. Les circuits de promotion 5. Les standards et la réglementation

.................................................................................................... 3 SOMMAIRE .................................................................................................................. 5 INTRODUCTION GENERALE ................................................................................... 7 PREMIERE PARTIE : CONCEPTS CLES .............................................................. 11 I. GENERALITE SUR LA NOTION D’AUDIT .....................

BANQUE MONDIALE REFORMES DOUANIERES AU MAROC Peut-on dégager des leçons pour une réforme plus vaste du service public ? " Les initiatives de modernisation de l’administration des douanes du Maroc ont porté leurs fruits et contiennent des leçons susceptibles d’être retenues par les autres administrations marocaines qui souhaitent améliorer la prestation des services proposés à leurs " clients ". Par Marcel Steenlandt, Douanes Françaises Luc De Wulf, Consultant Banque Mondiale OCTOBRE