Intime Pudeur

Pitié-Salpêtrière réalisé en mai 2012. (http://ifasjanvier.fr/wpcontent/uploads/2011/11/Surveillance-et-analyse-des-urines-2012.pdf) Contenu: Qui : l’infirmier(e), l’aide-soignant(e), l' EIDE ou l' élèves AS. Soins réalisés : toilette intime et pose d'un étui pénien. Pourquoi : La pose d’un collecteur externe est indiquée pour les raisons suivantes : patients incontinents pour éviter l’inconfort. patients pour qui la pose d’une sonde vésicale est contre indiquée (risque

Insister sur le physique des personnages semble obligatoire. Les réactions à l'apparence des deux protagonistes : « beauté », « admiration », « grand étonnement », « murmure de louanges » montrent l'impact,et donc l'importance, des apparences. La pudeur dans ces descriptions nous fait découvrir un bal plein de magnificence et de contenance. Contrairement au premier extrait, chez Flaubert, nous relevons une première énumération lignes 11 à 13 : « dentelles, broches de diamants, les bracelets à médaillons

du soin (domicile, institution), le rapport avec le soigné sera différent. Il divise en trois espaces le soin à domicile, le première espace (chambre, salle de bain, toilette) le soignant rentre dans l'intimité du soigné, il faut donc respecter la pudeur du soigné. Le deuxième espace (salon, salle à manger, cuisine) qui est désigné comme l'espace convivial où se créé principalement la relation avec le soigné. Le troisième espace (l'extérieur du domicile) qui est désigné comme l'espace social où se

mettre avant d'effectuer la toilette intime. Je préfère ne pas utiliser les gants pour lui laver les autres parties du corps . En effet, il n'y a pas de véritable contact avec la personne avec une paire de gants. Sans les gants nous pouvons sentir la température de l'eau ou les anomalies de peau. Ensuite je regarde sur le chariot par rapport au plan de soins, il est marqué que je dois lui mettre une protection de jour taille S après avoir fait la toilette intime ainsi que lui donner sa prothèse

toilette au lavabo. Avant de rentrer dans la chambre de Mme B, nous préparons soigneusement le matériel de l’établissement dont j’ai besoin sur le chariot : · 2 ou 3 gants de toilette (un pour le haut du corps, 1 pour le bas et 1 pour la toilette intime), · 2 serviettes de toilettes (pour le haut et le bas du corps), · 1 huile SANYRENE pour la prévention d’escarres en cas de patient à risque,· 1 poubelle pour évacuer les déchets produits durant le soin, · 1 protection du lit, · 2 draps et une taie

rince et je l'essuie. Je lui explique que je vais lui retirer sa veste de pyjama, je lui pose une serviette sur les épaules pour la pudeur, je savonne le gant et je lui lave le thorax, les bras et les aisselles, je passe le gant sous l'eau et ensuite je l'a rince bien et je l'essuie en insistant sous les plis pour éviter des mycoses. Je prends la serviette de pudeur et lui met sur le thoras, et je lui fait tenir avec sa main , tout en lui expliquant. Je lui lave le dos, je la rince et l'essuie. Je

son lit avec sa brosse à cheveux et de l’eau de Cologne ainsi que de la crème hydratante. J’ai commencé par ôter la chemise de nuit de la patiente tout en continuant à lui parler et en laissant les draps au-dessous de ses hanches pour protéger sa pudeur et éviter qu’elle ait froid même s’il faisait chaud dans sa chambre. J’ai réglé la hauteur du lit à ma taille pour être plus à l’aise pour réaliser le soin. J’ai commencé la toilette, en procédant du haut vers le bas, donc dans un premier temps

toilette intime (si cette dernière n’a pas été réalisée précédemment au lit) si celui-ci peut les réaliser sans risque. La toilette du dos, du siège et des membres inférieurs sera effectuée par le soignant. Si le patient est fatigué ou dans l’incapacité d’effectuer sa toilette seule, le soignant apportera au malade une aide adaptée, tout en préservant au maximum son autonomie. Il faut le conseiller tout en respectant ses habitudes. Durant le soin, le soignant devra respecter la pudeur du malade

A l’heure où le dicton “la fin justifie les moyens” semble être devenu le credo de toute une société, la pudeur, elle, en fait souvent les frais et perd son sens premier. C’est pourquoi la question suivante mérite d’être posée: “La limite entre le privé et le public est-elle trop souvent franchie?” En septembre dernier, l’animateur de l’émission “Toute une histoire”, Jean-Luc Delarue, faisait les gros titres. Au grand désarroi de ses fans, ce dernier venait d’être écarté par France Télévison

chariot que j’ai nettoyé à l’aide d’un détergent désinfectant au préalable : savon, solution hydro-alcoolique (SHA), 2 à 3 gants de toilette; 2 serviettes, des protections adapté à la morphologie de la personne, des gants à usage unique pour la toilette intime, des carrées de soins, le linge nécessaire à la réfection du lit, les vêtements personnels du patient ou du service (casaque, pyjama), 1 cuvette , 1 brosse à dents et du dentifrice ou le matériel pour bain de bouche avec une compresse, 1 verre spécifique