Instruments De La Redistribution Des Revenus

Les comptes satellites, instruments d’intégration de l’activité économique et sociale Résumé : La comptabilité nationale est avant tout un instrument de mesure au service de I’Etat mais, si elle est bien adaptée à l’étude des problèmes macro-économiques ? Elle demeure insuffisante pour aborder certains aspects pourtant fondamentaux de la vie d’une nation. C’est ainsi qu’il est difficile à partir des seuls comptes nationaux de mesurer l’effort que le pays consacre a certaines activités marchandes

L’Etat doit donc jouer un rôle correcteur du disfonctionnement des marchés, principalement à l’aide des politiques conjoncturelles. Musgrave complète cette théorie par les trois fonctions de l’Etat : allocation et répartition des ressources, la redistribution et la régulation. B Le courant non-interventionniste : Etat Gendarme. Ce courant a été fondé par Smith qui considère que l’Etat doit se limiter à ses fonctions régaliennes (police, justice, armée, diplomatie). De plus l’Etat doit permettre

d'investissement d'une collectivité publique, d'un organisme social, ou d'une association ou fondation privée à but non lucratif (culturel, humanitaire...) Sources de financement Les principales sources de financement sont * l'épargne et les revenus et plus values de placement (pour les particuliers) * les fonds propres (fonds apportés par les investisseurs) et l'autofinancement (pour l'entreprise) * le crédit (fonds d'emprunt), * le prélèvement obligatoire (impôts et cotisations sociales

politiques adaptées. >La typologie synthétique de Musgrave : (économiste Américain) il présente une classification des fondements de l’intervention des pouvoirs publics dans l’éco de marché => fonction d’allocation des ressources, de redistributions des revenus, et de régulation de l’acti éco. *DGCCRF = Direction générale de la consommation, de la concurrence et de la répression des fraudes. Elle veille à l’application des règles d’étiquetage, et des règles concernant la pub sur les prix/produits/prestations

extraordinnaires (=dépenses exceptionnelles = investissements) ». 2§ : Dépenses administratives et dépenses de transfert. (Exemple : les fonctionnaires, une entreprise en construction…) On dit encore dépense de service (administrative) et dépense de redistribution (transfert). Il y a des dépenses qui sont faites en contrepartie d’un service ou d’une prestation effectuées au profit de l’administration. Ces dépenses peuvent aussi bien concerner le fonctionnement de l’investissement. A l’opposé, il

Les objectifs et les instruments de la relance budgétaire. Les objectifs d’une politique de relance sont d’agir sur la demande globale pour stimuler la croissance afin d’assurer un niveau de vie élevé et faire baisser le chômage. Pour cela l’Etat peut augmenter le SMIC, les revenus de transfert, l’investissement public ou baisser les impôts… Le but est de libérer du pouvoir d’achat pour les ménages afin qu’ils consomment plus et relance la croissance. Les limites de la relance budgétaire

est 2 interdite. Etablissement privé d’enseignement supérieur Economies) SAPARD (Préadhésion pour l'agriculture et le développement rural), ISPA (Instrument structurel de préadhésion), PATF, (Programme d’aides post-adhésion), CARDS (Aide pour la reconstruction, le développement et la stabilisation) et depuis 2007 : IAP : Instrument d’aide de préadhésion ; 5- Controverses : Quelles limites à l’élargissement ? Notion de « capacité d’absorption ». Section 2. Les institutions 1- Les organes

Centre d’Economie de la Sorbonne UMR 8174 Endettement public et redistribution en France de 1980 à 2004 Jean-Marie MONNIER Bruno TINEL 2006.06 Maison des Sciences Économiques, 106-112 boulevard de L'Hôpital, 75647 Paris Cedex 13 http://mse.univ-paris1.fr/Publicat.htm ISSN : 1624-0340 CAHIERS DE LA MSE Série rouge Cahier n° R06006 ENDETTEMENT PUBLIC ET REDISTRIBUTION EN FRANCE DE 1980 À 2004* Jean-Marie Monnier♣ et Bruno Tinel♦ MATISSE (Centre d'économie de la Sorbonne :

Production DépensesRevenus Exemple ci-dessus du circuit économique. Les agents économiques On identifie les acteurs et grands groupes par leur rôle (c'est quoi leur rôle dans le système économique) et les ressources (quels sont leurs revenus?) Entreprises : Produisent (ou offrent) des B&S marchands. Donc dans une logique de profit. Utilisent des facteurs de production (K et L). Pour produire, ces entreprises ont besoins de marchines (K = capital et L = travail). Ces

travailleurs peuvent changer de travail comme ils le souhaitent  D. … TOUT CELA A BESOIN DE “GARDE-FOUS” : LOIS ET RÉGLEMENTS VIA DES INSTITUTIONS Droit de la Propriété  Droit de la Concurrence  Droit de la Consommation  Droit du Travail  Redistribution et échanges non-marchands  CONCLUSION Après avoir vu comment les rapports marchands et non marchands satisfont aux besoins de l’homme oeconomicus dans le cadre de règles et d’institutions évitant les abus, nous allons voir comment les offreurs