Intervention Etat Subprimes

général de la crise des « subprimes » et canaux de transmission dans les pays émergents d'Afrique 2 A. Contexte et genèse de la crise financière internationale des « subprimes » 2 A-1. Contexte international 2 A-2. Genèse de la crise financière des « subprimes » 3 A-3. Les crises financières du XXe siècle et leurs caractéristiques 6 A-4. Mécanismes de propagation de la crise 7 B. Canaux de transmission de la crise, état des lieux et réactions dans

d'assurance vie sont, depuis septembre 2008, mises à rude épreuve. Les risques de défaillance semblent cependant très faibles, d'autant que l'Etat a promis d'intervenir en cas de nécessité. Cet article, après le rappel des origines de la crise dite des subprimes, donne les éléments permettant de juger de la solidité des banques et des sociétés d'assurance vie : les ratios de solvabilité, l'importance de l'activité de dépôt et le volume des fonds propres, la gestion des fonds (placements boursiers par les

de provoquer un resserrement du crédit aux particuliers et aux entreprises (“credit crunch”) dans la mesure où les banques préféraient par exemple acheter des emprunts d’Etat à 10 ans (pour lesquels l’exigence en capital était nulle, pourvu que cet Etat soit membre de l’OCDE) plutôt que prêter aux ménages ou aux entreprises (pour lesquels le risque était pondéré à 100 % et l’exigence en capital était par conséquent de 8 %). Le problème venait du fait que les pondérations utilisées par Bâle I ne correspondaient

pouvoir aux EU, mène une politique libérale de non interventionnisme selon la politique néoclassique : on laisse faire le marché et les prix, on n’intervient pas. Mais cela va aggraver la crise. Roosevelt arrive en 1933, et marque le début d’une intervention plus grande des Etats dans l’économie. L’idée d’une régulation étatique dans l’économie s’impose peu à peu. L’idée c’est une vaste politique de relance : on a à la fois une politique de grands travaux, de distribution d’aide visant à soutenir une

désintermédiation. Et le système de changes flexibles favorisant la disparition des barrières réglementaires. L’extension de la libéralisation financière se fait petit à petit dans tous les pays industrialisés ainsi que dans les pays en développement par intervention du FMI. Les progrès des technologies de l’information et de la communication qui font baisser le coût des transactions financières aident aussi à l’essor des marchés financiers, d’où le développement très rapide des innovations financières depuis

crises de solvabilité tant au niveau des banques que des Etats, et par une raréfaction du crédit des entreprises. Originaire d'un dégonflement de la bulles de prix et par les pertes importantes des établissements financiers provoqués par la crise des subprimes. En effet, c'est dû à la faillite de Lehman Brothers en septembre 2008 qui marque un tournant dans la crise financière apparue en 2007 aux Etats-Unis. C'est la crise la plus grave après celle de 1873, decoulant de la crise bancaire de mai 1873.

stage au sein de l’attijariwafabank fut surtout un stage d’observation et d’initiation. C’est en passant de services en services que j’ai pu découvrir les rouages de la banque et comprendre que, plus qu’un établissement financier, une banque est un état d’esprit, une politique. Le banquier doit être un divin orateur, sérieux mais avec de l’humour. Il faut savoir mettre les clients à l’aise et en confiance. Et, confiance oblige, le banquier est tenu par le secret professionnel. Preuve à l’appui cette

capacité d’un État d’imposer sa volonté aux autres à un certain échelon des relations internationales (régional ou mondial) et son rayonnement dans différents aspects (militaire, économique, politique, culturel). Le « hard power » désigne la capacité d’un État d’influencer le comportement d’autres États à l’aide de moyens militaires et économiques. Le « soft power » désigne le pouvoir d’attraction d’un État par des moyens non coercitifs (culturels, idéologiques, sportifs).   Un État capable d’influencer

rationnelles qui prolongent la critique de Friedman. Quelque soit la réaction de l’Etat, les agents économiques anticipent ces réactions. Exemple : la France fait une loi de finance pour 2010. Dans un contexte de conjoncture passablement dégradée, cet Etat va mettre en place un dispositif de déduction fiscale destiné à favoriser l’investissement productif. Normalement une telle politique doit produire des effets. Ce que nous dit la théorie des anticipations, c’est que les effets d’une telle politique

infinie de réactions+ ou – positive chaque réaction gagne en intensité / à la précédente boule de neige>soumission d’individu à l’autre. # Homéostasie :Tout système s’autorégule selon un équilibre, Toute action tendant à une modification de cet état de stabilité-->des réactions destinées à le restaurer exple. la guérison d’un membre de la famille déclenche la maladie d’un autre. #équifinalité : prééminence du système, le but ultime consistant en la conservation du système. -des causes