Intentions Auteurs Bel Ami

Deuxième partie Le Premier Homme L’adolescence : Le coup de poing              Sport et morale L’homme :          (Action politique (l’Algérie), la Résistance) Troisième partie La Mère Les Amours Le royaume : le vieux camarade de sport, le vieil ami, Pierre, le vieux maître et l’histoire de ses deux engagements         La mère Dans la dernière partie, Jacques explique à sa mère la question arabe, la civilisation créole, le destin de l’Occident. « Oui, dit-elle, oui. » Puis confession complète

Présentation - Titre : (A expliquer) - Genre : (sa particularité) - Auteur : (biographie) - Edition : - Date de parution : (et le contexte de publication) - Nombre de pages : - Nombre de chapitre : 2. Thèmes 3. Les personnages Leur fonction (Qui est le personnage principal, les protagonistes ?), leur cadre de vie, leur caractère (quelles sont leurs idées ? Comment se comportent-ils ? Leur personnalité ?), leurs intentions (pour quelles raisons agissent-ils ainsi ?), leur évolution (Changent-ils

pas assez familiarisés avec l'étude des textes pour lire couramment un auteur du XVI e siècle. effort Nous avons pensé qu'on pouvait aller plus loin et, tout en respectant le texte original, qu'on pouvait le présenter sous une forme plus facilement assimilable, c'est-à-dire avec l'orthographe moderne. Entendons-nous. On a vu paraître depuis quelques années plusieurs Rabelais où, sous le prétexte de mettre notre grand auteur à la portée du public, les éditeurs se sont livrés à de véritables adaptations

critiquer, savoir admirer). - développer notre propre vocabulaire, notre style, bref apprendre à écrire (ce qui pour Boileau revenait à l’imitation des Anciens, c’est-à-dire de l’antiquité). - mieux vivre, tout simplement (ne riez pas !) ! Les auteurs nous aident à comprendre et à verbaliser nos angoisses, nos doutes, nos rêves, nos espoirs… Mieux comprendre les textes, c’est en quelque sorte mieux se connaître, comprendre notre existence. 3. Pourquoi lire ? Nous pourrions reprendre les réponses

l’obsession de son argent volé d’où l’abondant champ lexical du vol dans ses répliques (« l’action la plus noire, l’attentat le plus horrible qui jamais ait été commis », « ton crime », « voleur infâme », « un guet-apens, un assassinat de la sorte », « Bel amour, bel amour, ma foi ! l’amour de mes louis d’or ! », « le vol qu’il m’a fait »). Cette obsession l’empêche de comprendre ce que lui dit son interlocuteur. Pourtant la scène présente ici une situation de comique de mœurs. Il y est implicitement question

apparue sous sa forme achevée dès sa naissance, sous l’Antiquité. Elle a depuis connu de longues éclipses. Mais 2500 ans plus tard, elle fascine plus que jamais. Certes, après les tentatives infructueuses de la seconde moitié du XXe siècle, les auteurs semblent avoir renoncé à inventer une tragédie moderne. En revanche, l’engouement pour la mise en scène et l’adaptation d’auteurs tragiques, notamment grecs, que Georges Banu interrogeait dans « Tragédie grecque, défi de la scène contemporaine1 »

principale est la même identité. INTRODUCTION 6 Pour différencier les deux genres, Lejeune dresse un tableau où il multiplie les critères distinctifs relatifs aux noms du personnage et de l’auteur, ainsi que la nature du pacte conclu par cet auteur. Cependant, deux cases sont hachurées, dites cases aveugles : il s’agit de la possibilité, pour un héros de roman, d’avoir le même nom que l’auteur et du cas d’une autobiographie déclarée où le personnage principal porterait un nom différent de

que la nature prépare des modèles à l'art ? C'est au temps où les enfants s'arrachent les cheveux autour du lit d'un père moribond ; où une mère découvre son sein et conjure son fils par les mamelles qui l'ont allaité ; où un ami se coupe la chevelure sur la cadavre de son ami,...où un père prend dans ses bras son fils nouveau-né, l'élève vers le ciel et fait sur lui sa prière aux dieux,...où les pythies écumantes par la présence d'un démon qui les tourmente, sont assises sur les trépides et font mugir

penser où vous vous étiez mise: Vous enfiliez tout droit, sans [ma directive], [36] Le grand chemin d’enfer et de perdition. De tous ces damoiseaux on sait trop les coutumes: Ils ont de beaux canons[37], force rubans et plumes, Grands cheveux, belles dents, et des propos fort doux; Mais, comme je vous dis, la griffe est là-dessous; Et ce sont vrais Satans, dont la gueule altérée De l’honneur féminin cherche à [dévorer].[38] Mais, encore une fois, grâce au soin apporté, Vous en êtes sortie

étudient les tempéraments conditionnés biologiquement et physiologiquement, l’homme est dégradé au niveau d’une brute. Le romancier naturaliste subordonne la psychologie à la physiologie. La documentation méthodique occupe une place importante : les auteurs examinent les personnes de la réalité, font l’étude du milieu sur place. Il s’agit de la peinture de la société contemporaine, de l’observation réaliste. Le naturalisme s’oriente aux couches sociales inférieures et choisit volontairement des cas pathologiques