Intervention Henri Michaux

INTELLECTUEL SURRÉALISTE (après 1945) Collection Les Pas perdus dirigée par Henri BÉHAR Ouvrages parus : Surréalisme et pratiques textuelles, études réunies par Emmanuel RUBIO. Phénix Éditions, 2002, 14x22,5, 224 p. Cyril BAGROS, L’Espace surréaliste, promenade en zone interdite, Phénix Éditions, 2003, 14x22,5, 276 p. L’Entrée en surréalisme, études réunies par Emmanuel RUBIO. Phénix Éditions, 2004, 14x22,5, 272 p. Dans les référencees, le lieu d’édition est Paris, sauf indication

/ mercredi 8h-9h Groupe 3 (12h TD) : Sandrine Berregard / mercredi 9h-10h Groupe 4 (12h TD) : Sandrine Berregard /mercredi 10h-11h Groupe 5 (12h TD) : Charlotte Bomy / mardi 9h-10h Groupe 6 (12h TD) : Michal Benedick / mercredi 9h-10h (1er cours le 22 septembre) Groupe 7 (12h TD) : Michal Benedick / mercredi 10h-11h (1er cours le 22 septembre) Contrôle continu : épreuve 1 : un oral, épreuve 2 : un devoir écrit Contrôle global : un devoir sur table en 1h Deuxième session : un devoir sur

The ‘rhétoriqueurs’ Marot Latin verse Scève The Lyons poets The defence of women The querelle des Amyes Conclusion Prose The rise of French Chronicle, epic, romance Fiction Rabelais The Generation of the Pléiade The defence of the language Royal intervention Standardization The role of translation Which French? The new poetics and the Pléiade The Défense et illustration The Pléiade Its aesthetic The hierarchy of genres Its themes Love and the court Nature The impact of the Pléiade 32 32 34 34 35

méconnue. Si les amateurs de littérature ont quelque idée sur les pères fondateurs de la bande dessinée belge – la bande dessinée faisant bel et bien partie de la littérature – (Hergé), ou sur d’autres écrivains ou poètes d’une renommée internationale (Michaux, Simenon, Bernanos, etc.), enfin sur les contemporains d’un prestige incontestable (Nothomb, Outers, etc.), les mécanismes qui les régissent, le contexte sociopolitico-culturel, l’ancrage historique et littéraire, les origines et les perspectives

successivement, jusqu’à la signature du traité d’Arras (1435), sous diverses tutelles (française, bourguignonne, autrichienne, espagnole). 2. La dénonciation des vices des Arrageois dans le Jeu de la feuillée Dans l’extrait proposé à l’analyse, Maître Henri, outre l’accusation qui pèse sur lui de trop faire bombance, intempérance peut-être elle-même métaphorique de la cupidité (« trop remplir [sa] bedaine » pouvant ainsi signifier trop accumuler d’argent), fait preuve d’une curiosité qu’on pourrait

suite, les deux exécutants se suicident dans une église où ils se sont réfugiés et où ils ont tenu tête à leurs poursuivants. Indépendamment de l’intérêt que comporte le rap- pel des événements, les prix et mérite du texte résident dans les interventions d’auteur qui le structurent et qui sont animées par le souci constant d’éviter le roma- nesque facile grâce à une démarche singulière de fictionnalisation et de respect du passé : « J’espère sim- plement que derrière l’épaisse couche réfléchissante

évoque la brisure du verre. • L’assonance C’est la répétition d’un son vocalique. En principe, l’assonance concerne des syllabes qui portent l’accent tonique. Phares scintillants de la Mort sans issue, le cri éperdu du silence dure des siècles. Henri MICHAUX La répétition du [u] renforcée par l’allitération en [d] produit un effet d’écho qui n’en finit pas. • La paronomase C’est la répétition de sons vocaliques voisins. Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville Quelle est cette langueur Qui

la poésie est particulièrement apte à conserver l’intégrité des formules magiques, dont aucune syllabe ne saurait être modifiée. Poètes qui soulignent ce lien de parenté. Baudelaire « sorcellerie évocatrice » pour définir la poésie. Poèmes de Henri Michaux se veulent exorcismes (cf. Epreuves, exorcismes ) et exemple de « Contre » dans La nuit remue . 8.Poésie et religionLes rituels des religions ont

sienne tout au long de son existence : une fin de non-recevoir, froide et délibérée, mais purement intérieure, assénée à l'ordre du monde social[4]. Louis Poirier est toutefois un élève brillant, qui est admis en classe préparatoire en 1928 au Lycée Henri-IV à Paris, où il suit les cours de philosophie d'Alain. Il découvre à cette époque l'art moderne, le cinéma, et la littérature contemporaine (Paul Valéry, Paul Claudel...[5]). Enfin, en 1929, il a la révélation de l'opéra wagnérien, découvert lors

retour à Paris en 1900, au même endroit. Il y a une importance de montrer le progrès, mais on garde également des signes de l’Ancien Régime. Dans les rues de Paris, on voit des calèches, des chevaux, mais également les premiers modèles de voiture. Michal Winock considère que l’on a de la peine à intégrer le progrès, à se rendre compte de son évolution. Les gares sont également le symbole de la modernité. Ce sont des aspects visuels et physiques qui sont marqués par l’idéologie du progrès. Selon Hegel