Insurrection de novembre 1830

elle poursuit sa scolarité en anglais. Elle apprend également à parler italien, grec, latin et français. Ses professeurs sont le révérend Davys et la baronne Lehzen. Elle a onze ans quand son oncle le roi George IV meurt sans enfant le 26 juin 1830, laissant le trône à son frère, le duc de Clarence et de St. Andrews qui devient roi sous le nom de Guillaume IV. Bien qu'il ait - comme ses frères - épousé sur le tard une princesse issue d'une famille souveraine, Adélaïde de Saxe-Meiningen, le nouveau

Mais la majorité des juristes estimes que le Roi aurait besoin du concours des chambres par la voie très souple d’une loi ordinaire. La nomination provocatrice du prince de Polignac est encore aggravée par la dissolution de la Chambre libérale en mai 1830 et cela accélère le conflit. Hors la majorité libérale est confirmée et le roi (Charles X), il n’en tient pas compte et promulgue des ordonnances qui suspendent la liberté de la presse et favorise davantage (élection et éligibilité) les grands propriétaires

personne et formée le directoire. Ce directoire est placé sous la coupe directe du parlement. La séparation est rigide, il ne pouvait être réservée. Deux grands coups d’état, celui du fructidor début septembre 1797 et le second le plus célèbre, 9 novembre 1799 (Bonaparte). Il fait un coup d’état pour lui, il se fait nommé premier consul. Puis commence la période bonapartiste. Il font une déclaration « citoyen, la révolution est fixée au principe qui l’ont commencé. Elle est finie » Va s’ouvrir une

l’oppression et au droit à l’insurrection. La Constitution met en place un régime d’assemblée : le Corps législatif, élu pour un an, cumule tous les pouvoirs et délègue à un Conseil exécutif qui n’en est que le commis. En raison des circonstances (insurrections en Vendée et dans les grandes villes, invasion du territoire) la Constitution est suspendue immédiatement. Un décret de la Convention, du 10 octobre 1793 (19 vendémiaire an II), décide : « Le gouvernement sera révolutionnaire jusqu’à la paix »

puisque c’est lui qui sera chargé de réprimée les révoltes royalistes. Cette journée de Vendémiaire, tentative de coup d’État va échouer mais elle va permettre la mise en place de la nouvelle Constitution. C/Le Directoire : 26 Octobre 1795 au 9 Novembre 1799 1/ La Constitution de l’An III Cette constitution a pour objectif principal d’éviter tout retour à la dictature, on retrouve dans cette constitution le principe de souveraineté nationale, et le principe de séparation stricte des pouvoirs

traité, quelque chose de beaucoup plus important, suppose une négociation plus longue et une négociation qui n’est pas toujours possible. A la fin de la Première Guerre Mondiale, il y a un cessez-le-feu, une armistice décrétée très vite (11 novembre 1918) et une paix longuement négociée à la conférence de Versailles qui abouti à plusieurs traités (traités bilatéraux) entre les différents pays concernés. 2 Le règlement de guerre Il y a donc eu pendant longtemps un droit de la guerre qui

décentralisation existaient sous l’ancien régime. Dans cette nostalgie de l’ancien régime, il y a tout une référence de manière partielle à cette époque. Tout ceci permet d’être amené à analyser la situation sous la révolution et l’empire. Puis à partir de 1830, un mouvement était très favorable à la décentralisation avec des retours en arrière. En parallèle, il y a une volonté de mettre au-dessus du département une entité. Histoire administrative Page 2 Chapitre 1 : L’ancien régime. On parle

l'assemblée fédérale qui vote les loi et contrôle le pvr exécutif. Preiminance du pvr executif. Rarement voulue dans les textes. On cherche une legitimite democratique en donnant preiminence au pvr executif. Ex 1 : France en 1814 et 1830, on priviligie le pvr du roi en lui donnant les pvrs les plus importants → monopole de l'initiative legislative. → droit de dissolution de la chambre des representants. Lorsque le president dispose dune majorite de soutient il a la capacite de controler

volontés des peuples. (ex: Pologne intégrée à la Russie). Cela engendra de nombreux mouvements révolutionnaires en Europe au cours des décennies suivantes. Un des premiers fut la révolution belge contre le royaume de Guillaume d’Orange-Nassau en 1830 car le mariage entre Belgique et Pays-Bas était un mariage de raiso n fait par des diplomates qui prônaient surtout des avantages écono miques : le Nord était une région agricole tandis que le Sud était une région

nation. Quoique concédée par le roi, la Charte de 1814 ne pouvait être abrogée par lui. La Charte de 1830 consacrera officiellement cette idée d'une « charte-contrat ». De plus, dès la rédaction de celle de 1815, il y a eu collaboration entre les commissaires du roi et l'opinion ; la Charte devient une œuvre collective reflétant les besoins ressentis par le pays. Cela sera plus net encore en 1830. Il n'est plus question d'un principe monarchique dominant la Charte ; le roi devient l'égal des autres