Intrication quantique

Introduction `a la m´ecanique quantique Alice Sinatra septembre 2008 Contents 1 Ondes et particules en physique classique 1.1 Particule ponctuelle . . . . . . . . . . . . . ´ 1.2 Energie m´ecanique . . . . . . . . . . . . . 1.3 Ondes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.4 Interf´erence entre deux ondes . . . . . . . 1.5 Repr´esentation complexe des ondes . . . . 2 Les 2.1 2.2 2.3 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

trois nombres quantiques n, l et m. ces trois nombres sont des entiers, tel que : n>0 ; 0≤l ≤ n-1 -l ≤m ≤+l, ; et En plus de ces trois nombres quantiques, il existe un quatrième nombre quantique c’est le nombre de spin s, où : s = +½ ou bien s = -½ Avec : n: nombre quantique principale. Il définit la couche électronique : K, L, M, N... l : nombre quantique secondaire. Il définit la sous couche : s, p, d, f. m : nombre quantique magnétique. Il définit le nombre de cases quantiques s : le spin

processus ; ces théories, appelées modèles duaux, font naître de grands espoirs. Quelques années plus tard une théorie concurrente apparaît : la chromodynamique quantique. Le succès des expériences de l'accélérateur SLAC (Stanford) en 1969 et la mise en évidence de la liberté asymptotique en 1973 imposent par la suite la chromodynamique quantique, la plupart des physiciens abandonnent alors les modèles duaux, à l'exception de quelques-uns. Ainsi, en 1975, Joël Scherk et John Schwarz montrent que la

Corrigé exercice 4 NOMBRES QUANTIQUES 1 1) �2,2,2, + � est impossible car on aurait ℓ = ? = 2, or le nombre quantique azimutal doit vérifier 2 0 ≤ ℓ ≤ ? − 1. 1 �4,0, −1, − � est impossible car on aurait ?ℓ < −? alors que le nombre quantique magnétique est tel 2 que −ℓ ≤ ?ℓ ≤ ℓ. Tous les autres quadruplets vérifient les conditions sur les nombres quantiques (? entier > 0 ; 1 0 ≤ ℓ ≤ ? − 1 ; −ℓ ≤ ?ℓ ≤ ℓ et ?? = ± ), donc peuvent bien décrire l’électron dans un atome. 2 On nomme l’orbitale à partir

2.4 Théorie de Bohr appliquée aux hydrogènoides : . . . . . . . . . . . L’ATOME À UN ÉLECTRON (Hydrogènoide) 2.1 L’électron en mécanique quantique : . . . . . . . . . . 2.2 Les nombres quantiques : . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.1 Le nombre quantique principal n ∈ N : . . . . . 2.2.2 Le nombre quantique secondaire ou azimutal ℓ : 2.2.3 Le nombre quantique magnétique m : . . . . . . 2.3 Les orbitales atomiques (O.A) : . . . . . . . . . . . . . . ATOMES POLYÉLECTRONIQUES 3.1 Facteurs d’écran

découvrir, qui lie les constituants des noyaux. En physique classique, une force entre deux particules se transmet dans l'espace par l'entremise de champs : un champ, engendré par une particule se propage puis agit sur l'autre particule. La théorie quantique des champs oblige à revoir cette conception. Elle explique d'abord que, pour qu'il y ait interaction, il faut qu'il y ait échange de quelque chose. Ce quelque chose, c'est un quantum de champ, c'est à dire une particule caractéristique de ce champ

apprendre à propos de la théorie quantique des champs? Beaucoup de choses – comme des chercheurs de l’Institut Périmètre l’expliquent dans deux articles récents. La théorie quantique des champs est l’un des outils les plus fructueux et les plus souples jamais mis au point par les physiciens. Elle est à la base de domaines comme la physique des particules, la théorie des cordes et la théorie de la matière condensée. Mais, même couronnée de succès, la théorie quantique des champs demeure très mystérieuse

également constater ce phénomène pour deux électrons d’une même couche. La constante σ rend compte de cette différence. - MODELE QUANTIQUE DE L’ATOME Ce modèle est bien plus pertinent que le modèle déterministe de Bohr. En effet, il ne s’applique aux hydrogénoïdes mais aussi aux atomes polyélectroniques.  Notion de probabilité de présence : En physique quantique, le comportement d’une particule se trouvant en un point M(x, y, z) à un instant t est décrit par une fonction mathématique réelle ou

chimiques) ›  L’électron va alors être considéré comme une onde. ›  Une fonction mathématique décrit le comportement de l’électron : la fonction d’onde ou orbitale. Notion d’orbitales ›  Chaque orbitale correspond à une case quantique du modèle de BOHR. ›  Une orbitale définit à la fois un niveau énergétique et la géométrie de la région de l’espace où se trouve le plus souvent l’électron. ›  Le principe d’exclusion de PAULI s’applique aux orbitales. ›  La probabilité

découvrir, qui lie les constituants des noyaux. En physique classique, une force entre deux particules se transmet dans l'espace par l'entremise de champs : un champ, engendré par une particule se propage puis agit sur l'autre particule. La théorie quantique des champs oblige à revoir cette conception. Elle explique d'abord que, pour qu'il y ait interaction, il faut qu'il y ait échange de quelque chose. Ce quelque chose, c'est un quantum de champ, c'est à dire une particule caractéristique de ce champ