Insurrections fédéralistes

bougé à l’annonce de l’exécution du roi — et, quoique poussés par les prêtres réfractaires, ils ne se sont pas soulevés en 1792 pour les défendre contre la déportation : ils se révoltent pour ne pas aller combattre loin de leurs villages. Cette insurrection prend très vite de l’importance quand la Vendée se soulève d’un bloc [75]. Pour tenter d’arrêter ces émeutes la Convention vote, le 19 mars 1793, une loi qui met en place une véritable logique de terreur : tous les insurgés pris les armes à la

aristocrates pour participer à l’effort de guerre. Le peuple s’insurge contre ce veto et envahit le palais des tuileries, défendu par la garde suisse. Le Roi finit par donner l’ordre de cesser le feu et les gardes sont massacrés. (800 morts ?) Cette insurrection montre le pouvoir dont dispose à présent le peuple. Les insurgés prononcent la suspension du Roi et annoncent une convention nationale. L’assemblée Nationale élit et convoque une nouvelle assemblée constituante pour rédiger une nouvelle constitution

1ère Rpbq En aout 1792, après l’échec de la monarchie constitutionnelle, c’est la proclamation de la république, régime qui connaît des d »buts difficiles car il fait suite à la journée du 10 aout 1792, journée d’insurrection populaire. Cette insurrection apparaît comme la revanche des citoyens passifs, de ceux que la démocratie censitaire a écarté. C’est environ 3 millions d’électeurs qui réclament le droit de participer aux élection, à la vue démocratique du pays. Ils vont retrouver le droit de

1793 : décret → « le gouvernement de la France serait révolutionnaire jusqu'à la paix ». Pourquoi ? - Au cours de l'été 1793, la pression des coalisés s'accentue aux frontières. La province se soulève également. Insurrection vendéenne atteint son paroxysme à l'été 1793 les fédéralistes s'emparent de Lyon, Marseille ou Toulon où les Anglais s'installent à la fin du mois d'août. Assassinat de Marat par une royaliste Charlotte Corday : il est immédiatement panthéonisé au cours d'une cérémonie réglée

Girondins et les jacobins). La ville de Verdun tombe dans la main des Autrichiens car Verdun est une clé qui mène à la Capitale. Il y a un sursaut national de la part du peuple en France qui croit au complot. Le climat est donc délétère ; une insurrection qui débouche du 10 août 1792 à une fuite du roi, et l’Assemblée qui en profite pour suspendre la Monarchie. Lorsque le roi se réfugie à l’Assemblée, le climat à Paris a totalement changé, on déclare la Patrie en danger. B – La patrie en danger

des electeurs à l’egard des élections car absence d’enjeu politique aux élections. G/ l’echec de la monarchie constitutionnelle et la chute de la royauté Chute de la royauté sous la revolution suite à une importante insurrection populaire le 10 aout 1792. Cette insurrection ne rassemble en realite que qqs milliers de personnes, des minorites actives. Certains historiens ont mis en cause la politique laxiste de Louis 16, qui s’est ensuite opposé radicalement à la revolution : - L’inaction

| |Montrer que les contexte |P.87, doc.5 : la répression de l'insurrection royaliste |B) Des tentatives insurrectionnelles | |politique troublé donne une |devant l'église Saint Roch (cette insurrection est |Le Directoire doit faire face | |importance de plus en plus |réprimée par Bonaparte). |- aux royalistes soutenus par les Anglais | |grande à l'armée.

on crée une catégorie plus large de personnes contre laquelle va s'exercer plus énergiquement la Terreur, c'est la catégorie des suspects. a- Les ennemis clairement désignés 3 catégories d'ennemis clairement désignés : le roi, le mouvement fédéraliste, la Vendée. *Le roi : la Convention se divise à son sujet, les girondins ne veulent pas de procès, les montagnards veulent un jugement du roi. Robespierre et Saint-Just placent le débat sur le terrain politique, selon eux le problème est : le

terriers des seigneurs ( des livres dans lesquels étaient consignés les droits féodaux, ayant été presque tous réécrits au 18ème Siècle, il n’avait dc pas tendance à disparaitre). Or cette violence est absolument imprévisible. Ce qui gêne dans cette insurrection des campagnes, c’est qu’on s’en prend à la propriété. Cette révolution va beaucoup plus loin que les autres révolutions car les droits féodaux bien qu’injuste est un droit de propriété. on s’attaquant aux châteaux, la population paysanne s’en prend

méfiance et la confrontation entre le roi et l’AL s’accroissent et les forces extérieures à l’Assemblée notamment les clubs et le peuple de Paris progressent considérablement. Le club des Girondins, parti républicain modéré avec des tendances fédéralistes apparaît formé par des députés de la gironde. Le club des Jacobins (s’installe dans le couvent des jacobins) va être de plus en plus intransigeant et révolutionnaire notamment sous l’influence de Robespierre (hostile à la monarchie et favorable