Intime Pudeur

mon premier semestre. Lors de ce stage, j’ai donc dû rédiger cette analyse de situation en me basant sur les concepts énoncés dans l’unité d’enseignement 4.1. Dans cette analyse, on peut retrouver, comme notion, l’intimité, la dignité ainsi que la pudeur. 2. Description du lieu de stage et de l’analyseDurant mon premier stage du semestre 1 en IFSI, j’ai eu l’occasion de travailler pendant cinq semaines dans le domaine des maladies du foie, autrement appeler hépatologies. J’étais

étaient lavés, rincés et séchés, j’ai mis le gant de toilette et la serviette dans une bassine pour le linge sale. Après avoir guidé Mme C à réaliser son visage et après avoir réalisé la toilette supérieure et inférieure, j’ai débuté sa toilette intime. Avant la toilette génito-anale, je suis allé vider la bassine pour remettre une eau à bonne température et propre car comme je l’ai signalé précédemment, les pieds sont porteurs de nombreux germes qui ne doivent pas être déplacés sur d’autres parties

allumée, présentation du soin au patient, choix des effets personnels par l’étudiant et l’aide-soignante (casaque de l’hôpital, brosse à dents, peigne personnels), pas de paravent, blouse, guéridon dans la chambre avec bassine, gants jetables (toilette intime), gants du patient, serviette du patient, gel douche personnel, solution SHA, paires de gants jetables, peniflow, deux draps, une alaise, protection anatomique, morceaux d’albuplast, sachet plastique des draps pour usage de poubelle, sac pour les

Arslan » à Paris en 1999. Il comporte 220 pages. Seul le deuxième chapitre a été étudié : « De la pudeur à l’apudeur dans la relation de soins d’hygiène ». Le genre de cet ouvrage est une analyse de situation de soins. L’auteur s’est fondé sur son propre travail sur le terrain et sur divers témoignages littéraires. Le thème abordé par l’ouvrage concerne les difficultés rencontrées face à la pudeur et à l’intimité par le soignant et le soigné lors de leurs réalisations. L’auteur DELOMEL Marie-Annick

retraite. Afin de construire ma réflexion, il sera approprié de décrire la situation (I) mais aussi la personne soignée (II). De plus, le déroulement du soin sera exposé (III) avant de finir par une réflexion et un questionnement autour des notions de pudeur, d’intimité, de confort

une aide partielle durant dans sa toilette au quotidien. Je me suis donc interrogé : Quel est le protocole d’hygiène d’une toilette sur une patiente? Comment préserver l’autonomie de la patiente ? Comment établir un soin d’hygiène en préservant la pudeur, l’intimité et la sécurité de la patiente? Quel type de toilette effectuer? Afin de répondre à ce questionnement j’ai commencé mes recherches sur internet, dans mes cours de l’IFSI et également auprès du personnel en les interrogeant. Patricia une

Le 12 juin 2007 à Tours A tous les autobiographes d’une pudeur moindre, Je ne suis qu’un jeune lecteur, sans expérience et sans légitimité mais je suis un lecteur et permettez-moi de vous écrire cette courte lettre. J’ai les yeux pleins d’émerveillement lorsque je vous lis, je retourne en enfance lorsque je vous lis, mais je retourne dans votre intime enfance, trop intime peut être. Avec vos dires, la profondeur du texte s’arrête là où elle commence. A lire trop de mièvreries, je ne suis

sont différentes face à la pudeur et à l’intrusion dans l’intimité. La pudeur et l’intimité sont des notions difficiles à expliquer car elles sont souvent similaires . Selon le Dictionnaire encyclopédique des soins infirmiers (Marguerite POTIER, édition LAMARRE) : la pudeur est un sentiment de gêne éprouvé par une personne qui est témoin d’actes intimes, de la nudité de l’autre et/ou d’actes sexuels ou par une personne qui se sait observée dans ces circonstances. La pudeur se traduit par une attitude

condition de la surveiller. Je lave ainsi son dos, la sèche et la couvre d’une serviette afin de préserver sa pudeur. L’aide soignante rentre dans la salle de bain et me dit qu’on n’a pas le temps de s’attarder sur les patients et qu’il faut aller vite. Je m’aperçois que la porte est toujours ouverte. Je vais donc la refermer. Elle prend alors l’autre gant de toilette et lui fait la partie intime sans lui demander. L’aide soignante n’avait pas de gants en vinyle. Je commence à vider la bassine afin qu’elle

foncée pour la partie basse et intime du corps. ) Enfin nous posons le sac poubelle auprès de nous sur l'adaptable mais ua plus loin de la patiente. Au commencement de la toilette nous déshabillons la personne de sa chemise de nuit, pour ne pas avoir à le faire pendant le soin. Pour retirer celle ci, il faut savoir que pour les personnes atteintes d'hémiplégie, nous devons toujours commencer à dévêtir le côté paralysé, pour plus de facilité. Afin de préserver la pudeur de Madame B, nous déposons une