Insurrection

en cause l’Ancien régime. Des oppositions libérales et nationales remettent en cause l’ancien régime puisque l’Europe de 1815 est remplie de contestataires et de révolutionnaires. Les libéraux se forment en sociétés secrètes pour organiser des insurrections visant à renverser les gouvernements. Ils revendiquent des constitutions limitant le pouvoir absolu des souverains. Des actions violentes vont alors avoir lieu comme dans les états italiens où la société secrète des carbonari lutte pour l’unité

l’internement dans une ville déterminée, car elle « n’appartient pas aux formes classiques de la justice ».  C’est une peine nouvelle qui est donnée principalement aux personnes dont on n'est pas sure de la participation aux insurrections.  « Sont internés ceux dont le passé de militant n’est pas suffisant pour « mériter » la déportation ou l’exil, mais qui ne peuvent être malgré tout innocentés ou simplement surveillés » Les personnes ayant cette condamnation

travaux est lancé à Paris avec la construction des gares Montparnasse et Saint-Lazare. Les Ateliers nationaux, insuffisants et mal organisés, deviendront un vivier de militants révolutionnaires. Ils seront dissous le 21 juin 1848, entraînant une insurrection sanglante. Voir aussi : Histoire de Paris - Dossier histoire de la révolution de février 1848 - Histoire des Ateliers nationaux - Histoire de la Deuxième République 1848 8 mars La Garde nationale est ouverte à tous les citoyens La milice

XIXe siècle, les romanciers ont souvent cherché à représenter leur époque. C’est ainsi que le corpus réunit trois figures majeures du genre romanesque de cette période. A quelques années d’intervalle, les trois auteurs s’attachent à évoquer une insurrection populaire. Dans les Misérables, en 1862, Victor Hugo, connu pour son engagement politique, évoque les barricades de juin 1832 visant à renverser la Monarchie de Juillet. Flaubert, auteur réaliste, raconte, dans L’Education sentimentale, roman paru

décembre. Élections à la Commune de Paris : rôle essentiel de Jacques Roux, les " Enragés " apparaissent sur la scène politique. 1793 6 avril. Création du Comité de salut public. 24 mai. Arrestation de l' " Enragé " Jacques Hébert. 31 mai-2 juin. Insurrection parisienne contre les Girondins. 27 juillet. Maximilien Robespierre entre au Comité de salut public. 5 septembre. Jacques Roux, le chef des " Enragés ", est arrêté après une manifestation des Sans-Culottes parisiens. 1794 10 février. Suicide

séparation, qui aura lieu le 26 octobre 1795, donnera naissance à la Constitution du 22 août 1795. Ce sera la « Constitution de la peur », peur de ceux qui ont voté la mort du roi, de ceux qui ont connu la dictature de Robespierre et peur des insurrections populaires. Ainsi c’est à travers ce texte de Gracchus Babeuf, que nous nous demanderons si la Constitution de l’an III est une opposition au modèle de la Constitution de l’an II. Nous verrons, dans une première partie, l’absence des convictions

droit au travail et la création d’atelier nationaux* destinés à employé les ouvriers au chômage et d’autres part, il y a les républicains modérés qui ne veulent pas de réformes sociales et qui suppriment les ateliers nationaux. Cela provoque une insurrection des ouvriers parisiens du 23 au 26 juin 1848 qui est écrasé par l’armée, c’est la semaine sanglante. La république fraternel est vidée de sa substance et devient une république conservatrice dans laquelle le parti de l’ordre* prend de l’importance

que l’avenir de chaque individu est influencé par son milieu. Ce texte constitue un passage de l’incipit du roman. Zola y retranscrit une des insurrections ayant eu lieu en Provence à la suite du coup d’état de Bonaparte en 1851. On peut ainsi se demander comment Zola va réussir , par le biais d’un incipit à développer une vision positive des insurrections. I) Un incipit complet A) Création d’un cadre spatio temporel réaliste - appui sur un evenement historique - reprise de la

décisions en matière de justice, de fiscalité, d'administration, de finances et de religion du nouveau pouvoir. En somme cette presse est un véritable plaidoyer pour l’ancien régime et dénonce «le vide créé depuis son abolition». B: Emigrations et insurrections: 1: L’émigration contre-révolutionnaire: L’abandon de Louis XVI, la grande peur de 1789 qui annonce la terreur, la prise de la Bastille constituent assez d’éléments faisant prendre conscience aux contre-révolutionnaires qu’ils n’étaient pas

monarchie instauré à la suite de la révolte populaire dite des « trois glorieuses » du 29,30, et 31 juillet à une nouvelle remise en cause suivi d’une seconde insurrection populaire mettant fin à la monarchie ? Introduction: La France connait au XIXème siècle une instabilité politique conséquente; les révoltes et les insurrections populaires font parties du paysage français. La monarchie de Juillet succède à la période de la restauration, un retour à la monarchie de droit divin. celle-ci