Instinct

sectes protestantes, c’est un certain rigorisme. Le moyen pour remonter la barre chez Platon c’est la morale, chez Veblen c’est aux ingénieurs de redresser la situation. D’autre part il pense qu’il existerait une nature humaine basée sur le doublé instinct-institution. A l’époque aux USA dans le monde universitaire au niveau économique, c’est une époque plutôt conformiste et le principal manuel d’économie politique était du à un révérant Chapin. Il nous dit que les principes fondamentaux de l’économie

décadence : la vie ascendante -La vie ascendante est évoquée dans le §11 : « tant que la vie est ascendante, bonheur et instinct sont identiques ». -Définition de l’instinct : « chez les hommes productifs, l’instinct est précisément la force affirmative et créatrice. » -Socrate et Euripide : l’art et l’éthique grecs présocratiques sont caractérisés par l’instinct ( Instinct = force naturelle, volonté au sens où Schopenhauer l’entend  • se traduit par le commandement, l’autorité, l’action

Nietzsche l’appelle « l’instinct grégaire », c'est-à-dire le simple fait de vivre en groupe, de renoncer à soi et de suivre sans se poser de questions. Le fait est que ce sont les « faibles » qui arrivent à faire en sorte que les forts rentrent dans cet instinct. Mais comment le faible fait-il ? Il donne aux forts le pouvoir afin que celui-ci « dirige » le troupeau et dans le cas où un « fort » décide de ne pas accepter de rentrer dans le troupeau, alors le faible (et toute la société) va se mettre d’accord

peut on dire, selon la thèse de Rousseau, que l’homme est bon par nature et que c’est la société qui le pervertit ? Quel est le lien entre l’éducation et la formation de névroses ? Pour Freud, Un enfant, dont les instincts sont étouffés par des actions extérieures, contient sa nature et produit des « maladies nerveuses ». Dans le passage, l’auteur expose ce fait prouvé par la psychanalyse, suite à plusieurs observations. D’ailleurs, l’utilisation « d’apprendre »

la recevons aujourd’hui et nous tenterons d'en déterminer la signification métaphysique et morale. Nous verrons dans un premier temps que cette idée, cet instinct est bien présent en chacun de nous. Puis, nous verrons, que notre libre-arbitre reste le maître de nos existences et que nous pouvons effacer de nous cette loi dictée par notre instinct. Enfin, nous verrons que le mot « loi » implique une création, un effort des volontés pour se mettre d'accord sur un point et que par là nous ne pouvons

silencieuse) rien d’autre que soi, vague et diffus. Pour Zola : métaphore de la fêlure désigne une lésion, une blessure et se réfère à une névrose héréditaire, une perte d’équilibre. La fêlure désigne un vide, c’est la Mort, l’instinct de mort. Cet instinct constitue à lui seul la grande hérédité, la fêlure. Hérédité : Définition : Criminalité pathologique et héréditaire. 2 hérédités : - Homologue, bien déterminée - dissimilaire/ transformation, caractère diffus, définissant une famille

seuls à parler, travailler, créer des œuvres d’art, etc. Autrement dit, l’homme est le seul être vivant qui appartient à la culture, le seul qui organise son environnement et conçoit sa relation aux autres sans être (totalement) soumis à ses instincts ; pour résumer, l’homme échappe aux stricts déterminismes naturels bon point de départ. Cette première constatation, si elle est fondamentale dans la compréhension de ce qui fait la spécificité de la vie humaine, ne suffit pas ; en effet, une

= légitime, moral ? - Sans : se poser des questions, est-ce nécessaire pour vivre ?  Possible dans l’état de nature  Animal - se poser de questions : manière de vivre, genre de vie. : Par instinct - Vivre : exister, être en vie Vivre ≠ survivre - Questions : réfléchir, raisonner, se compliquer la vie, rechercher la vérité, être curieux Problématique : La quête de sens est-elle nécessaire ou bien peut-on s’en passer ? La réflexion

pulsions animales ; tandis que l’homme cherche à faire taire en lui ses instincts. Il s’élève de sa condition humaine en s’éduquant ; il résiste aux lois de la nature. Par exemple, l’homme s’impose de ne pas manger ou dormir n’importe quand ; ce qui suppose qu’il a mangé et dormi à un moment précis qu’il a choisi. Il obéit à des règles qu’il s’est imposé à lui-même. L’homme qui s’est éduqué, c’est libérer de ses instincts, ses pulsions animales. La nature à prédéterminer l’animal à se nourrir

juger ce que bon lui semble mais alors il est d’autant plus libre qu’il ne se laisse pas commander par son instinct contrairement à l’animal. En effet, la culture permet à l’homme de réfléchir à ses actes et de ne pas agir sans penser en écoutant seulement son instinct comme l’animal qui est prisonnier de son instinct. On constate que l’animal n’est pas libre car il obéit seulement à son instinct et ne peut aller à l’encontre de ce dernier. Effectivement, il mange et tue s’il a faim, il fait le mort