Interlocuteur

chambre «Ces eternelles gants! Je t'ai dit assez souvent de les laisser a la cuisine.» «Quand comprendras tu que cette chambre ne doit pas etre souillée?» Le statut des personnages aparait dans les le discours et la manière de s'adresser à son interlocuteur qui souligne les les rapports de dominant à dominé. C est a dire que Claire vis a vis de Solange qui est la domestique, subit les ordres de «Madame» et les exécutent, cela se traduit par son attitude, ses gestes de soumissions et ses paroles brèves

fait partie intégrante de notre quotidien et complète le message oral. Pour des personnes ayant un mutisme, ne pouvant pas s’exprimer ou se faire comprendre oralement, ces signes sont leur seule mode de communication. Il est primordiale que leurs interlocuteur est un bon sens de l’observation et une bonne connaissance de la personne pour favoriser un maximum la transmission du message. Fonction du message : (donne une identité ,) http://www.cterrier.com/cours/communication/60_non_verbal.pdf

attention! La communication non verbale engendre une multitude de gestes qu’on ne peut pas toujours contrôler ( heureusement/ malheureusement ? ). C’est un élément très important qui vous aidera à avoir une idée sur l’intention de votre interlocuteur, et puis entre la personne qui ne vous dira pas la vérité, celle qui cachera ou insinuera autre chose que ce qu’elle dit…ça peut rendre service, trouvez-vous aussi ? Ps: Les gestes expliqués ci dessus ne représentent pas toujours la même chose

d'énonciation (circonstances spatio-temporelles de l'énonciation) est la situation dans laquelle une parole a été émise ou la situation dans laquelle un texte a été écrit. La situation d'énonciation répond aux questions : qui parle (l'énonciateur) ? à qui (interlocuteur) ? à quel moment ? où ? Les indices de l'énonciation : les déictiques, les pronoms personnels de la première et de la deuxième personne, les déterminants et les pronoms démonstratifs, les mots qui indiquent le lieu et le temps, les temps verbaux

de la souffrance du riche et son appel à Abraham (justifiée par les paroles d'Abraham "parce que c'est la loi"). Il semble que cette punition est sans appel. Pour une crédibilité, le lecteur doit croire à l'enfer et au paradis et à celle d'un interlocuteur tel que Abraham. -c'est un narrateur omniscient qui met en scène les personnages. -il rapporte l'échange de paroles entre le riche et Abraham et s'efface d'une grande partie du texte -il reprend quelques formules jouant le rôle de refrain ( "dit"

| |Stratégie de coopération : | |Quand j'ai pris la communication, j'entendais très mal ce que mon interlocuteur me disait, et même en augmentant le son du téléphone je | |n'arrivais pas à le comprendre. Alors je lui ai fait comprendre que le téléphone marchait assez mal et que c'est pour cela que j'étais | |obligée de lui faire répéter ce qu'il disait

outils de communication utilisés : Devis du client, Techniques d'écoute active Stratégies de communication J'ai adopté une stratégie de coopération avec le client. Les rituels d'accès et confirmation sont respectés (pour marquer l’intérêt pour son interlocuteur) Je cherche à identifier la raison de sa visite (retards sur les travaux de plus 4 mois) Je pose des question ouvertes : (Que puis-je pour vous ? De quoi s'agit-il exactement?) pour permettre au client de s'exprimer. Je fait preuve d'empathie

que la gestuelle est également importante. Pendant le temps de préparation :  Rassemblez et organisez vos idées et votre opinion sous forme de NOTES. N’écrivez pas de phrases sinon vous aurez tendance à les lire donc à ne plus regarder votre interlocuteur. Votre débit sera également beaucoup trop rapide.  Choisissez les idées que vous garderez « en réserve » pour illustrer ou développer certains points abordés lors de la phase d’interaction. Imaginez les questions que pourrait vous poser l’examinateur

L’identification à autrui est le fondement de la communication. L’empathie est un effort réciproque de l’autre : ← l’émetteur pour organiser sa communication afin d’être compris ← le récepteur pour comprendre ce que son interlocuteur a voulu dire la congruence Ce que vous faites est plus important que ce que vous dites. La congruence c’est le rapport qui existe entre ce que vous faites et ce que vous dites. Ce rapport correspond à votre crédibilité. Que penser en

en évidence l'importance de ce qu'il représente, c'est un moyen de préciser votre intention. De plus, la répétition favorise la mémorisation. IV. Les gestes Une grande partie des messages passent de manière non verbale. Votre interlocuteur sera très sensible à votre regard, vos mimiques, la position de votre corps, et l'amplitude de vos mouvements. Le corps dit parfois l'inverse de ce que disent les mots. Si vous déclarez : "Je suis très confiant dans l'avenir de ce projet" et que