Intrant

les produits doivent être déclarés originaires des pays signataires. Les produits doivent donc y être suffisamment ouvrés ou transformés : la valeur des intrants importés depuis un pays non-membre ne devrait pas dépasser un certain seuil par rapport à tous les intrants nécessaires à la productiondu bien (par exemple : 60% de tous les intrants). Ou, la valeur ajoutée résultant du procédé de production devrait respecter un certain taux par rapport au coût départ usine du produit fini (par exemple :

II du protocole sur les règles d’origine définit les opérations à effectuer pour obtenir l’origine et indique donc ce que doit subir un produit pour pouvoir bénéficier de l’origine préférentielle. Dans le cadre du cumul il n’est pas nécessaire aux intrants originaires des pays de la zone incorporés dans la fabrication de ce produit de satisfaire au critère de transformation suffisante. Dans les nouvelles procédures modernes de fabrication, il est assez fréquent que deux ou plusieurs pays situés dans

 CONCLUSION La production d'ylang-ylang se fait par une succession d’activités variées . Ces activités font appel à de nombreux intrants et services qui emploient à plein temps ou à temps partiel de nombreuses personnes représentant des métiers divers. Les producteurs , les distillateurs, les collecteurs , les exportateurs, les importateurs . La filière de l’ylang-ylang se porte mal , elle est soumise à une cours mondial qui varie entre 90 et 110€ le kilos. De la cueillette à la distillation

pays développés, qui sont les plus grands marchés des exportateurs des pays en développement. L’un des principaux objectifs des pays riches en ressources naturelles est d’accroître la teneur locale (c’est-à-dire la part des produits locaux dans les intrants utilisés par les industries extractives) ou la valeur ajoutée locale (la part de la valeur ajoutée dans le pays dans la valeur ajoutée totale).

c’est-à-dire produire un maximum, et développer le commerce équitable, ce qui assurait un revenu correct aux producteurs africains et ainsi développer leur activité à long terme. Du côté économique, le continent devrait développer les emplois et les intrants donc développer les engrais ou encore la mécanisation. Les états africains peuvent également aider les agriculteurs financièrement et l’Afrique peut être aidée par les continents voisins. Puis au niveau du viable, il faudrait développer l’irrigation

terres moins de 5% ont accès à la terre. | * Permettre aux femmes d’accéder aux terres * Aménager les terres * Accéder aux instances de décisions et de gouvernance des ressources locales * Faire des plaidoyers | 2-Accès aux crédits, aux intrants et fonds de garantie élevés | -Permettre aux femmes d’accéder aux crédits en créant des structures financières adaptées à leur besoin- Avoir confiance à la femme, à ses capacités de gestion et de remboursement des crédits | 3-Gestion du Capital

biomasse est majoritairement exportée (récoltes), le cycle de la matière est modifié (Ø cycle) et l’utilisation d’intrants plus ou moins importante pour améliorer la productivité (nitrate, engrais, eau, énergie fossile, produits phytosanitaires). B) Les intrants conditionnent la productivité On cherche à stimuler les producteurs primaires par des apports minéraux  utilisation d’engrais, notamment pour compenser les pertes liées à l’exportation de la biomasse et équilibrer le cycle. Les produits phytosanitaires

les déterminants de couverture Savoir comment conduire une session de monitorage (préparation, exécution, acteurs clés, financement etc...) Remplir les fiches de renseignements généraux Maitriser le mode de calcul de la disponibilité en vaccins et intrants Maitriser le mode de calcul du pourcentage de temps de fonctionnement de la CDF Maitriser le mode de calcul des indicateurs par déterminants de couverture Maitriser et interpréter le tracé de la courbe de monitorage Identifier les goulots d’étranglements

agricoles a diminué de 40 % en 30 ans et la tendance se poursuit. La taille et la productivité des exploitations augmentent, mais l’augmentation des revenus ne parvient pas toujours à combler la montée du coût d’acquisition des exploitations et des intrants nécessaires à la production. Depuis plusieurs générations, notre patrimoine agricole a été légué à travers les familles québécoises assurant ainsi sa pérennité dans le temps. Les terres ont été cultivées, les techniques agricoles se sont perfectionnées

productivité, mais aussi des effets qui proviennent des variations de prix. Les industries peuvent maintenir leur productivité inchangée mais augmenter leur rentabilité si les prix de leurs produits finaux augmentent relativement aux coûts de leurs intrants.