Insurrections fédéralistes

devaient ratifier le texte pour qu’il puisse entrer en vigueur, et tout ce processus de ratification a été l’occasion de nombreux et virulents débats politique, ce sont finalement les partisans de la Constitution, les fédéralistes, qui l’ont emporté, mais leurs adversaires, les anti-fédéralistes, obtinrent une concession importante. Leur crainte était que l’Etat fédéral, parce qu’il dispose d’un pouvoir trop important, ne devienne tyrannique à l’égard des Etats membres et de leur population. Certains Etats

désigne des gentilshommes de la région. Riposte faible de la Convention, qui craint + la gde révolte fédéraliste déclechée après chute des Girondins. → Vendéens sotent du bcage, prennent Saumur, mais échouent à Nantes le 29 juin. Insurrection étale. Travaux des champs détournent bcp de Vendéens, mort de Cathelineau → désorganisation, espacement des actions militaires. Après échec de la révolte fédéraliste, l'équilibre des forces se renverse. Paris envoie une armée expérimentée. Période des défaites

sous prétexte de célébrer le 14 juillet et on va en profiter pour déclarer la « patrie en danger » ! Il va y avoir une campagne d’hostilité à la Monarchie dans les clubs privés (Club des Jacobins, dirigé par Robespierre demande le remplacement insurrection révolutionnaire par l’insurrection populaire par la fameuse commune insurrectionnelle, la commune de Paris) De là va intervenir un 3ème manifeste, le manifeste du Duc de Brunswick, c’est un Duc prussien qui va adresser à la France un manifeste

qu’on peut dire, c’est que les théoriciens du gouvernement représentatif à la fin du 18 ème siècle on une réponse très claire : c’est un régime distinct. Il est pensé comme une forme d’épuration de l’opinion populaire. James Madison écrit dans le Fédéraliste : « dans un tel système il peut fort bien se produire que la volonté publique formulée par les représentants du peuple s’accord mieux avec le bien publique que si elle était formulé par le peuple lui-même formé à cet effet. » En France, l’abée Sieyès

Révolutionnaire. Les difficultés sociales et économiques augmentent les tensions entre Montagnards et Girondins. Les Montagnards en s’appuyant sur les sans-culotte parisiens de la Commune insurrectionnelle de Paris, proscrivent les Girondins après les insurrections des 31 Mai et 2 Juin 1793. L’éviction des Girondins, marque la seconde phase de la Convention Nationale : la Convention Montagnarde. La Convention Montagnarde vote le 24 Juin 1793, une Constitution considérée comme très démocratique et décentralisée

soulèvent et se rendent à la Convention. Sous la pression de la foule, les députés girondins se démettent de leurs fonctions. Certains sont arrêtés d’autre s’enfuient et essaient de soulever la province contre Paris. Les soulèvements girondins – ou « fédéralistes » - échouent, les chefs girondins (Brissot, Roland) seront exécutés en octobre 1793, les autres vivent dans la clandestinité. 2) La Convention montagnarde et la Terreur (juillet 1793-9 thermidor an II) Les montagnards triomphent au début de

territoires, avec une rechristianisassions dans le nord de la Vendée avec Louis Marie Grignon de Montfort qui a créer plusieurs congrégations. Ces populations sont donc attachées au clergé et aux prêtres réfractaires. On a donc la guerre et des insurrections qui se développent. De plus, la menace économique avec la famine est très présente sur le territoire. Histoire administrative Page 17 Il va donc falloir prendre des mesures d’urgence pour répondre à la situation. C’est pourquoi va se

les girondins et de l' autre le parti des sans culottes. Dans ce contexte très agité, le roi décide de se débarrasser de ses ministres girondins ( en juin 1792 ) alors qu' ils avaient la confiance du corps législatif, cela provoque une journée d' insurrection le 20 juin 1792, le peuple de Paris envahit l' assemblée et le palais des tuileries et oblige le roi à se coiffer du bonnet des sans culottes. L' assemblée proclame la patrie en danger et elle lève des troupes ( le 11 juillet ). le 25 juillet

septembre 1793 pour lutter contre les factions soit trop radical (hébertistes), soit trop modérer (dantoniste).On se garde aussi face aux ennemies de la révolution : les nobles, les prêtres réfractaires, les accapareurs, agioteurs et également les fédéralistes. Puis la liste s’allonge et tous les citoyens dénoncé comme suspects dont la liste est établie sur le plan local par les commîtes de surveillance centralisé par le comité de sureté générale. Sur dénonciation publique, on peut être conduit à la

bougé à l’annonce de l’exécution du roi — et, quoique poussés par les prêtres réfractaires, ils ne se sont pas soulevés en 1792 pour les défendre contre la déportation : ils se révoltent pour ne pas aller combattre loin de leurs villages. Cette insurrection prend très vite de l’importance quand la Vendée se soulève d’un bloc [110]. Pour tenter d’arrêter ces émeutes la Convention vote, le 19  mars  1793, une loi qui met en place une véritable logique de terreur : tous les insurgés pris les armes à