Insurrections fédéralistes

sera exécuté le 25 janvier 1793. En réaction à cette exécution se forme une coalition européenne. La terreur débute en 1793, car les députés pense que la révolution est menacé, la France est en guerre, les départeemtns en France mène une insurrection fédéraliste, alors que l'on souhaite une république unitaire. De plus la crise économique ajoute un poids dans cette terreur. La France est gouverné par le comité de salut public dès avril 1793 dont les membres sont désignés par les députés de la

des pouvoirs des administrations départementales (tendance fédéraliste) et un découpage communal qui a pour objectif de noyer les ouvriers et artisans des villes (dits sans-culottes parce qu’il portent des pantalons) parmi les paysans, les Assemblées primaires, composées de 400 à 900 citoyens, ayant le droit d’initiative (initiative populaire) et le droit de censure (veto populaire) en matière législative. Le 2 juin 1793 une insurrection des sans-culottes parisiens impose à la Convention l’arrestation

représentants en mission et des comités de surveillance. La violence populaire contre les prêtres réfractaires et toute forme d’opposition se déchaîne. Fin 1793, la situation intérieure s’est améliorée : une sévère répression a mis un terme à la révolte fédéraliste et à l’insurrection vendéenne. Aux frontières, après la victoire de Fleurus dans les Pays- Bas autrichiens (26 juin 1794), la menace d’invasion s’éloigne. Les montagnards se divisent : ceux qui veulent arrêter la Terreur, comme Danton, sont exécutés

l’Atlantique Nord). Entre 1947 et 1948, plusieurs événements nourrissent cette appréhension des Occidentaux face au bloc de l’Est : les ministres communistes quittent les gouvernements français et italiens ; la guerre civile grecque, première insurrection communiste en Europe, débutée en 1942, va se prolonger jusqu’à 1949 ; le « coup de Prague », en Tchécoslovaquie, le 12 mars 1948, avec les chars soviétiques ; enfin, du 24 juin au 12 mai 1949, le blocus de Berlin. De plus, affaiblie économiquement

Maximum. L’état contrôle les prix et les salaires et fait des réquisitions dans les campagnes pour alimenter les villes. Les droits seigneuriaux rachetables par les paysans sont abolis. Les résultats sont là: en quelques mois, les révoltes fédéraliste et vendéenne sont écrasées et les armées étrangères sont refoulées hors de France par les soldats de l'an II conduits par de jeunes généraux comme Bonaparte . Cela implique parallèlement à cela 16 000 exécutions sommaires, et les 300 000

Cf. Régis DEBRAY Révolution dans la Révolution - Cf. surtout CHE GUEVARA : interventions au Congo, en Bolivie en 65-67... • multiplication des guerres civile , des focos : Quelques exemples : - Colombie : de 48 à 63 : plus de 200 000 morts - insurrection de St Domingue en 65 - révolution sandiniste au Nicaragua en 79 • l’exception chilienne : contestation démocratique de la domination US : Salvador ALLENDE d) un interventionnisme US permanent : (1) direct : --> reprise de la politique du "big

défendre la République. Ainsi le 2 juin 1793, ils font arrêter 29 députés girondins jugés trop mous. Le pouvoir revient alors aux montagnards, dont ils sont plus proches. Mais cela entraine la révolte des départements aux Girondins : c’est la révolte fédéraliste. §2 : La politique de la Terreur. Le 5 septembre 1793 : la Convention met la Terreur à l’ordre du jour. Il s’agit de défendre la République contre 2 menaces : - A l’extérieur, les monarchies européennes, suite à l’exécution de

B Documents de travaux dirigés - 1er semestre Fiche n° 10. Distribution Semaine du 21 novembre Séance semaine du 28 novembre ÉTAT UNITAIRE ET ÉTAT FÉDÉRAL Document 1 : A. Hamilton, Le Fédéraliste, 1787-1788, in A. Hamilton, J. Jay, J. Madison, Le Fédéraliste [The Federalist Papers, 1787-1788], traduction G. Jèze, LGDJ, 1957 Document 2 : Louis Le Fur (1870-1943), État fédéral et confédération d’États [1896], LGDJ - Éditions Panthéon-Assas, 2000 Document 3 : Raymond Carré de

des mulâtres est promulguée par l’Assemblée législative. En revanche, les représentants des colons parviendront pendant longtemps à éviter tout débat sur la traite : c’est seulement en juillet 1793, à l’heure des défaites en Vendée et des menées fédéralistes, que Garat, alors ministre de l’Intérieur et Ami des Noirs, réussit à faire supprimer les fameuses primes accordées aux négriers. et l’abolition de l’esclavage hégémonie française et lutte pour l’indépendance La Convention et l’abolition

Il aurait affirmé que les terroristes ne voulaient rien d'autre que l'anéantissement de la RépubliquE. La menace est précise. Cadroy entreprend une épuration complète des administrations civiles en remplaçant le personnel modéré par d'anciens fédéralistes ou des émigrés tout juste rentrés. L'atmosphère de violence croissante est encouragée par la frustration populaire face à la lenteur des tribunaux ordinaires pour juger les « criminels de l’an II ». Des meurtres en série dans les prisons ont