Intimité Pudeur

Durant ma présence et tout au long de mes interventions, je n'ai pas été confronté à des refus ou de l'agressivité de la part de Madame A. 5 Avant de commencer la toilette, je lui propose d'aller au WC, dans le respect de son intimité et de sa pudeur, je la laisse seule en laissant entrouverte la porte pour surveiller si tout se déroule bien. Je lui demande d'enlever sa protection seule et de la mettre dans le sac poubelle et d'enlever son slip. Lorsqu'elle a terminé, je la rejoins, je

deux paires de gants à usage unique et une taie d’oreiller. Je frappe à la porte de sa chambre et n’attend pas qu’elle me réponde car elle ne le fera pas, je rentre et prends soin de refermer la porte de la chambre de madame C. pour respecter son intimité, me présente et lui dit que je viens l’aider pour la toilette et l’habillage. J’allume le voyant de présence, afin de signaler au personnel soignant ma présence dans la chambre de madame C., je mets la taie d’oreiller sur la dos de la chaise qui

sont différentes face à la pudeur et à l’intrusion dans l’intimité. La pudeur et l’intimité sont des notions difficiles à expliquer car elles sont souvent similaires . Selon le Dictionnaire encyclopédique des soins infirmiers (Marguerite POTIER, édition LAMARRE) : la pudeur est un sentiment de gêne éprouvé par une personne qui est témoin d’actes intimes, de la nudité de l’autre et/ou d’actes sexuels ou par une personne qui se sait observée dans ces circonstances. La pudeur se traduit par une attitude

précédentes à mettre en lien Les liens avec la pratique On peut faire le lien avec les cours de biologie fondamentale (tissus), les grandes fonctions du vivant, l’ergonomie, la psychologie et les cours sur les grands concepts (maladie, santé, pudeur, intimité). L’article peut très facilement être transposable à tous les soignants. Tous sont confrontés à la proximité, à l’intrusion dans la vie des soignés.

interfère avec la mienne – L’identité individuelle : mes valeurs, mes désirs, ma sexualité… – L’empreinte sociale On pourrait croire qu’il est aisé de parler de la sexualité de l’autre sans faire appel à la sienne, sans révéler quoi que ce soit de son intimité, de ses fantasmes, pratiques ou désirs mais il n’en est rien. Même si la sexualité de la personne handicapée est mise à distance par l’artéfact de la différence, même si la tentation est grande de se dire que de toute façon cela n’a rien à voir avec

d’activités en journée soumis à des règles de relations sociales et des temps « familiaux » où pourrait être abordé ce qui relève de la vie privée ? Comment redessiner les contours d’une intimité pour ces personnes qui vivent au quotidien en collectif ? Comment les aider à distinguer ce qui relève de leur intimité voire de leurs secrets, de ce qui se partage ou s’expose aux autres ? Comment ne pas être intrusive en tant que Monitrice Educatrice ? Lorsque je suis arrivée sur le Foyer Occupationnel

pathologie de mes résidents je me renseignée auprès de mes collègues sur ce qu’il était capable de faire seul et sur quoi il fallait que je l’assiste ou fasse à sa place.Je l’ai accompagné jusqu’à sa chambre, j’ai fermé la porte afin de respecter son intimité afin qu’il conserve son autonomie je l’ai laissé commencer à se déshabiller seul durant ce temps j’ai préparé ce dont j’avais besoin dans la salle de bain afin de ne pas le laisser seul sous la douche (gant de douche personnel, serviette, gel douche

séduction. La répétition de l’adjectif possessif « votre port, vos yeux, votre langage » montre bien le vertige sensuel auquel Phèdre se laisse aller. Elle est conquise par la prestance, le regard, la voix du jeune héros et même par sa gêne « cette noble pudeur ». Mais Racine évite l’indécence ; le vocabulaire transpose la passion physique, les épaules deviennent le « port », la voix le « langage ». De plus cette déclaration est faite au passé, temps qui introduit entre Phèdre et Hippolyte une certaine distance

permet d'assurer une qualité relationnel. Celle-ci accepte. Je retire la couverture au niveau de la première jambe de Madame F pour ne pas la découvrir totalement et assurer son confort pour ne pas qu'elle ait froid mais aussi respecter sa pudeur et son intimité. Avant de poser les bandes de contention, je vérifie l’état cutané et je repère tout signe pathologique. En cas de doute, il faut faire appel au médecin car la compression peut aggraver des lésions et retarder une prise en charge adaptée.

interdite (opération du dos), elle me répond que oui donc je la laisse se déshabiller seule (préserver autonomie) elle commence par la toilette du haut je l’aide pour le dos une fois rincée et séchée je lui dis de s’habiller le haut (respecter la pudeur de la patiente et pour ne pas qu’elle ai froid) puis je lui dis de faire sa petite toilette je l’aide pour le siège. Une fois sèche je lui mets sa protection et son slip filet puis je l’aide à mettre sa jupe. Elle termine en se lavant les dents, en