Interprétation Du Tableau De Financement

|Période : 1er semestre 2ième année | |INTITULE DE L’ACTIVITE : LA GOURMANDINE 1et 2 Création d’une entreprise - Rentabilité prévisionnelle et seuil - Choix d’un mode de financement | |Durée : 15 heures | |Objectifs de l’activité :

(avis n 5) stipulant que les personnes morales soumises à l’obligation de présenter des comptes consolidés ou qui optent pour l’établissement de ces comptes, doivent adopter soit les normes nationales, soit les normes internationales IFRS et les interprétations s’y rapportant, telles que publiées par l’IASB et adoptées par l’Union Européenne. Ainsi, le 13 Octobre 2005 le conseil déontologique des valeurs mobilières (CDVM) a émis une circulaire relative à la publication et la diffusion des informations

TRE II : Les normes IAS/IFRS ---------------------------------------------Section 1 : Présentation des états financiers “IAS 1” -------------------------Section 2 : Stocks “IAS 3” ------------------------------------------------------Section 3 : Tableau de flux de trésorerie “IAS 7” -----------------------------Section 4 : Méthodes comptables, changements d’estimations comptables et erreurs “IAS 8” -------------------------------------Section 5 : Evénements postérieurs à la clôture “IAS 10” -------------------Section

| Le tableau de flux de trésorerie de l’O.E.C. ( Le tableau des flux de trésorerie de l’OEC permet de montrer l’évolution de la trésorerie au cours de l’exercice : |Trésorerie à l’ouverture | |+ Variation de trésorerie durant l’exercice | |= Trésorerie de clôture. | ( Le tableau des flux de trésorerie de l’OEC est construit à partir des trois

étudier la capacité d'une entreprise à respecter les échéances qui lui sont imposées par ses créanciers pour ne pas se retrouver en situation d'insolvabilité.   Les besoins de financement d'une entreprise         De par son activité, une entreprise est confrontée à deux types de besoins de financement. | |Un besoin de financement à long terme : | | |Pour pouvoir exercer son activité, une

l’est pas dans d’autres pays? A quoi sert la comptabilité dans un contexte international? Les trois référentiels les plus connus et les plus utilisés sont : •Le référentiel européen •Le référentiel américain •Le référentiel IFRS (IAS) Tableau comparatif des systèmes comptables continentaux et américains Systèmes comptables Utilisateurs financiers Caractéristiques comptabilité Principe dominant Principe opérationnel Mode de privilégié des de France, Allemagne États-Unis, Canada Investisseurs

d'exploitation - (227 104 + 104 310 + 27 432) (392 594+ 79 146 + 26 770) Dettes d'exploitation (496 801 + 523 000) – (352 636 + 463 230) 54 110 Interprétation du signe -139 664 (-54 110, + 139 664, + 203 635) 203 935 Question 2 Rédiger pour M. GILET une note de synthèse permettant : - d’identifier les causes des variations de trésorerie issues des trois parties du tableau de flux de s’interroger sur la nécessité de maintenir le recours à l’affacturage à hauteur de 60% des créances clients. Forme :  émetteur

- 02 ANALYSE ECONOMIQUE DU TABLEAU DE RESULTAT • Objectif(s) : Passage des S.I.G. selon le P.C.G. (analyse juridique) aux S.I.G. selon la Centrale de Bilans de la Banque de France (analyse économique) ; o S.I.G. aux coûts des facteurs. o • Pré-requis : o • Analyse juridique et patrimoniale du résultat : S.I.G. selon le P.C.G. Modalités : o o o Présentation des retraitements des charges et des produits ; Synthèse ; Applications. TABLE DES MATIERES Chapitre 1. INTRODUCTION

diagnostic financière Introduction Section1 : les préalables du diagnostic de l’entreprise 1.1-définition 1.2-objectifs Section2 : analyser de l’équilibre financier 2.1-analyser par le bilan 2.1.1-calcul de l’équilibre financière 2.1.2-Interprétation Section3 : analyse financière par les ratios 3.1-analyse de rentabilité de l’entreprise 3.2-analyse de liquidité 3.3-analyse de l’activité ou de gestion 3.4- analyse de solvabilité Section 4 : analyse de compte de résultat 4.1-calcul de

capacités de production alors que les facteurs techniques sont plus influents quand il s’agit de rationaliser le processus de production. D’autre part, les facteurs réels demeurent les principaux moteurs de l’investissement alors que les facteurs liés au financement n’apparaissent que dans un sens limitatif dans les décisions d’investissement. * Antoine Naboulet appartenait au moment de la rédaction de cet article à l’IDHE (UMR 8533), École Normale Supérieure de Cachan. ** Sébastien Raspiller appartenait